Malaise lors de l’expérience sous hypnose de Gilles Verdez dans «Touche pas à mon poste !» (vidéo)
Jeudi soir, Cyril Hanouna avait invité un hypnotiseur, Cyril Arnaud. Une séquence que Gilles Verdez n’est pas prêt d’oublier…
«Touche pas à mon poste !» est une solide machine à buzz, et il ne se passe pas quinze jours sans que l’on ne parle de l’émission. Jeudi, c’est un spectacle à la fois drôle et déstabilisant que le talk-show de Cyril Hanouna nous a donné à voir.
À l’occasion de la venue des frères Bogdanoff pour présenter leur nouvel ouvrage, l’animateur a souhaité rester dans l’esprit paranormal, et a invité l’hypnotiseur Cyril Arnaud. Trois chroniqueurs ont ainsi fait l’expérience de la conscience modifiée.
Une conscience fonctionnant de manière non volontaire
L’hypnose consiste à établir, parallèlement à la conscience qui est toujours présente, une conscience qui fonctionne de manière non volontaire. Freud l’utilisait principalement pour aider le patient à retrouver un traumatisme oublié.
Camille Combal, Bertrand Chameroy et Gilles Verdez se sont donc prêtés au jeu. Si les deux premiers ont offert aux téléspectateurs des performances plutôt comiques, ça s’est passé très différemment pour le journaliste Gilles Verdez.
Il voyait sa femme sur le plateau
Conditionnés avant l’émission par Cyril Arnaud, les chroniqueurs devaient réagir malgré eux à chaque fois que certains mots étaient prononcés au cours de l’émission.
Gilles Verdez était préparé pour que le mot «femme» lui donne envie de crier le nom de Fatou, sa bien-aimée dont il parle très souvent. Convaincu par l’hypnotiseur de voir arriver la jeune femme sur le plateau de «TPMP !», Verdez a littéralement fondu en larmes, ce qui n’a pas manqué de jeter un grand froid…
«Il me fout le bourdon, ce con !»
Très réceptif à ce conditionnement, le chroniqueur a en tout cas fait très peur à ses camarades tant il semblait perturbé. «Il me fout le bourdon, ce con !», a lâché Cyril Hanouna, avant que chacun retrouve ses esprits.
Sébastien Varveris
Visionnez le malaise de Gilles Verdez grâce aux deux vidéos ci-dessous :
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