Les 6 choses qui changent dans la saison 7 de «Top Chef»

Les 6 choses qui changent dans la saison 7 de «Top Chef»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Ce mardi soir, le concours culinaire revient à 20h20, sur RTL-TVI. Qui dit nouvelle saison, dit changements en vue. Télépro dresse l’inventaire !

Déjà la septième saison de «Top Chef» ! Contrairement à son grand concurrent de la crèmerie d’en face, «MasterChef», le divertissement des chefs déjà bien ancrés dans la vie professionnelle a réussi à se renouveler l’an dernier, au point d’être devenu un modèle pour les autres versions du format, à l’international. Cette saison aussi, quelques petits changements sont attendus, mais rien de révolutionnaire.

Du lundi au mardi

Enfin, ce n’est pas un changement, mais plutôt une petite révolution, cette saison verra s’affronter 2 Belges sur les seize candidats en lice. Le Liégeois, Kevin Roquet, et le Bruxellois, Alexandre Moormann. Deux compatriotes dans «Top chef», c’est une première !

Le jury ne change pas, toujours composé de Philippe Etchebest, Hélène Darroze, Jean-François Piège et Michel Sarran. À la présentation, Stéphane Rotenberg reste seul à la barre.

Pierre Bertinchamps

«Gastronomie et Histoire au Puy du Fou», pour cette épreuve, le concours se délocalise en Vendée et accueille le Chef Fabrice Prochasson, Meilleur Ouvrier de France 1996 et considéré comme un historien de la cuisine. Pour les candidats, le concours va tourner autour de 2 thèmes : «Les Invasions Barbares» (comment les vikings ont apporté le poisson et notamment le fumage dans la gastronomie française ?) et «La Renaissance» avec l’arrivée du sucre et des fruits en Europe, considérés à cette époque comme des produits très nobles.

Enfin, ce n’est pas un changement, mais plutôt une petite révolution, cette saison verra s’affronter 2 Belges sur les seize candidats en lice. Le Liégeois, Kevin Roquet, et le Bruxellois, Alexandre Moormann. Deux compatriotes dans «Top chef», c’est une première !

Le jury ne change pas, toujours composé de Philippe Etchebest, Hélène Darroze, Jean-François Piège et Michel Sarran. À la présentation, Stéphane Rotenberg reste seul à la barre.

Pierre Bertinchamps

Cette saison, les chefs ouvrent leurs cuisines aux candidats. À Villeneuve-de-Marsan, Hélène Darroze reçoit les candidats et les membres du jury autour des plats typiques de la région des Landes, riche en traditions culinaires. À Bordeaux, une épreuve autour des “plats de Brasserie”, avec Philippe Etchebest. À Toulouse, chez Michel Sarran, les candidats devront revisiter la recette de sa célèbre soupe foie gras et huîtres.

D’autres épreuves reviennent comme « Qui peut battre Philippe Etchebest ? Le retour», où Olivier Streiff avait réussi à battre le chef la saison passée… Cette épreuve revient avec de nouvelles règles et encore plus de motivation de la part du chef Etchebest ! Les candidats doivent se préparer à rentrer sur un véritable ring pour réussir cette épreuve et éviter l’élimination ! 

Des Belges en force !

«Gastronomie et Histoire au Puy du Fou», pour cette épreuve, le concours se délocalise en Vendée et accueille le Chef Fabrice Prochasson, Meilleur Ouvrier de France 1996 et considéré comme un historien de la cuisine. Pour les candidats, le concours va tourner autour de 2 thèmes : «Les Invasions Barbares» (comment les vikings ont apporté le poisson et notamment le fumage dans la gastronomie française ?) et «La Renaissance» avec l’arrivée du sucre et des fruits en Europe, considérés à cette époque comme des produits très nobles.

Enfin, ce n’est pas un changement, mais plutôt une petite révolution, cette saison verra s’affronter 2 Belges sur les seize candidats en lice. Le Liégeois, Kevin Roquet, et le Bruxellois, Alexandre Moormann. Deux compatriotes dans «Top chef», c’est une première !

Le jury ne change pas, toujours composé de Philippe Etchebest, Hélène Darroze, Jean-François Piège et Michel Sarran. À la présentation, Stéphane Rotenberg reste seul à la barre.

Pierre Bertinchamps

La compétition aussi aura son lot de petits changements. L’épreuve de la «La Boîte noire» prendra une nouvelle dimension : Hélène Darroze, Michel Sarran et Philippe Etchebest vont former une équipe et rentrer dans la boîte noire pour affronter les candidats autour d’une proposition d’assiette faite par Olivier Bellin, un chef breton doublement étoilé.

Et une épreuve inédite fait son apparition «Le Jury à la place des commis» : le temps d’une épreuve, Philippe Etchebest quitte sa veste estampillée Meilleur Ouvrier de France et rejoint Michel Sarran pour enfiler un tablier de commis et être tous deux dirigés par les candidats du concours ! Les 2 chefs étoilés se replongent dans leurs premières années de cuisine. L’objectif est de juger la capacité des candidats à être les grands chefs de demain.

Tour de France des cuisines

Cette saison, les chefs ouvrent leurs cuisines aux candidats. À Villeneuve-de-Marsan, Hélène Darroze reçoit les candidats et les membres du jury autour des plats typiques de la région des Landes, riche en traditions culinaires. À Bordeaux, une épreuve autour des “plats de Brasserie”, avec Philippe Etchebest. À Toulouse, chez Michel Sarran, les candidats devront revisiter la recette de sa célèbre soupe foie gras et huîtres.

