Maria del Rio : «Je ne suis pas quelqu’un de capricieux, ni de glamour» (interview)

Maria del Rio : «Je ne suis pas quelqu’un de capricieux, ni de glamour» (interview)
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Pour les réveillons, l’animatrice sera aux commandes des deux numéros de «L’Année des stars» sur RTL-TVI : ce jeudi soir et jeudi prochain. L’occasion de revenir sur les buzz people de 2015 et le gros baby-boom à RTL House.

En novembre dernier, RTL-TVI confiait à Maria del Rio une émission dédiée à Dany Boon, à l’occasion de la diffusion du film «Le Volcan». Un succès pour l’animatrice qui avait réuni plus de 500.000 téléspectateurs. Il était donc normal que la chaîne privée lui fasse à nouveau confiance pour les fêtes. 

Bien sûr, mais comme dans tout. À la radio, on a beaucoup de liberté, mais il y a un certain cadrage derrière. Dans le jeu, ce que j’aime, c’est le côté surprenant du concept et les candidats avec qui vous avez envie de sympathiser. 

Vous avez aussi des caprices de stars comme ceux que l’on va découvrir dans l’émission ?

Non, et je crois que je n’en ai pas assez d’ailleurs ! (rires) Je ne suis pas quelqu’un de capricieux, ni de glamour. Je suis quelqu’un de normal finalement !

Il y a une actu de star qui vous a marqué en 2015 ?

À la limite du traumatisant, avec Nabilla et son coup de couteau… On se rend compte de la frontière très limite et des dérives de la téléréalité. Cette fille qui a l’air idiote à mourir mais où on se rend compte qu’elle ne l’est pas forcément autant qu’elle ne le montre, et qui est à l’aube d’avoir la confiance d’animateurs comme Cyril Hanouna. Et en pleine ascension… ça dérape. La réalité prend le dessus sur cet enfant de la téléréalité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

«L’Année des stars», jeudi 24 et 31 décembre à 19h45 sur RTL-TVI

Ça m’a fait super plaisir que l’on pense à moi pour ce genre d’émission qui ne me correspondait pas aux premiers abords et dans lequel je n’avais jamais mis les pieds. Il y a cette confiance qui m’est faite. Ce sont des événementielles, donc il n’est pas non plus question de quitter Radio Contact et «Le Good Morning».

Si vous aviez le choix d’un programme de télé à présenter, ce serait quoi ?

Ce serait quelque chose qui va dans l’empathie. Comme «Les Orages de la vie». Un programme qui permet d’être dans la découverte de l’autre et dans le partage. Que ce soit avec un quidam ou un artiste. Se laisser surprendre pas des émotions, des instants… C’est à mon sens plus intéressant qu’une présentation en face caméra.  En fait, ce serait un concept qui se rapprocherait beaucoup de la radio avec des auditeurs à l’antenne, être proche d’eux, et partager ce que l’on ressent dans un échange.

Et refaire un jeu ?

J’aimerais bien aussi. Qui dit «jeu», dit «participer»…

Mais dit aussi «concept très carré et fermé»…

Bien sûr, mais comme dans tout. À la radio, on a beaucoup de liberté, mais il y a un certain cadrage derrière. Dans le jeu, ce que j’aime, c’est le côté surprenant du concept et les candidats avec qui vous avez envie de sympathiser. 

Vous avez aussi des caprices de stars comme ceux que l’on va découvrir dans l’émission ?

Non, et je crois que je n’en ai pas assez d’ailleurs ! (rires) Je ne suis pas quelqu’un de capricieux, ni de glamour. Je suis quelqu’un de normal finalement !

Il y a une actu de star qui vous a marqué en 2015 ?

À la limite du traumatisant, avec Nabilla et son coup de couteau… On se rend compte de la frontière très limite et des dérives de la téléréalité. Cette fille qui a l’air idiote à mourir mais où on se rend compte qu’elle ne l’est pas forcément autant qu’elle ne le montre, et qui est à l’aube d’avoir la confiance d’animateurs comme Cyril Hanouna. Et en pleine ascension… ça dérape. La réalité prend le dessus sur cet enfant de la téléréalité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

«L’Année des stars», jeudi 24 et 31 décembre à 19h45 sur RTL-TVI

Peut-être… Pour moi, c’est un exercice que j’ai découvert : être dans l’intimité avec un(e) artiste, et partager, découvrir et se laisser aller dans une interview. Un moment de spontanéité qui m’a beaucoup plu. 

Se retrouver avec des jeunes (presque) mamans pour un baby-shower, ça ne vous donne pas envie d’avoir de nouveau un bébé ?

Non… Ça m’a concerné, il y a 8 ans, avec mon petit Diégo… Mais c’est vrai qu’en voyant les mamans et les petits bébés, mon cœur m’a fait dire «Mon dieu, j’en voudrais bien un !». Finalement, je suis totalement épanouie avec mon petit garçon.

2015, c’est aussi votre année de star de la télé sur RTL ?

Ça m’a fait super plaisir que l’on pense à moi pour ce genre d’émission qui ne me correspondait pas aux premiers abords et dans lequel je n’avais jamais mis les pieds. Il y a cette confiance qui m’est faite. Ce sont des événementielles, donc il n’est pas non plus question de quitter Radio Contact et «Le Good Morning».

Si vous aviez le choix d’un programme de télé à présenter, ce serait quoi ?

