«Meurtres à Albi» : jeux de piste dans le Tarn
Tourné avant la pandémie, en décembre dernier, «Meurtres à Albi» réunit Léonie Simaga et Brunot Debrandt («Caïn»), alias la commissaire Annabelle et son collègue un peu jaloux de sa nomination, Marc. À voir ce mardi à 20h30 sur La Une.
«Quand on a la chance de tourner sur un territoire aussi caractérisé et protégé que la capitale du Tarn, une ville sublime, il suffit de s’y promener chaque jour pour avoir l’impression d’appartenir à la ville et sentir ses pulsations», confiait l’acteur principal. «Cela nourrit le travail des acteurs. Il n’y a pas besoin de se prendre la tête. Il nous suffit de nous laisser glisser et nous appartenons tout de suite au paysage.»
À la réalisation, Delphine Lemoine apprécie les tournages en province. «Je suis totalement immergée, je suis dans une bulle, celle du film.»
À la différence de Bruno Debrandt, Léonie Simaga (42 ans), ex-membre de la Comédie-Française, participe pour la première fois à un téléfilm policier. «J’ai grandi avec les fictions policières comme «Meurtres à». C’est presque un peu mythique d’endosser un personnage de flic.» Et Albi, sa cathédrale Sainte-Cécile et son château de Penne sont les stars discrètes de cette enquête inédite.
Cet article est paru dans le magazine Télépro du 29/10/2020
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