La RTBF et Télésambre naviguent désormais sur MédiaSambre

La RTBF et Télésambre naviguent désormais sur MédiaSambre
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Le nouveau centre régional de la RTBF a été inauguré, vendredi. Avec Télésambre à son bord, MédiaSambre signe aussi le renouveau des médias publics et de Charleroi.

C’est une cérémonie assez originale qui attendait les deux directeurs des services publics carolos. La RTBF et Télésambre étant actionnaire de Keywall, c’est une inauguration virtuelle qui a eu lieu, à MédiaSambre, sur la Place de la Digue. Jean-Paul Philippot et Christophe Scaillet ont sabré le champagne avec des casques de réalité virtuelle. Impressionnant et surtout beaucoup moins tachant et éclaboussant.

Si le projet a été lancé en 2011, ce n’est qu’en février 2015 que la première pierre a officiellement été posée. Comme prévu, tout le monde prend ses nouveaux quartiers, en septembre 2017. MédiaSambre regroupe les rédactions de la RTBF à Charleroi et celle de Télésambre. Un bâtiment commun qui ne rime pas (ou plus !) avec «fusion». Les deux médias restent totalement indépendants, mais vont mettre leurs savoir-faire en commun.

Les synergies offertes par MédiaSambre sont uniques en Wallonie (et ne devraient pas se reproduire). TV Lux et la RTBF sont bien à la même adresse à Libramont, mais les deux locataires font chambre à part. Et même si BX1 va rejoindre le site de Reyers, ce sera aussi dans un bâtiment séparé sur la nouvelle Place des Médias à Schaerbeek. Ailleurs, pas de rapprochement physique de prévu, mais des collaborations plus étroites. Il se chuchote que RTC Liège devrait prochainement accueillir la matinale de «Liège Matin» sur son antenne…

Pour la RTBF, c’est le dernier gros chantier, en Wallonie. A Mons, la rénovation des studios de VivaCité et de Classic 21 va bientôt démarrer (la durée de vie d’un studio de radio étant d’en moyenne 10 ans). Et à Bruxelles, le nouveau bâtiment de la RTBF est toujours annoncé pour 2020, avec un déménagement qui devrait durer deux bonnes années.

Pierre Bertinchamps

Revivez l’inauguration :

Enfin, la petite curiosité de MédiaSambre, c’est son escalier hélicoïdal qui relie les bureaux de Télésambre (2e étage) aux deux rédactions (1er). Il est fabriqué en un seul tenant par un atelier wallon. D’un poids de 5 tonnes, son installation fût impressionnante par une grue tour. Il symbolise la mémoire industrielle de la région de Charleroi.

Les synergies offertes par MédiaSambre sont uniques en Wallonie (et ne devraient pas se reproduire). TV Lux et la RTBF sont bien à la même adresse à Libramont, mais les deux locataires font chambre à part. Et même si BX1 va rejoindre le site de Reyers, ce sera aussi dans un bâtiment séparé sur la nouvelle Place des Médias à Schaerbeek. Ailleurs, pas de rapprochement physique de prévu, mais des collaborations plus étroites. Il se chuchote que RTC Liège devrait prochainement accueillir la matinale de «Liège Matin» sur son antenne…

Pour la RTBF, c’est le dernier gros chantier, en Wallonie. A Mons, la rénovation des studios de VivaCité et de Classic 21 va bientôt démarrer (la durée de vie d’un studio de radio étant d’en moyenne 10 ans). Et à Bruxelles, le nouveau bâtiment de la RTBF est toujours annoncé pour 2020, avec un déménagement qui devrait durer deux bonnes années.

Pierre Bertinchamps

Revivez l’inauguration :

La régie est presque entièrement automatisée que ce soit en mode «VivaCité» ou «Télésambre». Pour cette dernière, elle permet de réaliser un JT avec une seule personne, au lieu de 6 jusqu’ici (une technologie utilisée aussi par la BBC). «Des ressources humaines qui seront mises à profit pour la production de nouvelles choses», rassure Christophe Scaillet, Directeur de la chaine.

