Le célèbre animé «Death Note» débarque sur Netflix!

Le film «Death Note» produit par Netflix n'a pas fait l'unanimité. Un second est tout de même en préparation. © Capture d'écran Netflix Belgique / Death Note
Aurélie Bronckaers
Aurélie Bronckaers Journaliste

Diffusé dès 2006 au Japon et 2008 en France, l’animé japonais «Death Note» fait partie des plus célèbres de sa génération. Adapté du manga de Tsugumi Oba et Takeshi Obata, il comprend une trentaine d’épisodes. Netflix n’est pas passé à côté du succès, il a produit sa propre version de «Death Note» avec un film en live-action, sorti en 2017. Le géant du streaming souhaite revenir aux bases et propose dès le 1er décembre la première saison de l’animé.

Un lycéen surdoué du nom de Light Yagami trouve un mystérieux cahier noir intitulé «Death Note». En l’inspectant, il découvre un mode d’emploi assez particulier. «La personne dont le nom est inscrit dans le carnet meurt». Perplexe, il défie le livre et s’aperçoit du pouvoir qui lui est mis entre les mains. Pour tuer, de nombreuses règles doivent être respectées comme connaître le visage, le nom et le prénom de la future victime.  

L’ancien propriétaire de la «Death Note», un dieu de la mort nommé Ryuk, est désormais lié au jeune homme. Invisible aux yeux de la population, le monstre aux grandes dents s’amuse de la situation. Une amitié étrange naîtra entre les deux personnages. 

Avide de pouvoir, Light joue les justiciers et utilise la «Death Note» pour éliminer les criminels et «construire un monde parfait». Les autorités ne sont pas de cet avis et lancent une enquête. Les morts, étant inexpliquées, attirent l’œil d’un enquêteur atypique surnommé «L». Menacé, Kira cherche à connaître l’identité de «L» et s’approche de lui afin de le tuer… 

Que justice soit faite

Si l’animé «Death Note» aborde des thématiques politiques et philosophiques, l’intrigue est axée principalement sur la justice par le biais des nombreux meurtres de Light. 

La notion de «justice» fait donc débat. La limite entre le bien, le mal, le juste et l’injuste est fine.  

Tsugumi Oba, scénariste du manga, «estime qu’il n’y a aucun message, aucune idéologie dans ce manga qui se résume donc, à ses yeux, à un combat stratégique et psychologique entre Light et ses adversaires.» 

Êtes-vous team Kira ou team «L» ? Pour le savoir, rendez-vous sur Netflix ! 

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