Morgan De Ridder, candidat belge de «MasterChef» (France 2) : la cuisine, c’est le partage !

Morgan De Ridder © France 2/Nathalie Guyon
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Morgan est l’un des deux Belges qui vont tenter de séduire le jury de «MasterChef» nouvelle mouture, qui débute ce mardi à 21h10 sur France 2.

À 33 ans, Morgan a une passion dans la vie : la cuisine. Il n’en a pas fait son métier, il préfère les belles mécaniques… Mais, ses associations de saveurs et ses créations font le bonheur des papilles de sa compagne Laura.

Grâce à son ami Alexandre, qui avait émerveillé les téléspectateurs du «Meilleur pâtissier» l’an dernier, il se retrouve dans la nouvelle saison de «MasterChef», sur France 2 et AB3.

Vous êtes passionné de cuisine depuis longtemps ?

Depuis que j’ai quitté le cocon familial, il y a dix ans. Avec le confinement, j’ai eu un peu plus de temps pour tenter des choses et tester des associations de goûts.

Avez-vous une formation ?

Je n’ai jamais pris de cours de cuisine. Je regardais déjà «MasterChef» à l’époque, sur TF1, et comme je suis un grand fan de nourriture, je suivais aussi «Top Chef»… Si les candidats à la télé réussissent des plats, pourquoi pas moi ? Je réessayais les recettes, et quand ça ne marchait pas, j’adaptais les ingrédients.

Que pensez-vous du retour du concours culinaire, sept ans après ?

La compétition a un peu changé. France 2 fait de «MasterChef» un programme familial, convivial, bienveillant. Nous sommes dix-huit compétiteurs. Pour ma part, je veux surtout sortir mes assiettes dans les temps et être fier de ce que je propose.

Autre nouveauté : l’écoresponsabilité…

Nous allons prodiguer des conseils sur les techniques de cuisson pour faire des économies d’énergie, utiliser les produits à disposition pour éviter le gaspillage. Il y a aussi un compost.

À choisir : une cuisine de rêve ou une voiture de rêve ?

La cuisine ! C’est un lieu de partage. Qui réconcilie… Quand je me dispute avec ma compagne, je sais comment recoller les morceaux… 

Cet article est paru dans le Télépro du 18/8/2022

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