Marie-Christine Maillard : «Débranchée de la télé»

«Frédéric Etherlinck m’a convaincue de participer !», nous raconte-t-elle © RTL Belgium/Frédéric Raevens
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

L’ancienne animatrice revient sur RTL-TVI dans la saison 2 du jeu «Les Traîtres».

On ne l’a pas oubliée dans «Clip Clap», «Fera, fera pas», «L’Ultratop»… Marie-Christine Maillard (60 ans) était une figure emblématique de RTL-TVI, dès sa création en 1987. Après quinze ans, le chapitre de la télévision s’est refermé et c’est vers la chanson et le spectacle que la Namuroise s’est tournée. Aujourd’hui, elle prépare un retour sur scène et s’adonne à sa passion pour la peinture.

Qu’est-ce qui vous a convaincue de participer aux «Traîtres» ?

J’ai reçu un premier coup de fil… et j’étais un peu sceptique, d’autant que je vis beaucoup dans le sud de la France. Je suis débranchée de la télé belge, parce que je vis dans «ma» nature. Mais j’ai regardé la première saison et je l’ai trouvée très prenante. C’est finalement Frédéric Etherlinck qui m’a convaincue en me disant qu’il y avait une chouette ambiance. Et il a eu raison.

La télévision, ça faisait un bail…

C’était très intéressant de m’y replonger après vingt ans. Elle a beaucoup évolué. Je me rappelle un peu des codes de la téléréalité, mais «Les Traîtres» reste avant tout un jeu et c’est ce qui m’a plu.

Dans la première saison, des épreuves étaient difficiles. Avez-vous parfois eu peur ?

Je ne vais pas dire que je suis un garçon manqué, mais j’ai toujours bien aimé le risque. Je suis très sportive, je fais du canicross tous les jours dans les bois. Je suis en bonne condition physique. Et même les épreuves avec des petites bestioles, ça ne me dérange pas.

Vous aimeriez revenir en télé ?

Non, pas comme ça… Refaire de la télévision, de manière très ponctuelle, pourquoi pas, mais pas à temps plein. J’avoue que «Les Traîtres» m’a rendu un peu d’envie. Mais la télé ne me manque pas. J’ai une vie bien remplie : je peins depuis une dizaine d’années et j’écris la troisième version de mon spectacle dédié au chocolat.

Cet article est paru dans le Télépro du 2/2/2023

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