Natacha Amal : «Je n’ai pas tiré un trait sur la télé»

Natacha Amal : «Je n’ai pas tiré un trait sur la télé»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

La comédienne belge reprend le rôle donné à Sandrine Corman dans la pièce du Télévie 2019, «Représailles».

Pour des raisons d’agenda, Sandrine Corman abandonne (termporairement) son rôle de Rosalie, l’épouse trompée, dans l’adaptation – pour le Télévie – de la pièce «Représailles» d’Eric Assous. C’est donc Natacha Amal qui campera la mère de Mélissa (Anne Ruwet) pour 17 représentations.

Sa première est pour ce vendredi soir, devant le public de Rochefort.

Comment vous êtes-vous retrouvée dans cette aventure ?

Je n’en sais strictement rien ! (rires) À part le fait que l’on m’a appelée pour me le proposer. Je venais à peine de terminer la pièce «Un grand cri d’amour», au Théâtre des Galeries. Là, je tombe des nues : «C’est incroyable… c’est génial… mais je ne suis pas animatrice ! Pourquoi m’avez-vous appelée ?» En même temps, je me sentais très flattée.

En effet, vous n’êtes pas du giron de RTL…

J’ai une image très télévisuelle de longue date. C’était la seule chose que je voyais dans le tableau qui justifiait qu’on m’appelle. Après coup, je me suis dit que «C’est extra !». Et puis, c’est pour le Télévie, une entreprise que je connais et qui me touche énormément. Ils sont très efficaces, et ce que fait RTL pour eux est formidable. Je me suis dit que rien ne m’empêche d’y aller…

Ça vous plairait ?

Evidemment ! Tout dépend toujours du rôle. Je n’ai pas préférence entre la télé, le cinéma, les sitcoms… C’est vraiment une histoire de rôle et de crédibilité. Je me fiche du support. L’important c’est la qualité du rôle et l’évolution du personnage où je peux amener un plus. Je raisonne comme ça.

À quelques heures, comment vous sentez-vous ?

Un peu stressée quand même. Mais c’est un bon stress, un stress d’envie. J’ai terriblement envie de rejoindre la troupe sur scène. Je leur ai dit après la première à Mons : «Vous me donnez envie de jouer avec vous !»

Entretien : Pierre Bertinchamps

Je serai moi-même et j’espère ne pas recevoir des tomates de la part des gens qui s’attendaient à voir Sandrine. (rires) Et puis, peut-être que d’autres personnes qui m’ont connue dans des rôles à la télé ont aussi envie de me voir dans cet exercice. Mais je vais les faire rire, et ils vont oublier que je ne suis pas Sandrine Corman. Vous verrez… (la pièce sera diffusée en direct, le 3 mars prochain sur RTL-TVI, NDLR)

On va vous revoir à la télé ?

Je n’ai pas tiré un trait sur la télé. Il y a des choses qui sont dans les tuyaux. Je viens de rater un gros tournage pendant que je jouais en Belgique. Je n’étais pas disponible… Je passe des castings de temps en temps. Là, je suis très heureuse à RTL, et nous avons une histoire commune puisque la série «Femmes de loi» était aussi diffusée sur RTL-TVI.

Et dans une série belge ?

Non. Je n’ai pas été contactée encore. Une maquilleuse m’a dit qu’elle avait entendu mon nom sur une liste d’actrices potentielles pour une série belge, et j’étais la première surprise ! Je ne sais pas ni quoi ni qu’est-ce.

Ça vous plairait ?

Evidemment ! Tout dépend toujours du rôle. Je n’ai pas préférence entre la télé, le cinéma, les sitcoms… C’est vraiment une histoire de rôle et de crédibilité. Je me fiche du support. L’important c’est la qualité du rôle et l’évolution du personnage où je peux amener un plus. Je raisonne comme ça.

À quelques heures, comment vous sentez-vous ?

Un peu stressée quand même. Mais c’est un bon stress, un stress d’envie. J’ai terriblement envie de rejoindre la troupe sur scène. Je leur ai dit après la première à Mons : «Vous me donnez envie de jouer avec vous !»

