Ancien candidat de «Pékin Express», le Luxembourgeois est aujourd’hui chroniqueur sur RTL-TVI. Et il s’éclate dans «La Grande balade».
Avec Ludovic Daxhelet, nos balades touristiques ne seront plus jamais les mêmes. «Vif et toujours souriant», comme le précise le dossier de presse de RTL-TVI, Ludo a une empathie et une certaine curiosité naturelle. «La Grande balade» était faite pour lui.
Vous êtes le nouveau Guy Lemaire ?
La même carrière que lui m’intéresse aussi. Je suis un peu plus spittant et j’ai trente ans de moins…
Qu’est-ce qui vous plaît dans «La Grande balade» ?
Ce sont les découvertes. On voit des trucs de dingue ! J’adore découvrir de nouvelles choses, et c’est pour ça que j’avais fait «Pékin Express». Je voulais découvrir le monde. Et si en plus, c’est près de chez moi, c’est bingo ! Au Sentier des Fées, à Virton, j’ai vécu des choses de ouf ! Ce sont souvent des endroits que l’on ne soupçonne même pas. On passe en voiture devant, et on ne sait pas que derrière une façade, c’est le Musée de la boîte en métal, avec 60.000 pièces.
Vous préparez comment vos visites ?
Je ne prépare jamais. J’ai une conduite où je sais où je dois aller, mais quand j’arrive, je découvre. Et les questions que je pose ne sont pas non plus préparées. C’est de l’impro totale… La Wallonie insolite, ça me correspond exactement.
Vous repostuleriez dans un jeu d’aventures ?
Non, je l’ai fait quatre fois dans «Pékin Express». C’est un format que j’aime beaucoup, mais je préfèrerais un concept où c’est moi qui fait découvrir des choses aux autres, mais tout en partant à l’aventure avec eux. J’ai tellement vu de choses, que c’est moi qui ai envie de montrer des choses aux autres. Je les embarque quatre jours avec moi, et je leur demande juste de me faire confiance, et ils vont en avoir plein les yeux. J’ai plusieurs idées en tête, et je travaille à créer un concept.
Et en France ?
Je continue ma collaboration sur Sciences et vie TV. J’ai signé pour une saison 2 de «Ramène ta science».
Après cinq ans, vous n’en avez pas envie de faire autre chose ?
Non, parce que je change de sujets souvent. En quatre saisons de «I comme…», j’ai fait quatre choses différentes.
Entretien : Pierre Bertinchamps
Ça ne fait pas doublon avec «I Comme» ?
Si, d’ailleurs ma séquence va changer. Je vais partir à travers l’Europe. Ça faisait quatre ans que je fais 30 tests, 20 phobies et plus de 37 métiers. Là, je serai un peu plus baroudeur…
Vous avez le temps de tout faire ?
J’aimerais bien que les journées soient plus longues… J’adore ce que je fais, et j’ai la chance d’en faire mon métier. J’ai fait le tour du Monde avec «Pékin Express» en tant que candidat, et là, c’est devenu mon métier.
Quel est l’endroit qui vous a le plus marqué ?
Il y en a tellement… Mais les Cabanes de Rensiwez, j’aimerais y revenir avec mes enfants. Dans la chambre, on peut dormir à la belle étoile, en ouvrant simplement le toit.
Vous vous imaginiez à la télé, il y a dix ans ?
À 25 ans, je faisais déjà un peu de théâtre, mais la télé n’était pas une vocation, d’ailleurs quand je suis parti pour «Pékin Express», j’étais coach sportif.
Qu’est-ce que vous aimeriez faire à la télé ?
Un programme d’aventures, du genre de ce que fait Mike Horn. Mon émission, ce serait un mélange de «J’irai dormir chez vous» et «Rendez-vous en terre inconnue». J’adorerais faire ce que fait Frédéric Lopez.
Vous repostuleriez dans un jeu d’aventures ?
Non, je l’ai fait quatre fois dans «Pékin Express». C’est un format que j’aime beaucoup, mais je préfèrerais un concept où c’est moi qui fait découvrir des choses aux autres, mais tout en partant à l’aventure avec eux. J’ai tellement vu de choses, que c’est moi qui ai envie de montrer des choses aux autres. Je les embarque quatre jours avec moi, et je leur demande juste de me faire confiance, et ils vont en avoir plein les yeux. J’ai plusieurs idées en tête, et je travaille à créer un concept.
Et en France ?
Je continue ma collaboration sur Sciences et vie TV. J’ai signé pour une saison 2 de «Ramène ta science».
Après cinq ans, vous n’en avez pas envie de faire autre chose ?
Non, parce que je change de sujets souvent. En quatre saisons de «I comme…», j’ai fait quatre choses différentes.
Entretien : Pierre Bertinchamps
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