Loïc, le Jamie Oliver belge, à découvrir dès ce lundi sur RTL-TVI !

Loïc, le Jamie Oliver belge, à découvrir dès ce lundi sur RTL-TVI !
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Loïc est le nouveau chef de RTL-TVI. Pourtant, il n’a jamais mis les pieds dans une école hôtelière ni un cours de cuisine.

«Loïc, fou de cuisine» débarque dès ce 2 septembre à 18h10 sur RTL-TVI. L’émission sera diffusée chaque soir, du lundi au vendredi.

C’est un personnage Loïc ! Jeune et dynamique, il manie les couteaux de cuisine comme personne. Pourtant, il n’a jamais suivi de formation pour devenir un grand chef. Il a juste regardé la pléthore de programmes culinaires à la télé… Depuis, Loïc est fou de cuisine !

Qu’est-ce qu’il y aura de différent dans «Loïc, fou de cuisine» par rapport aux autres émissions ?

Je ne suis pas un pro comme tous les autres chefs de la télé. C’est de la cuisine de tous les jours, authentique et accessible. Les ingrédients, on va les trouver assez facilement sauf peut-être les produits japonais. La cuisine japonaise aura une influence dans mes recettes, parce que j’ai vécu 6 mois là-bas. Mais ce sera toujours goûtu et gourmand. J’ai aussi envie de faire du programme, un petit divertissement tout en faisant saliver les gens devant leur télé.

Quel est votre plat préféré ?

Si un jour, je me retrouvais en prison, dans le couloir de la mort, et que je devais choisir mon tout dernier plat, ce serait 15 Fishsticks Iglo (la marque est importante, NDLR) nappés d’épinards à la crème. C’est contradictoire avec ce que je promeus à la télé, où je propose de la cuisine maison, mais de temps en temps, un petit snack, c’est bon aussi.

Vous cuisinez beaucoup chez vous ?

Quand on fait une fête avec des potes, c’est toujours moi qui cuisine. Même si je suis crevé et que j’arrive quelque part, je me mets derrière le barbecue ou les fourneaux, ça va me décontracter. Je peux y rester toute la soirée sans problème…

Entretien : Pierre Bertinchamps

L’émission sera aussi diffusée sur VTM…

Oui, ce sera exactement la même émission, parce que je suis parfait bilingue. Je serai dans ma cuisine et je ferai les mêmes recettes. En Flandre, ce sera plus long parce que je vais aller à la rencontre de producteurs et d’agriculteurs.

Les Flamands et les Wallons cuisinent de la même façon ?

Pour moi, oui. Il n’y a qu’une cuisine en Belgique que ce soit pour préparer un Waterzooi à la gantoise ou des boulets à la liégeoise…

Quel est votre plat préféré ?

Si un jour, je me retrouvais en prison, dans le couloir de la mort, et que je devais choisir mon tout dernier plat, ce serait 15 Fishsticks Iglo (la marque est importante, NDLR) nappés d’épinards à la crème. C’est contradictoire avec ce que je promeus à la télé, où je propose de la cuisine maison, mais de temps en temps, un petit snack, c’est bon aussi.

Vous cuisinez beaucoup chez vous ?

Quand on fait une fête avec des potes, c’est toujours moi qui cuisine. Même si je suis crevé et que j’arrive quelque part, je me mets derrière le barbecue ou les fourneaux, ça va me décontracter. Je peux y rester toute la soirée sans problème…

Entretien : Pierre Bertinchamps

Vous êtes la preuve vivante qu’on peut devenir cuisinier en regardant la télé…

Exactement. Je regardais tout ce qui passait ! Et encore aujourd’hui grâce à Youtube. C’est presque devenu obsessionnel.

C’est un genre télé à la mode.

Oui, bien sûr. Il y a toutes les cuisines et dans toutes les langues… J’ai envie de montrer que toutes ces influences m’ont forgé dans le métier.

