Sur Twitter, l’animatrice de «Money Drop» n’est pas tendre avec Cyril Hanouna. C’est la guerre de l’access, en France.
Mercredi, dans «Touche pas à mon poste»
(Plug RTL), le gros dossier du jour était consacré aux audiences de «Money Drop».
L’équipe de Cyril Hanouna affirme que TF1 perd son leadership avec le
programme, alors que la chaîne française multiplie les communiqués qui
annoncent des records pour son jeu, présenté par Laurence Boccolini. Ce serait
sur la PRA (Personne responsable des achats) plus communément appelée, la
ménagère de moins de 50 ans, que TF1 serait en chute.
Boccolini visée personnellement
Mais ce n’est pas tout, les chroniqueurs
ont aussi été très critiques vis à vis du programme jugé trop lent (seulement 7
à 8 questions par émission de 45 minutes, pubs comprises). Les temps de
réflexions des candidats sont qualifiés d’interminables par certains, d’autres
reprochent le manque de renouvellement et de dynamique de Laurence Boccolini.
Bref, l’animatrice en prend une nouvelle fois pour son grade.
Une cible idéale
Sur Twitter, l’animatrice n’a pas tardé à
réagir, précisant que «nous (TF1) sommes souvent une cible idéale». Petite
précision, «Touche pas à mon poste» et «Money Drop» sont en concurrence
frontale, en France et en Belgique (avec Plug RTL). Boccolini rappelle aussi
que les chiffres sont publiés tous les jours, et «qu’il est difficile de les
nier». Avec la pléthore de cibles des audiences, il est donc très facile de prendre
celle qui intéresse ou a contrario, celle qui est moins performante et de la
décortiquer.
«Je ne vais jamais aux dîners de cons»
À la fin de ce débat très viral entre
Laurence Boccolini et Thierry Moreau, chroniqueur de l’émission et également «fournisseur»
des chiffres des audiences sur le jeu de TF1, un téléspectateur cynique demande
à l’animatrice de TF1 si elle n’irait pas sur le plateau de D8 «pour faire
relever leur audimat» ? Avec la verve qu’on lui connaît, Boccolini n’a
fait ni une ni deux sur Twitter en répondant : «Je ne vais jamais aux dîners
de cons» ! Ambiance…
Pierre Bertinchamps