Entretien : Pierre Bertinchamps

J’ai tellement envie d’être bien et d’être bonne que je me dis que ce n’est pas gagné. Il faut que je bosse, et là, il y a un challenge pour moi, parce que je n’ai pas beaucoup eu l’occasion de répéter beaucoup de fois avec les animateurs. C’est un vrai défi avec moi-même ! Si je réussis bien ça, avec des telles conditions exceptionnelles, là, je pourrai être fière.

Vous connaissez la pièce ?

Non, mais je connais bien Eric Assous, et quand j’ai lu la pièce je me suis tout de suite dit qu’elle avait été créée et commandée par un homme. Et en effet, elle tombe pile-poil pour Michel Sardou (avec qui Natacha avait joué «Bagatelle», à Paris, NDLR). C’est du copier-coller de sa personnalité. C’était des vannes pour son public à lui.

Le spectateur va s’attendre à quoi, ce soir ? Une copie de Sandrine Corman ou un rôle par Natacha Amal ?

Sandrine Corman est une personnalité très aimée du public. Je ne pourrais pas l’imiter. Elle est plus jeune que moi et c’est une vraie blonde contrairement à moi. En plus, nous n’avons pas la même voix… Ce serait impossible de tenter de lui ressembler. Et ce ne serait pas rendre hommage à sa personnalité que d’essayer d’être une copie.

Je serai moi-même et j’espère ne pas recevoir des tomates de la part des gens qui s’attendaient à voir Sandrine. (rires) Et puis, peut-être que d’autres personnes qui m’ont connue dans des rôles à la télé ont aussi envie de me voir dans cet exercice. Mais je vais les faire rire, et ils vont oublier que je ne suis pas Sandrine Corman. Vous verrez… (la pièce sera diffusée en direct, le 3 mars prochain sur RTL-TVI, NDLR)

On va vous revoir à la télé ?

Je n’ai pas tiré un trait sur la télé. Il y a des choses qui sont dans les tuyaux. Je viens de rater un gros tournage pendant que je jouais en Belgique. Je n’étais pas disponible… Je passe des castings de temps en temps. Là, je suis très heureuse à RTL, et nous avons une histoire commune puisque la série «Femmes de loi» était aussi diffusée sur RTL-TVI.

Et dans une série belge ?

Non. Je n’ai pas été contactée encore. Une maquilleuse m’a dit qu’elle avait entendu mon nom sur une liste d’actrices potentielles pour une série belge, et j’étais la première surprise ! Je ne sais pas ni quoi ni qu’est-ce.

Ça vous plairait ?

Evidemment ! Tout dépend toujours du rôle. Je n’ai pas préférence entre la télé, le cinéma, les sitcoms… C’est vraiment une histoire de rôle et de crédibilité. Je me fiche du support. L’important c’est la qualité du rôle et l’évolution du personnage où je peux amener un plus. Je raisonne comme ça.

À quelques heures, comment vous sentez-vous ?

Un peu stressée quand même. Mais c’est un bon stress, un stress d’envie. J’ai terriblement envie de rejoindre la troupe sur scène. Je leur ai dit après la première à Mons : «Vous me donnez envie de jouer avec vous !»

Entretien : Pierre Bertinchamps

Je ne savais pas que ça faisait 15 ans que les représentations du Télévie existent. Pour ceux qui en ont fait plusieurs, c’est déjà un bon écolage. Je n’ai pas l’impression que l’équipe débarque de la lune. Au contraire…

Vous n’êtes pas arrivée comme un chien dans un jeu de quille ?

C’est une réaction que j’ai pu avoir quand j’ai commencé le métier. J’avais tendance à avoir un avis sur tout. J’étais jeune et impulsive, et je savais tout mieux que les autres… Et j’ai été remise à ma place par d’autres professionnels. Et c’était en France où ça ne se faisait pas de commencer à s’imposer d’entrée. Là, je ne me permets aucune réflexion, ni de jugement sur le jeu. J’ai vu la première, et la troupe était impeccable !

Justement, avant cette première, vous avez avoué que vous trembliez à l’idée de les rejoindre…

Les artistes qui oublient que l’excès de confiance nuit à l’efficacité de leur travail, ce sont des gens qui se font vite rattraper par la réalité. Il faut pouvoir rester humble. On a trop souvent tendance à baisser sa garde.