L’émission sera aussi diffusée sur VTM…

Oui, ce sera exactement la même émission, parce que je suis parfait bilingue. Je serai dans ma cuisine et je ferai les mêmes recettes. En Flandre, ce sera plus long parce que je vais aller à la rencontre de producteurs et d’agriculteurs.

Les Flamands et les Wallons cuisinent de la même façon ?

Pour moi, oui. Il n’y a qu’une cuisine en Belgique que ce soit pour préparer un Waterzooi à la gantoise ou des boulets à la liégeoise…

Quel est votre plat préféré ?

Si un jour, je me retrouvais en prison, dans le couloir de la mort, et que je devais choisir mon tout dernier plat, ce serait 15 Fishsticks Iglo (la marque est importante, NDLR) nappés d’épinards à la crème. C’est contradictoire avec ce que je promeus à la télé, où je propose de la cuisine maison, mais de temps en temps, un petit snack, c’est bon aussi.

Vous cuisinez beaucoup chez vous ?

Quand on fait une fête avec des potes, c’est toujours moi qui cuisine. Même si je suis crevé et que j’arrive quelque part, je me mets derrière le barbecue ou les fourneaux, ça va me décontracter. Je peux y rester toute la soirée sans problème…

Entretien : Pierre Bertinchamps

Vous êtes un enfant de la télé culinaire ?

Depuis que je suis tout petit. Je regarde toutes les émissions, et dans toutes les langues. Je me souviens de «Bon appétit, bien sûr !», sur France 3. Je rentrais de l’école le midi pour la regarder. C’était ma révélation. Il y a eu aussi «Oui chef !», avec Cyril Lignac, puis les séries de «Masterchef», «Top Chef»…

Vous n’avez pas eu envie de participer à ces émissions-là ?

En 2013, j’ai participé à «Masterchef», sur TF1. J’ai été pris jusqu’à la dernière phase de sélection. Je me suis inscrit ensuite à une émission de cuisine sur VTM, en coproduction avec les Pays-Bas. C’était un challenge entre les Néerlandais et les Belges avec des pros et des amateurs mélangés. Là, je me suis retrouvé en finale. C’est là que j’ai rencontré plein de gens du milieu de la télé et de la cuisine.

Vous êtes la preuve vivante qu’on peut devenir cuisinier en regardant la télé…

Exactement. Je regardais tout ce qui passait ! Et encore aujourd’hui grâce à Youtube. C’est presque devenu obsessionnel.

C’est un genre télé à la mode.

Oui, bien sûr. Il y a toutes les cuisines et dans toutes les langues… J’ai envie de montrer que toutes ces influences m’ont forgé dans le métier.

L’émission sera aussi diffusée sur VTM…

Oui, ce sera exactement la même émission, parce que je suis parfait bilingue. Je serai dans ma cuisine et je ferai les mêmes recettes. En Flandre, ce sera plus long parce que je vais aller à la rencontre de producteurs et d’agriculteurs.

Les Flamands et les Wallons cuisinent de la même façon ?

Pour moi, oui. Il n’y a qu’une cuisine en Belgique que ce soit pour préparer un Waterzooi à la gantoise ou des boulets à la liégeoise…

Quel est votre plat préféré ?

Si un jour, je me retrouvais en prison, dans le couloir de la mort, et que je devais choisir mon tout dernier plat, ce serait 15 Fishsticks Iglo (la marque est importante, NDLR) nappés d’épinards à la crème. C’est contradictoire avec ce que je promeus à la télé, où je propose de la cuisine maison, mais de temps en temps, un petit snack, c’est bon aussi.

Vous cuisinez beaucoup chez vous ?

Quand on fait une fête avec des potes, c’est toujours moi qui cuisine. Même si je suis crevé et que j’arrive quelque part, je me mets derrière le barbecue ou les fourneaux, ça va me décontracter. Je peux y rester toute la soirée sans problème…

Entretien : Pierre Bertinchamps

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