Comme chaque été depuis vingt-huit ans, Philippe Lambillon est de retour sur La Une (le samedi à 20.20) pour prodiguer ses conseils aux aventuriers en herbe dans «Les Carnets du Bourlingueur».
Dans le premier numéro (diffusé ce samedi 17 juin) tourné dans la cordillère des Andes, il nous prouve que tout Bourlingueur digne de ce nom doit être à l’aise sur un cheval.
«Quand j’étais adolescent, il m’est arrivé de monter à cheval», se souvient l’homme au chapeau. «J’aimais cela. Et pour des tournages, j’ai eu l’occasion de pratiquer à nouveau. Je reviens d’Amérique du Sud où j’ai eu affaire à un cheval beaucoup plus récalcitrant et nerveux. Alors que je longeais un haut mur de pierres, il a fait un bond subitement. C’était le seul endroit où il y avait une concentration de cactus. Il m’a envoyé dedans ! J’étais empalé dans les cactus. J’avais des aiguilles d’une quinzaine de centimètres sur tout le corps et même sur le crâne !»
Une anecdote que le Bourlingueur évoque avec amusement : «C’est ce qui fait le sel des tournages», conclut-il.
Stéphanie Breuer
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