J’ai tellement envie d’être bien et d’être bonne que je me dis que ce n’est pas gagné. Il faut que je bosse, et là, il y a un challenge pour moi, parce que je n’ai pas beaucoup eu l’occasion de répéter beaucoup de fois avec les animateurs. C’est un vrai défi avec moi-même ! Si je réussis bien ça, avec des telles conditions exceptionnelles, là, je pourrai être fière.

Vous connaissez la pièce ?

Non, mais je connais bien Eric Assous, et quand j’ai lu la pièce je me suis tout de suite dit qu’elle avait été créée et commandée par un homme. Et en effet, elle tombe pile-poil pour Michel Sardou (avec qui Natacha avait joué «Bagatelle», à Paris, NDLR). C’est du copier-coller de sa personnalité. C’était des vannes pour son public à lui.

Le spectateur va s’attendre à quoi, ce soir ? Une copie de Sandrine Corman ou un rôle par Natacha Amal ?

Sandrine Corman est une personnalité très aimée du public. Je ne pourrais pas l’imiter. Elle est plus jeune que moi et c’est une vraie blonde contrairement à moi. En plus, nous n’avons pas la même voix… Ce serait impossible de tenter de lui ressembler. Et ce ne serait pas rendre hommage à sa personnalité que d’essayer d’être une copie.

Je serai moi-même et j’espère ne pas recevoir des tomates de la part des gens qui s’attendaient à voir Sandrine. (rires) Et puis, peut-être que d’autres personnes qui m’ont connue dans des rôles à la télé ont aussi envie de me voir dans cet exercice. Mais je vais les faire rire, et ils vont oublier que je ne suis pas Sandrine Corman. Vous verrez… (la pièce sera diffusée en direct, le 3 mars prochain sur RTL-TVI, NDLR)

On va vous revoir à la télé ?

Je n’ai pas tiré un trait sur la télé. Il y a des choses qui sont dans les tuyaux. Je viens de rater un gros tournage pendant que je jouais en Belgique. Je n’étais pas disponible… Je passe des castings de temps en temps. Là, je suis très heureuse à RTL, et nous avons une histoire commune puisque la série «Femmes de loi» était aussi diffusée sur RTL-TVI.

Et dans une série belge ?

Non. Je n’ai pas été contactée encore. Une maquilleuse m’a dit qu’elle avait entendu mon nom sur une liste d’actrices potentielles pour une série belge, et j’étais la première surprise ! Je ne sais pas ni quoi ni qu’est-ce.

Ça vous plairait ?

Evidemment ! Tout dépend toujours du rôle. Je n’ai pas préférence entre la télé, le cinéma, les sitcoms… C’est vraiment une histoire de rôle et de crédibilité. Je me fiche du support. L’important c’est la qualité du rôle et l’évolution du personnage où je peux amener un plus. Je raisonne comme ça.

À quelques heures, comment vous sentez-vous ?

Un peu stressée quand même. Mais c’est un bon stress, un stress d’envie. J’ai terriblement envie de rejoindre la troupe sur scène. Je leur ai dit après la première à Mons : «Vous me donnez envie de jouer avec vous !»

Entretien : Pierre Bertinchamps

Ça me fait rire de me dire que je vais jouer avec des personnes dont ce n’est pas le métier. Ils ont une sacrée dose d’audace et de professionnalisme. Je les ai rencontrés assez rapidement avant les premières répétitions, et la sauce a très bien pris.

Il y avait de l’appréhension ?

J’avais peur que le fait que je sois une «professionnelle de la profession», ça les effraie. Je ne voulais justement pas qu’ils me craignent, et qu’ils se sentent un peu écrasés… J’ai expliqué à la productrice de la pièce (Géraldine Gauthier, NDLR) qu’il n’y avait aucune crainte à avoir et que je suis une très bonne camarade. Je n’ai aucun problème à travailler en équipe. Ils vont s’amuser avec moi… Et j’ai eu des retours adorables et bienveillants de leur part.

Votre verdict sur la troupe ?

J’ai été épatée par leur investissement et leur dose de professionnalisme dans un métier qui n’est pas le leur, même si Luc Gilson a déjà tourné pas mal et qu’il était habitué à la chose. D’autres ont déjà fait des pièces du Télévie aussi.

