L’avocat véreux de «Breaking Bad» plaide sa cause sur Netflix

L’avocat véreux de «Breaking Bad» plaide sa cause sur Netflix
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

La série «Better Call Saul» s’invite dès le lundi 9 février 2015 sur la plate-forme de streaming.

Considéré comme la plus grande série de tous les temps, «Breaking Bad» accouche d’un spin-off : «Better Call Saul».

Saul, c’est Saul Goodman (Bob Odenkirk), le savoureux avocat véreux qui aide le professeur de chimie Walter White (Bryan Cranston) à administrer son empire de la drogue.

Qui était-il avant d’endosser ce costume taillé à sa démesure ?

Dès le lundi 9 février 2015, la nouvelle série «Better Call Saul» remontera le temps sur Netflix pour nous raconter la transformation de Jimmy McGill, petit juriste minable mais beau parleur, en Saul Goodman.

Six ans avant les événements dépeints dans «Breaking Bad», l’obscur Jimmy McGill prend son destin en mains en acceptant de les salir, entre escroqueries et entorses avec la sacro-sainte loi.

À quel rythme en Belgique ?

Sur la déclinaison belge de Netflix, un deuxième épisode sera déjà disponible dès le mardi 10 février 2015, avant de prendre son rythme de croisière d’une dose de «Better Call Saul» chaque mardi.

La première saison compte dix épisodes. Le contrat pour une deuxième est d’ores et déjà bétonné.

Pourquoi une telle confiance ?

Vince Gilligan, l’acclamé créateur de «Breaking Bad», est aux commandes. De quoi rendre les fans impatients.

Georges Lekeu

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