Voici ce qu’il fallait retenir de l’épisode de ce mardi 25 novembre.
Quand on est à deux doigts d’atteindre le bol de Sangria et les vacances en tête-à-tête, peut-on lâcher «l’affaire» quand même ? Matthieu est invité à s’en aller chez Eva, Célia est priée instamment de rester chez John.
Pour ce nouvel épisode de «L’Amour est dans le pré», Sandrine Dans nous annonce des regards de braise, de l’humour ravageur et de la sensualité ! C’est parti pour les jeux de la séduction…
Julien joue au diplomate
Julien accueille le marchand de bêtes. On assiste en direct à la vente d’une vache ! Entre Jessica et Sophie, ce n’est pas la joie. Elles se balancent quelques vacheries, ne lâchent pas Julien d’une semelle, s’observent et calculent jusqu’au temps consacré à l’une ou l’autre. Elles veulent leurs moments.
Julien garde l’église au milieu du village et tente de rester juste. «On va chronométrer ça !», balance-t-il. Le charmeur a les cartes en main.
Janny crée la surprise
Au ranch de Little Creek, Nicolas fait des étincelles. Toujours prêt à donner un coup de main, il épate la maîtresse de maison. Venu accompagné de ses chevaux de spectacle, Fabien les entraîne sur place sous le regard émerveillé de Janny. «Un cheval, c’est un peu comme un homme. Il faut légèrement le dominer», s’amuse-telle.
Fabien se révèle romantique, en demande de câlins. Mais Janny ne sent pas prête pas à investir du côté des enfants. «On est en décalage», constate Fabien.
Mickaël, le voisin, se sent bien à Hamoir. Il avance aussi ses pions. Lui, il n’est pas pressé de devenir père ! Elle le gardera, comme, contre toute attente, Fabien. Nicolas pense, lui, qu’ils auraient formé un beau couple.
Et Eva s’agace de ses choix !
Chez Eva, Daniel parti, ils ont passé la nuit à trois. Et cela ressemble à une mini colo de vacances. Thomas stresse à l’idée de rencontrer les parents de la demoiselle et craint les chevaux. Et Matthieu reste mal à l’aise. Elle leur demande s’ils sont prêts à s’investir en néerlandais. «Je n’ai jamais caché que j’étais néerlandophone.» Mais la désinvolture de Matthieu, suivi de Thomas, énerve Eva.
Les frangines comparent leurs prétendants. Eva estime que les siens sont trop lents au boulot et ne donnent rien. «Même la maison est horrible ! Il y a des vêtements sales sur le sol, la lunette de toilette toujours levée…» Ah, les désillusions de la cohabitation ! Eva priera Matthieu de s’en aller… Mais la crise n’est pas encore terminée.
Xavier l’indécis
À Sommerain, Xavier n’a pas l’air de se décider entre Béatrice et Anne-Marie. Indécis, il organise un barbecue pour recueillir les avis de ses frères et soeur. C’est le dernier jour à la ferme. Sous son charme, la sincère et douce Béatrice est tristounette et n’a pas envie que cela s’arrête. Xavier incarne un peu son prince charmant… Il lui brisera le cœur en choisissant Anne-Marie.
Pascal et ses femmes
Dans la ferme de Pascal qui réhabilite le petit Marcel, Malou et Marie apprennent à conduire un tracteur. Place à une séance d’huile solaire pour l’homme qui se régale ! Notre quinquagénaire les chouchoutera à leur tour.
Pascal se montre attentionné et vante ses qualités. Il dit avoir bon caractère, apprécier les bons petits plats et aimer passer du bon temps. Après Marie, c’est Malou qui flirte. Pascal lui avoue que son choix est fait depuis le début ! Caramba ! Youpie !
Pour le beau sourire de Célia
Du côté de Mont-Saint-Guibert, Axelle se révèle de plus en plus mordante. John l’entraîne déguster un cocktail pour en papoter. Elle met toute sa diplomatie pour lui annoncer qu’elle ne croit pas à une fin heureuse… Et John a découvert la sensibilité de Célia qui lui plaît diablement. Et l’élue sera donc Célia, très heureuse de ce choix. Et sur une image bucolique, le couple s’en va bras dessus bras dessous. Elle n’est pas belle la vie ?
Ce qu’on en pense…
Qu’ils étaient mignons nos prétendants et leurs agriculteurs célibataires ! Dans cet épisode, on n’a jamais autant parlé d’amour, le but de leurs rencontres, et de ses déboires. Derrière les paroles et les coups de gueule, il y a les blessures, les cicatrisations, les renaissances possibles…
La palme de la déclaration revient à Pascal, notre Ardennais à l’air bourru mais au cœur tendre comme un Chamallow : «Quand on a été réellement amoureux, on ne guérit jamais de l’amour.» Un bisou sous parapluie.
À mardi prochain !
Caroline GESKENS
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