Ce jeudi 9 février sur AB3 à 20 heures, le chanteur participe – pour le meilleur et pour le pire – à l’émission «À l’état sauvage».
On a plutôt l’habitude de voir M. Pokora frais et bien propre sur lui dans des divertissements familiaux sur TF1 (entre autres). Ce soir, les téléspectateurs d’AB3 vont être surpris.
Pour «À l’Etat sauvage», Matt a accepté de suivre Mike Horn dans une expédition pas piquée des hannetons.
Mais le «voyage» en valait aussi le détour. «Les yeux dans un ciel étoilé, et au milieu des bruits de la jungle, j’étais dans un film. C’était extraordinaire !», conclut-il.
Matt Pokora en a profité pour rester une semaine de plus après le tournage, pour découvrir une facette plus «édulcorée» du Sri Lanka.
Retrouvez l’intégralité de l’interview de Matt Pokora dans le Télépro (n°3283) du jeudi 2 février 2017
Pierre Bertinchamps
Quant aux repas, les menus sont variés mais pas forcément très appétissants avec des escargots, du serpent, du poisson (on oublie les fish-sticks !), des noix de coco et de la canne à sucre pour reprendre des forces. «J’ai mangé un bout de serpent», confie le chanteur. «Ça ressemble à un mélange de poulet et de poisson.»
Évidemment, M.Pokora ne part pas seul dans cette expédition. Il est épaulé par l’explorateur suisse, Mike Horn. «Mike est un préparateur mental, et je comprends que les Allemands ont gagné la Coupe du Monde de football, il était leur coach mental.», raconte le coach de «The Voice France» . «À aucun moment je ne me ferme parce que tout ce qu’il dit résonne en moi…»
Mais le «voyage» en valait aussi le détour. «Les yeux dans un ciel étoilé, et au milieu des bruits de la jungle, j’étais dans un film. C’était extraordinaire !», conclut-il.
Matt Pokora en a profité pour rester une semaine de plus après le tournage, pour découvrir une facette plus «édulcorée» du Sri Lanka.
Retrouvez l’intégralité de l’interview de Matt Pokora dans le Télépro (n°3283) du jeudi 2 février 2017
Pierre Bertinchamps
«J’avais envie de partir avec des potes au Tibet, quand la proposition est arrivée», explique M. Pokora. «J’ai dit oui du tac au tac. Il fallait que je sorte de ma zone de confort, sans téléphone, loin de ma vie de tous les jours.»
Et niveau matériel «de survie», Matt n’a pas été déçu… Une gourde, un couteau et une machette pour boire, se nourrir ou avancer dans la jungle. Un hamac pour dormir en hauteur et éviter d’être dans le passage des éléphants. Un sac de couchage pour se préserver des animaux et de l’humidité en pleine nuit.
Quant aux repas, les menus sont variés mais pas forcément très appétissants avec des escargots, du serpent, du poisson (on oublie les fish-sticks !), des noix de coco et de la canne à sucre pour reprendre des forces. «J’ai mangé un bout de serpent», confie le chanteur. «Ça ressemble à un mélange de poulet et de poisson.»
Évidemment, M.Pokora ne part pas seul dans cette expédition. Il est épaulé par l’explorateur suisse, Mike Horn. «Mike est un préparateur mental, et je comprends que les Allemands ont gagné la Coupe du Monde de football, il était leur coach mental.», raconte le coach de «The Voice France» . «À aucun moment je ne me ferme parce que tout ce qu’il dit résonne en moi…»
Mais le «voyage» en valait aussi le détour. «Les yeux dans un ciel étoilé, et au milieu des bruits de la jungle, j’étais dans un film. C’était extraordinaire !», conclut-il.
Matt Pokora en a profité pour rester une semaine de plus après le tournage, pour découvrir une facette plus «édulcorée» du Sri Lanka.
Retrouvez l’intégralité de l’interview de Matt Pokora dans le Télépro (n°3283) du jeudi 2 février 2017
Pierre Bertinchamps
C’est au Sri Lanka que se retrouve l’Alsacien. Un pays qui détient le triste record du plus haut taux de mortalité au monde causée par des morsures de serpents. Au programme : huit heures de marche par jour, et repos dans une cabane.
Le chanteur avoue que c’est la première fois qu’il dormira dans ce type d’habitat de fortune… Et le parcours sera digne d’un «Koh-Lanta» mais en pire. Avec un taux d’humidité à 100% (qui ralentit la respiration et la récupération, et où on marche 6 fois moins vite !), M Pokora devra escalader des montagnes, franchir des cascades, tenter de ne pas se perdre dans une jungle hostile. Bref, on est loin du confort d’un fauteuil de «The Voice – la plus belle voix» !
«J’avais envie de partir avec des potes au Tibet, quand la proposition est arrivée», explique M. Pokora. «J’ai dit oui du tac au tac. Il fallait que je sorte de ma zone de confort, sans téléphone, loin de ma vie de tous les jours.»
Et niveau matériel «de survie», Matt n’a pas été déçu… Une gourde, un couteau et une machette pour boire, se nourrir ou avancer dans la jungle. Un hamac pour dormir en hauteur et éviter d’être dans le passage des éléphants. Un sac de couchage pour se préserver des animaux et de l’humidité en pleine nuit.
Quant aux repas, les menus sont variés mais pas forcément très appétissants avec des escargots, du serpent, du poisson (on oublie les fish-sticks !), des noix de coco et de la canne à sucre pour reprendre des forces. «J’ai mangé un bout de serpent», confie le chanteur. «Ça ressemble à un mélange de poulet et de poisson.»
Évidemment, M.Pokora ne part pas seul dans cette expédition. Il est épaulé par l’explorateur suisse, Mike Horn. «Mike est un préparateur mental, et je comprends que les Allemands ont gagné la Coupe du Monde de football, il était leur coach mental.», raconte le coach de «The Voice France» . «À aucun moment je ne me ferme parce que tout ce qu’il dit résonne en moi…»
Mais le «voyage» en valait aussi le détour. «Les yeux dans un ciel étoilé, et au milieu des bruits de la jungle, j’étais dans un film. C’était extraordinaire !», conclut-il.
Matt Pokora en a profité pour rester une semaine de plus après le tournage, pour découvrir une facette plus «édulcorée» du Sri Lanka.
Retrouvez l’intégralité de l’interview de Matt Pokora dans le Télépro (n°3283) du jeudi 2 février 2017
Pierre Bertinchamps
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