Maureen Louys : «Je me suis souvenue à quel point j’aimais présenter un jeu» (interview)

Maureen Louys : «Je me suis souvenue à quel point j'aimais présenter un jeu» (interview)
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Avant de revenir, le 5 janvier 2016, dans «The Voice Belgique», Maureen Louys passera les fêtes avec des académiciens déjantés. Rencontre.

Quelle impression cela vous fait-il de reprendre un classique de la télévision française ?

C’est une chouette expérience. Quand on me l’a proposé cet été, je me suis dit : «C’est top ! Un jeu». J’avais de vagues vieux souvenirs du temps de Jean-Pierre Foucault. Pour me préparer, on m’a envoyé des DVD de la nouvelle mouture de NRJ 12 avec Benjamin Castaldi.

Comment sont les nouveaux coaches ?

Je suis très heureuse du retour de Quentin Mosimann. C’est un super client en télé. Et c’est très agréable de travailler de nouveau avec lui.Je ne connais pas bien les Cats on Tree. Ils sont très zen et apportent du calme dans le jury. À coté d’une BJ toujours plus survoltée que jamais, c’est parfait. Le jury est cohérent, cette saison…

Et le niveau des talents ?

Chaque année, on se demande comment dans un si petit pays, on trouve encore des voix comme celles-là. Il y aura quelques «revenants», même si je n’aime pas le terme…

Sentez-vous qu’ils préparent leur venue dans l’émission ?

Oui, par rapport à la saison 1, ils connaissent bien les ficelles et les rouages. Ils arrivent mieux préparés à l’expérience télé. Et en cas d’échec, il y a moins de pleurs et de déceptions. Certains sont même touchés de me rencontrer. C’est drôle.

Vous auriez fait «The Voice» ?

Non, je chante faux ! Chacun son métier… Si j’avais eu un petit don, peut-être aurais-je tenté ma chance parce que «The Voice» est un accélérateur de carrière. Voyez Roberto, Loïc, Alice… Mais, je suis très timide, donc, j’aurais hésité longtemps.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Après quatre saisons, vous arrivez à repérer rapidement qui sera «The Voice» ?

Il y a des tendances. Lorsqu’il y a 4 buzzes et que les coachs commencent à se battre pour avoir le talent dans leur équipe, là, on se dit qu’il y a du potentiel. Dans ces cas-là, les talents vont loin dans l’aventure. Mais  il n’y a pas de règle…

Vous avez senti venir Loïc Nottet ou Alice Dutoit ?

Loïc avait déja sa sensibilité artistique sur les duels. Il a fait de l’impro. Même BJ Scott n’était pas au courant. Alice, c’est une voix et un univers…Ce qu’ils font tient la route. Ce sont des exemples de personnalités artistiques complètes et uniques.

Comment sont les nouveaux coaches ?

Je suis très heureuse du retour de Quentin Mosimann. C’est un super client en télé. Et c’est très agréable de travailler de nouveau avec lui.Je ne connais pas bien les Cats on Tree. Ils sont très zen et apportent du calme dans le jury. À coté d’une BJ toujours plus survoltée que jamais, c’est parfait. Le jury est cohérent, cette saison…

Et le niveau des talents ?

Chaque année, on se demande comment dans un si petit pays, on trouve encore des voix comme celles-là. Il y aura quelques «revenants», même si je n’aime pas le terme…

Sentez-vous qu’ils préparent leur venue dans l’émission ?

Oui, par rapport à la saison 1, ils connaissent bien les ficelles et les rouages. Ils arrivent mieux préparés à l’expérience télé. Et en cas d’échec, il y a moins de pleurs et de déceptions. Certains sont même touchés de me rencontrer. C’est drôle.

Vous auriez fait «The Voice» ?

Non, je chante faux ! Chacun son métier… Si j’avais eu un petit don, peut-être aurais-je tenté ma chance parce que «The Voice» est un accélérateur de carrière. Voyez Roberto, Loïc, Alice… Mais, je suis très timide, donc, j’aurais hésité longtemps.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Vous allez animer la cinquième saison de «The Voice Belgique»… La monotonie ne s’installe pas ?

Non. Les talents sont différents, et chaque année, le banc des coaches change. Pour ma part, c’est une grande aventure humaine, et j’ai toujours envie que MES talents (ceux que j’ai interviewés) passent.

Y a-t-il une compétition entre Walid et vous ?

Non, pas à ce point-là ! Mais je connais l’histoire des candidats, puisque j’ai fait leur interview avant de passer sur scène, et puis pour l’entourage c’est une charge émotionnelle énorme. C’est tellement difficile de les réconforter quand ils ne sont pas pris.

Après quatre saisons, vous arrivez à repérer rapidement qui sera «The Voice» ?