Ce serait quelque chose qui va dans l’empathie. Comme «Les Orages de la vie». Un programme qui permet d’être dans la découverte de l’autre et dans le partage. Que ce soit avec un quidam ou un artiste. Se laisser surprendre pas des émotions, des instants… C’est à mon sens plus intéressant qu’une présentation en face caméra.  En fait, ce serait un concept qui se rapprocherait beaucoup de la radio avec des auditeurs à l’antenne, être proche d’eux, et partager ce que l’on ressent dans un échange.

Et refaire un jeu ?

J’aimerais bien aussi. Qui dit «jeu», dit «participer»…

Mais dit aussi «concept très carré et fermé»…

Bien sûr, mais comme dans tout. À la radio, on a beaucoup de liberté, mais il y a un certain cadrage derrière. Dans le jeu, ce que j’aime, c’est le côté surprenant du concept et les candidats avec qui vous avez envie de sympathiser. 

Vous avez aussi des caprices de stars comme ceux que l’on va découvrir dans l’émission ?

Non, et je crois que je n’en ai pas assez d’ailleurs ! (rires) Je ne suis pas quelqu’un de capricieux, ni de glamour. Je suis quelqu’un de normal finalement !

Il y a une actu de star qui vous a marqué en 2015 ?

À la limite du traumatisant, avec Nabilla et son coup de couteau… On se rend compte de la frontière très limite et des dérives de la téléréalité. Cette fille qui a l’air idiote à mourir mais où on se rend compte qu’elle ne l’est pas forcément autant qu’elle ne le montre, et qui est à l’aube d’avoir la confiance d’animateurs comme Cyril Hanouna. Et en pleine ascension… ça dérape. La réalité prend le dessus sur cet enfant de la téléréalité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

«L’Année des stars», jeudi 24 et 31 décembre à 19h45 sur RTL-TVI

Vous êtes aux commandes de deux émissions exceptionnelles en cette fin d’année…

Pour la spéciale baby-boom, je me suis retrouvée avec Fanny Jandrain, Sandrine Corman et leurs bébés, et Emilie Dupuis, dans une ambiance baby-shower. Ce sera l’occasion de faire une petite rétrospective de ce qui a marqué la planète people. Du léger mais très sympa. L’émission de la semaine prochaine m’a beaucoup marquée et j’ai pris beaucoup de plaisir à la tourner. C’est une coprésentation avec Lara Fabian, mais c’était aussi l’occasion de la suivre lors d’une journée de dédicaces. On verra Lara qui est restée trois heures à signer des autographes. C’est vraiment quelqu’un de très généreux et sympa, je trouve.

Vous suivez un peu les traces de Thomas Van Hamme ?

Peut-être… Pour moi, c’est un exercice que j’ai découvert : être dans l’intimité avec un(e) artiste, et partager, découvrir et se laisser aller dans une interview. Un moment de spontanéité qui m’a beaucoup plu. 

Se retrouver avec des jeunes (presque) mamans pour un baby-shower, ça ne vous donne pas envie d’avoir de nouveau un bébé ?

Non… Ça m’a concerné, il y a 8 ans, avec mon petit Diégo… Mais c’est vrai qu’en voyant les mamans et les petits bébés, mon cœur m’a fait dire «Mon dieu, j’en voudrais bien un !». Finalement, je suis totalement épanouie avec mon petit garçon.

2015, c’est aussi votre année de star de la télé sur RTL ?

Ça m’a fait super plaisir que l’on pense à moi pour ce genre d’émission qui ne me correspondait pas aux premiers abords et dans lequel je n’avais jamais mis les pieds. Il y a cette confiance qui m’est faite. Ce sont des événementielles, donc il n’est pas non plus question de quitter Radio Contact et «Le Good Morning».

Si vous aviez le choix d’un programme de télé à présenter, ce serait quoi ?

Ce serait quelque chose qui va dans l’empathie. Comme «Les Orages de la vie». Un programme qui permet d’être dans la découverte de l’autre et dans le partage. Que ce soit avec un quidam ou un artiste. Se laisser surprendre pas des émotions, des instants… C’est à mon sens plus intéressant qu’une présentation en face caméra.  En fait, ce serait un concept qui se rapprocherait beaucoup de la radio avec des auditeurs à l’antenne, être proche d’eux, et partager ce que l’on ressent dans un échange.

Et refaire un jeu ?

J’aimerais bien aussi. Qui dit «jeu», dit «participer»…

Mais dit aussi «concept très carré et fermé»…

Bien sûr, mais comme dans tout. À la radio, on a beaucoup de liberté, mais il y a un certain cadrage derrière. Dans le jeu, ce que j’aime, c’est le côté surprenant du concept et les candidats avec qui vous avez envie de sympathiser. 

Vous avez aussi des caprices de stars comme ceux que l’on va découvrir dans l’émission ?

Non, et je crois que je n’en ai pas assez d’ailleurs ! (rires) Je ne suis pas quelqu’un de capricieux, ni de glamour. Je suis quelqu’un de normal finalement !

Il y a une actu de star qui vous a marqué en 2015 ?

À la limite du traumatisant, avec Nabilla et son coup de couteau… On se rend compte de la frontière très limite et des dérives de la téléréalité. Cette fille qui a l’air idiote à mourir mais où on se rend compte qu’elle ne l’est pas forcément autant qu’elle ne le montre, et qui est à l’aube d’avoir la confiance d’animateurs comme Cyril Hanouna. Et en pleine ascension… ça dérape. La réalité prend le dessus sur cet enfant de la téléréalité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

«L’Année des stars», jeudi 24 et 31 décembre à 19h45 sur RTL-TVI

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