Le rebelle de «Hartley, cœurs à vif» s’improvise proviseur

Le rebelle de «Hartley, cœurs à vif» s’improvise proviseur
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

L’acteur australien Alex Dimitriades endosse des responsabilités inédites dans sa nouvelle série.

Les nostalgiques des séries des années 90 sont aux anges. Du lundi au vendredi, AB3 exhume chaque jour à 18h30 et 19h15 deux épisodes de «Hartley, cœurs à vif».

Loin de l’angélisme forcené de «BeverlyHills 90210», le feuilleton australien osait à l’époque aborder en toute franchise des thèmes délicats, comme l’addiction aux drogues et les relations trop proches avec le corps professoral.

Des comédiens aux trajectoires différentes

Dans le rôle du professeur qui finissait par dépasser les limites, on retrouvait un tout jeune Simon Baker, loin, très loin de son rôle de devin dans «Mentalist».

Si Simon Baker s’est extrait avec panache du lycée de Hartley High pour signer une belle carrière hollywoodienne, le reste du casting est loin d’avoir adopté la même voie.

Aperçu dans «Captain America : Le soldat de l’hiver» et «Zero Dark Thirty», Callan Mulvey tire quelque peu son épingle du jeu, tout en trainant encore et toujours son attitude de rebelle héritée du personnage de Drazic.

En parlant de rebelle, l’éphémère mais marquant Nick Poulos de la première saison de «Hartley, cœurs à vif» endossera bientôt pour la télévision australienne un rôle inédit.

Dans «The Principal», le comédien AlexDimitriades prendra le contrôle d’une école pour élèves en perdition.

D’étudiant en révolte à proviseur, voici une étonnante trajectoire !

Georges Lekeu

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