Il y a des tendances. Lorsqu’il y a 4 buzzes et que les coachs commencent à se battre pour avoir le talent dans leur équipe, là, on se dit qu’il y a du potentiel. Dans ces cas-là, les talents vont loin dans l’aventure. Mais  il n’y a pas de règle…

Vous avez senti venir Loïc Nottet ou Alice Dutoit ?

Loïc avait déja sa sensibilité artistique sur les duels. Il a fait de l’impro. Même BJ Scott n’était pas au courant. Alice, c’est une voix et un univers…Ce qu’ils font tient la route. Ce sont des exemples de personnalités artistiques complètes et uniques.

Comment sont les nouveaux coaches ?

Je suis très heureuse du retour de Quentin Mosimann. C’est un super client en télé. Et c’est très agréable de travailler de nouveau avec lui.Je ne connais pas bien les Cats on Tree. Ils sont très zen et apportent du calme dans le jury. À coté d’une BJ toujours plus survoltée que jamais, c’est parfait. Le jury est cohérent, cette saison…

Et le niveau des talents ?

Chaque année, on se demande comment dans un si petit pays, on trouve encore des voix comme celles-là. Il y aura quelques «revenants», même si je n’aime pas le terme…

Sentez-vous qu’ils préparent leur venue dans l’émission ?

Oui, par rapport à la saison 1, ils connaissent bien les ficelles et les rouages. Ils arrivent mieux préparés à l’expérience télé. Et en cas d’échec, il y a moins de pleurs et de déceptions. Certains sont même touchés de me rencontrer. C’est drôle.

Vous auriez fait «The Voice» ?

Non, je chante faux ! Chacun son métier… Si j’avais eu un petit don, peut-être aurais-je tenté ma chance parce que «The Voice» est un accélérateur de carrière. Voyez Roberto, Loïc, Alice… Mais, je suis très timide, donc, j’aurais hésité longtemps.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Enregistrer à Paris, ça change des studios de la RTBF ?

C’était le marathon. (rires) Nous sommes arrivés la veille… Nous nous sommes retrouvés catapultés dans l’équipe française qui venait de terminer sa session d’enregistrement pour NRJ12. Ils étaient hyper rodés, par rapport à nous… C’était chaud. Un tourbillon, mais j’ai aimé et l’équipe était adorable. Ils étaient friands des réactions des académiciens belges. Le fait que les humoristes belges soient au taquet, ça les impressionnait. Une belle expérience. J’adorerais refaire un jeu à la télé.

Lequel ?

J’aime bien «Questions pour un champion», même si le format est très culturel et compliqué. Le «Septante et un» est un bon concept aussi, d’ailleurs, le jeu existe depuis longtemps. Un quizz, je trouverais ça sympa.

Vous allez animer la cinquième saison de «The Voice Belgique»… La monotonie ne s’installe pas ?

Non. Les talents sont différents, et chaque année, le banc des coaches change. Pour ma part, c’est une grande aventure humaine, et j’ai toujours envie que MES talents (ceux que j’ai interviewés) passent.

Y a-t-il une compétition entre Walid et vous ?

Non, pas à ce point-là ! Mais je connais l’histoire des candidats, puisque j’ai fait leur interview avant de passer sur scène, et puis pour l’entourage c’est une charge émotionnelle énorme. C’est tellement difficile de les réconforter quand ils ne sont pas pris.

Après quatre saisons, vous arrivez à repérer rapidement qui sera «The Voice» ?

Il y a des tendances. Lorsqu’il y a 4 buzzes et que les coachs commencent à se battre pour avoir le talent dans leur équipe, là, on se dit qu’il y a du potentiel. Dans ces cas-là, les talents vont loin dans l’aventure. Mais  il n’y a pas de règle…

Vous avez senti venir Loïc Nottet ou Alice Dutoit ?

Loïc avait déja sa sensibilité artistique sur les duels. Il a fait de l’impro. Même BJ Scott n’était pas au courant. Alice, c’est une voix et un univers…Ce qu’ils font tient la route. Ce sont des exemples de personnalités artistiques complètes et uniques.

Comment sont les nouveaux coaches ?

Je suis très heureuse du retour de Quentin Mosimann. C’est un super client en télé. Et c’est très agréable de travailler de nouveau avec lui.Je ne connais pas bien les Cats on Tree. Ils sont très zen et apportent du calme dans le jury. À coté d’une BJ toujours plus survoltée que jamais, c’est parfait. Le jury est cohérent, cette saison…

Et le niveau des talents ?

Chaque année, on se demande comment dans un si petit pays, on trouve encore des voix comme celles-là. Il y aura quelques «revenants», même si je n’aime pas le terme…

Sentez-vous qu’ils préparent leur venue dans l’émission ?

Oui, par rapport à la saison 1, ils connaissent bien les ficelles et les rouages. Ils arrivent mieux préparés à l’expérience télé. Et en cas d’échec, il y a moins de pleurs et de déceptions. Certains sont même touchés de me rencontrer. C’est drôle.

Vous auriez fait «The Voice» ?

Non, je chante faux ! Chacun son métier… Si j’avais eu un petit don, peut-être aurais-je tenté ma chance parce que «The Voice» est un accélérateur de carrière. Voyez Roberto, Loïc, Alice… Mais, je suis très timide, donc, j’aurais hésité longtemps.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Ce sera différent ?

Ce seront les mêmes ficelles. La différence, c’est que le jeu sera diffusé en prime time. Lara Fabian sera la première invitée, les académiciens se lâchent un peu plus aussi que sur une quotidienne. Il y aura du rire et de la bonne humeur. C’est un bon programme festif.

De qui vous êtes-vous inspirée : de Foucault ou de Castaldi ?

Ni l’un, ni l’autre. Je reste Maureen Louys. Je me suis souvenue à quel point j’aimais présenter un jeu, comme du temps de «Génies en herbe». J’ai très vite retrouvé mes marques. Mon rôle est de faire que la mécanique roule, avec une certaine interaction avec les académiciens. Je suis très contente du résultat.

Enregistrer à Paris, ça change des studios de la RTBF ?

C’était le marathon. (rires) Nous sommes arrivés la veille… Nous nous sommes retrouvés catapultés dans l’équipe française qui venait de terminer sa session d’enregistrement pour NRJ12. Ils étaient hyper rodés, par rapport à nous… C’était chaud. Un tourbillon, mais j’ai aimé et l’équipe était adorable. Ils étaient friands des réactions des académiciens belges. Le fait que les humoristes belges soient au taquet, ça les impressionnait. Une belle expérience. J’adorerais refaire un jeu à la télé.

Lequel ?

J’aime bien «Questions pour un champion», même si le format est très culturel et compliqué. Le «Septante et un» est un bon concept aussi, d’ailleurs, le jeu existe depuis longtemps. Un quizz, je trouverais ça sympa.

Vous allez animer la cinquième saison de «The Voice Belgique»… La monotonie ne s’installe pas ?

Non. Les talents sont différents, et chaque année, le banc des coaches change. Pour ma part, c’est une grande aventure humaine, et j’ai toujours envie que MES talents (ceux que j’ai interviewés) passent.

Y a-t-il une compétition entre Walid et vous ?

Non, pas à ce point-là ! Mais je connais l’histoire des candidats, puisque j’ai fait leur interview avant de passer sur scène, et puis pour l’entourage c’est une charge émotionnelle énorme. C’est tellement difficile de les réconforter quand ils ne sont pas pris.

Après quatre saisons, vous arrivez à repérer rapidement qui sera «The Voice» ?

Il y a des tendances. Lorsqu’il y a 4 buzzes et que les coachs commencent à se battre pour avoir le talent dans leur équipe, là, on se dit qu’il y a du potentiel. Dans ces cas-là, les talents vont loin dans l’aventure. Mais  il n’y a pas de règle…

Vous avez senti venir Loïc Nottet ou Alice Dutoit ?

Loïc avait déja sa sensibilité artistique sur les duels. Il a fait de l’impro. Même BJ Scott n’était pas au courant. Alice, c’est une voix et un univers…Ce qu’ils font tient la route. Ce sont des exemples de personnalités artistiques complètes et uniques.

Comment sont les nouveaux coaches ?

Je suis très heureuse du retour de Quentin Mosimann. C’est un super client en télé. Et c’est très agréable de travailler de nouveau avec lui.Je ne connais pas bien les Cats on Tree. Ils sont très zen et apportent du calme dans le jury. À coté d’une BJ toujours plus survoltée que jamais, c’est parfait. Le jury est cohérent, cette saison…

Et le niveau des talents ?

Chaque année, on se demande comment dans un si petit pays, on trouve encore des voix comme celles-là. Il y aura quelques «revenants», même si je n’aime pas le terme…

Sentez-vous qu’ils préparent leur venue dans l’émission ?

Oui, par rapport à la saison 1, ils connaissent bien les ficelles et les rouages. Ils arrivent mieux préparés à l’expérience télé. Et en cas d’échec, il y a moins de pleurs et de déceptions. Certains sont même touchés de me rencontrer. C’est drôle.

Vous auriez fait «The Voice» ?

Non, je chante faux ! Chacun son métier… Si j’avais eu un petit don, peut-être aurais-je tenté ma chance parce que «The Voice» est un accélérateur de carrière. Voyez Roberto, Loïc, Alice… Mais, je suis très timide, donc, j’aurais hésité longtemps.

Entretien : Pierre Bertinchamps

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