Je ne savais pas que ça faisait 15 ans que les représentations du Télévie existent. Pour ceux qui en ont fait plusieurs, c’est déjà un bon écolage. Je n’ai pas l’impression que l’équipe débarque de la lune. Au contraire…

Vous n’êtes pas arrivée comme un chien dans un jeu de quille ?

C’est une réaction que j’ai pu avoir quand j’ai commencé le métier. J’avais tendance à avoir un avis sur tout. J’étais jeune et impulsive, et je savais tout mieux que les autres… Et j’ai été remise à ma place par d’autres professionnels. Et c’était en France où ça ne se faisait pas de commencer à s’imposer d’entrée. Là, je ne me permets aucune réflexion, ni de jugement sur le jeu. J’ai vu la première, et la troupe était impeccable !

Justement, avant cette première, vous avez avoué que vous trembliez à l’idée de les rejoindre…

Les artistes qui oublient que l’excès de confiance nuit à l’efficacité de leur travail, ce sont des gens qui se font vite rattraper par la réalité. Il faut pouvoir rester humble. On a trop souvent tendance à baisser sa garde.

J’ai tellement envie d’être bien et d’être bonne que je me dis que ce n’est pas gagné. Il faut que je bosse, et là, il y a un challenge pour moi, parce que je n’ai pas beaucoup eu l’occasion de répéter beaucoup de fois avec les animateurs. C’est un vrai défi avec moi-même ! Si je réussis bien ça, avec des telles conditions exceptionnelles, là, je pourrai être fière.

Vous connaissez la pièce ?

Non, mais je connais bien Eric Assous, et quand j’ai lu la pièce je me suis tout de suite dit qu’elle avait été créée et commandée par un homme. Et en effet, elle tombe pile-poil pour Michel Sardou (avec qui Natacha avait joué «Bagatelle», à Paris, NDLR). C’est du copier-coller de sa personnalité. C’était des vannes pour son public à lui.

Le spectateur va s’attendre à quoi, ce soir ? Une copie de Sandrine Corman ou un rôle par Natacha Amal ?

Sandrine Corman est une personnalité très aimée du public. Je ne pourrais pas l’imiter. Elle est plus jeune que moi et c’est une vraie blonde contrairement à moi. En plus, nous n’avons pas la même voix… Ce serait impossible de tenter de lui ressembler. Et ce ne serait pas rendre hommage à sa personnalité que d’essayer d’être une copie.

Je serai moi-même et j’espère ne pas recevoir des tomates de la part des gens qui s’attendaient à voir Sandrine. (rires) Et puis, peut-être que d’autres personnes qui m’ont connue dans des rôles à la télé ont aussi envie de me voir dans cet exercice. Mais je vais les faire rire, et ils vont oublier que je ne suis pas Sandrine Corman. Vous verrez… (la pièce sera diffusée en direct, le 3 mars prochain sur RTL-TVI, NDLR)

On va vous revoir à la télé ?

Je n’ai pas tiré un trait sur la télé. Il y a des choses qui sont dans les tuyaux. Je viens de rater un gros tournage pendant que je jouais en Belgique. Je n’étais pas disponible… Je passe des castings de temps en temps. Là, je suis très heureuse à RTL, et nous avons une histoire commune puisque la série «Femmes de loi» était aussi diffusée sur RTL-TVI.

Et dans une série belge ?

Non. Je n’ai pas été contactée encore. Une maquilleuse m’a dit qu’elle avait entendu mon nom sur une liste d’actrices potentielles pour une série belge, et j’étais la première surprise ! Je ne sais pas ni quoi ni qu’est-ce.

Ça vous plairait ?

Evidemment ! Tout dépend toujours du rôle. Je n’ai pas préférence entre la télé, le cinéma, les sitcoms… C’est vraiment une histoire de rôle et de crédibilité. Je me fiche du support. L’important c’est la qualité du rôle et l’évolution du personnage où je peux amener un plus. Je raisonne comme ça.

À quelques heures, comment vous sentez-vous ?

Un peu stressée quand même. Mais c’est un bon stress, un stress d’envie. J’ai terriblement envie de rejoindre la troupe sur scène. Je leur ai dit après la première à Mons : «Vous me donnez envie de jouer avec vous !»

Entretien : Pierre Bertinchamps

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