D’autres épreuves reviennent comme « Qui peut battre Philippe Etchebest ? Le retour», où Olivier Streiff avait réussi à battre le chef la saison passée… Cette épreuve revient avec de nouvelles règles et encore plus de motivation de la part du chef Etchebest ! Les candidats doivent se préparer à rentrer sur un véritable ring pour réussir cette épreuve et éviter l’élimination ! 

Des Belges en force !

«Gastronomie et Histoire au Puy du Fou», pour cette épreuve, le concours se délocalise en Vendée et accueille le Chef Fabrice Prochasson, Meilleur Ouvrier de France 1996 et considéré comme un historien de la cuisine. Pour les candidats, le concours va tourner autour de 2 thèmes : «Les Invasions Barbares» (comment les vikings ont apporté le poisson et notamment le fumage dans la gastronomie française ?) et «La Renaissance» avec l’arrivée du sucre et des fruits en Europe, considérés à cette époque comme des produits très nobles.

Enfin, ce n’est pas un changement, mais plutôt une petite révolution, cette saison verra s’affronter 2 Belges sur les seize candidats en lice. Le Liégeois, Kevin Roquet, et le Bruxellois, Alexandre Moormann. Deux compatriotes dans «Top chef», c’est une première !

Le jury ne change pas, toujours composé de Philippe Etchebest, Hélène Darroze, Jean-François Piège et Michel Sarran. À la présentation, Stéphane Rotenberg reste seul à la barre.

Pierre Bertinchamps

Premier changement – et il ne concerne que la Belgique –, c’est le moment de diffusion. Exit le lundi, vive le mardi. Officiellement, RTL-TVI répond à une demande de M6 d’éviter les divulgations sur les réseaux sociaux, des téléspectateurs belges qui voyaient le programme une demi-heure plus tôt que les Français. Il aura quand même fallu attendre six saisons, pour que la chaîne française réagisse…

Autre raison, RTL veut ancrer le mardi comme sa soirée des grands divertissements. «L’Amour est dans le pré» est un énorme succès dans cette case, «Top Chef» devrait l’être aussi. Officieusement, «Top Chef» est l’arme de la chaîne privée contre le bulldozer à audiences qu’est «The Voice Belgique» sur La Une. L’an dernier, un match de foot avait obligé la RTBF à programmer son télécrochet un lundi, devant «Top Chef». RTL avait remporté la bataille.

Les jurés donnent de leur personne

La compétition aussi aura son lot de petits changements. L’épreuve de la «La Boîte noire» prendra une nouvelle dimension : Hélène Darroze, Michel Sarran et Philippe Etchebest vont former une équipe et rentrer dans la boîte noire pour affronter les candidats autour d’une proposition d’assiette faite par Olivier Bellin, un chef breton doublement étoilé.

Et une épreuve inédite fait son apparition «Le Jury à la place des commis» : le temps d’une épreuve, Philippe Etchebest quitte sa veste estampillée Meilleur Ouvrier de France et rejoint Michel Sarran pour enfiler un tablier de commis et être tous deux dirigés par les candidats du concours ! Les 2 chefs étoilés se replongent dans leurs premières années de cuisine. L’objectif est de juger la capacité des candidats à être les grands chefs de demain.

Tour de France des cuisines

Cette saison, les chefs ouvrent leurs cuisines aux candidats. À Villeneuve-de-Marsan, Hélène Darroze reçoit les candidats et les membres du jury autour des plats typiques de la région des Landes, riche en traditions culinaires. À Bordeaux, une épreuve autour des “plats de Brasserie”, avec Philippe Etchebest. À Toulouse, chez Michel Sarran, les candidats devront revisiter la recette de sa célèbre soupe foie gras et huîtres.

D’autres épreuves reviennent comme « Qui peut battre Philippe Etchebest ? Le retour», où Olivier Streiff avait réussi à battre le chef la saison passée… Cette épreuve revient avec de nouvelles règles et encore plus de motivation de la part du chef Etchebest ! Les candidats doivent se préparer à rentrer sur un véritable ring pour réussir cette épreuve et éviter l’élimination ! 

Des Belges en force !

«Gastronomie et Histoire au Puy du Fou», pour cette épreuve, le concours se délocalise en Vendée et accueille le Chef Fabrice Prochasson, Meilleur Ouvrier de France 1996 et considéré comme un historien de la cuisine. Pour les candidats, le concours va tourner autour de 2 thèmes : «Les Invasions Barbares» (comment les vikings ont apporté le poisson et notamment le fumage dans la gastronomie française ?) et «La Renaissance» avec l’arrivée du sucre et des fruits en Europe, considérés à cette époque comme des produits très nobles.

Enfin, ce n’est pas un changement, mais plutôt une petite révolution, cette saison verra s’affronter 2 Belges sur les seize candidats en lice. Le Liégeois, Kevin Roquet, et le Bruxellois, Alexandre Moormann. Deux compatriotes dans «Top chef», c’est une première !

Le jury ne change pas, toujours composé de Philippe Etchebest, Hélène Darroze, Jean-François Piège et Michel Sarran. À la présentation, Stéphane Rotenberg reste seul à la barre.

Pierre Bertinchamps

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici