Future maman, la jeune carolo a fêté sa victoire, hier soir, à l’eau pétillante. À 24 ans, cette éducatrice spécialisée est une femme de tempérament. Fan de blues et de rock, la protégée de B.J. Scott savoure. «Je suis un peu fatiguée, je ne réalise pas trop, mais ça va».
Gagner «The Voice» a été une surprise totale pour vous ?
Oh oui. C’était dingue. Je ne m’y attendais pas. On sait que la famille, les amis nous apprécient. Mais on n’imagine pas que des téléspectateurs vont se mobiliser à ce point ! Cela m’a fait super plaisir de toucher des gens que je ne connais pas.
Et le fait d’être la première femme à remporter ce télécrochet ?
C’est un peu le girl power. Il était temps. En plus, on était deux finalistes féminines. Je dédie cette victoire à toutes les femmes, à toutes les Belges !
Vous avez pris beaucoup confiance en vous au fil des émissions. Vous le devez à votre coach, B.J. Scott ?
Ce n’était pas mon univers. Maître Gims m’apparaissait comme un personnage assez strict. Il s’est révélé sympathique. C’était assez drôle de partager ce moment avec lui et Christophe.
Qui va montrer le premier le bout de son nez, votre bébé ou le single ?
Bébé est pour fin septembre. Pour le reste, il faut attendre les propositions, les discussions et les décisions. Il y aura du travail à fournir.
Caroline Geskens
Photos : Stéphane Laruelle/RTBF
Oh oui ! J’adore cette chanson. Elle est magnifique. Ma version était basique. B.J. m’a aidé à exprimer chaque mot, à ressentir chaque émotion, de façon plus soul et américaine.
Chanter en anglais ne vous fait plus peur du tout !
Je le travaille et je me concentre. Je trébuche encore sur certaines prononciations… (rire) En plus, mon accent carolo s’entend encore un peu.
Et ce trio, hier soir, avec Maître Gims et Christophe ? Impressionnée ?
Ce n’était pas mon univers. Maître Gims m’apparaissait comme un personnage assez strict. Il s’est révélé sympathique. C’était assez drôle de partager ce moment avec lui et Christophe.
Qui va montrer le premier le bout de son nez, votre bébé ou le single ?
Bébé est pour fin septembre. Pour le reste, il faut attendre les propositions, les discussions et les décisions. Il y aura du travail à fournir.
Caroline Geskens
Photos : Stéphane Laruelle/RTBF
Elle m’a appris surtout à lâcher prise. J’étais fort stressée, j’avais peur de mal faire, je me posais trop de questions et je me prenais trop la tête. Il faut juste vivre la musique et profiter du moment. Le premier live a été une révélation. C’était assez incroyable. B.J. avait axé son coaching sur la présence scénique. Elle m’a dit de ne pas craindre d’avoir l’air ridicule, de faire les gestes qui me passaient par la tête !
Vous avez interprété «Georgia On My Mind», un standard de Ray Charles qui date de 1930. C’était votre choix ?
Oh oui ! J’adore cette chanson. Elle est magnifique. Ma version était basique. B.J. m’a aidé à exprimer chaque mot, à ressentir chaque émotion, de façon plus soul et américaine.
Chanter en anglais ne vous fait plus peur du tout !
Je le travaille et je me concentre. Je trébuche encore sur certaines prononciations… (rire) En plus, mon accent carolo s’entend encore un peu.
Et ce trio, hier soir, avec Maître Gims et Christophe ? Impressionnée ?
Ce n’était pas mon univers. Maître Gims m’apparaissait comme un personnage assez strict. Il s’est révélé sympathique. C’était assez drôle de partager ce moment avec lui et Christophe.
Qui va montrer le premier le bout de son nez, votre bébé ou le single ?
Bébé est pour fin septembre. Pour le reste, il faut attendre les propositions, les discussions et les décisions. Il y aura du travail à fournir.
Caroline Geskens
Photos : Stéphane Laruelle/RTBF
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