Le grand studio du rez-de-chaussée sera surtout dévolu à Télésambre (voilà pourquoi il ne porte pas la numérotation RTBF), mais en cas de besoin, la RTBF pourra aussi en disposer. Il est pourvu d’un green key. Des loges et un espace «VIP» sont disponibles pour recevoir les intervenants et les éventuels invités.

Enfin, la petite curiosité de MédiaSambre, c’est son escalier hélicoïdal qui relie les bureaux de Télésambre (2e étage) aux deux rédactions (1er). Il est fabriqué en un seul tenant par un atelier wallon. D’un poids de 5 tonnes, son installation fût impressionnante par une grue tour. Il symbolise la mémoire industrielle de la région de Charleroi.

Les synergies offertes par MédiaSambre sont uniques en Wallonie (et ne devraient pas se reproduire). TV Lux et la RTBF sont bien à la même adresse à Libramont, mais les deux locataires font chambre à part. Et même si BX1 va rejoindre le site de Reyers, ce sera aussi dans un bâtiment séparé sur la nouvelle Place des Médias à Schaerbeek. Ailleurs, pas de rapprochement physique de prévu, mais des collaborations plus étroites. Il se chuchote que RTC Liège devrait prochainement accueillir la matinale de «Liège Matin» sur son antenne…

Pour la RTBF, c’est le dernier gros chantier, en Wallonie. A Mons, la rénovation des studios de VivaCité et de Classic 21 va bientôt démarrer (la durée de vie d’un studio de radio étant d’en moyenne 10 ans). Et à Bruxelles, le nouveau bâtiment de la RTBF est toujours annoncé pour 2020, avec un déménagement qui devrait durer deux bonnes années.

Pierre Bertinchamps

Revivez l’inauguration :

Le studio «talk» (ou Studio 60) est partagé entre les 2 médias. De 6h à 11h, il est dévolu à la RTBF pour «Charleroi Matin», ensuite, c’est Télésambre qui le prend en main pour ses productions dont le JT de 18h. Le financement a été partagé entre les deux médias avec une certaine logique : la partie son a été prise en charge par la RTBF et la lumière, par Télésambre, par exemple. Le Studio 60 est vitré et donne directement sur l’extérieur.

La régie est presque entièrement automatisée que ce soit en mode «VivaCité» ou «Télésambre». Pour cette dernière, elle permet de réaliser un JT avec une seule personne, au lieu de 6 jusqu’ici (une technologie utilisée aussi par la BBC). «Des ressources humaines qui seront mises à profit pour la production de nouvelles choses», rassure Christophe Scaillet, Directeur de la chaine.

Le grand studio du rez-de-chaussée sera surtout dévolu à Télésambre (voilà pourquoi il ne porte pas la numérotation RTBF), mais en cas de besoin, la RTBF pourra aussi en disposer. Il est pourvu d’un green key. Des loges et un espace «VIP» sont disponibles pour recevoir les intervenants et les éventuels invités.

Enfin, la petite curiosité de MédiaSambre, c’est son escalier hélicoïdal qui relie les bureaux de Télésambre (2e étage) aux deux rédactions (1er). Il est fabriqué en un seul tenant par un atelier wallon. D’un poids de 5 tonnes, son installation fût impressionnante par une grue tour. Il symbolise la mémoire industrielle de la région de Charleroi.

Les synergies offertes par MédiaSambre sont uniques en Wallonie (et ne devraient pas se reproduire). TV Lux et la RTBF sont bien à la même adresse à Libramont, mais les deux locataires font chambre à part. Et même si BX1 va rejoindre le site de Reyers, ce sera aussi dans un bâtiment séparé sur la nouvelle Place des Médias à Schaerbeek. Ailleurs, pas de rapprochement physique de prévu, mais des collaborations plus étroites. Il se chuchote que RTC Liège devrait prochainement accueillir la matinale de «Liège Matin» sur son antenne…

Pour la RTBF, c’est le dernier gros chantier, en Wallonie. A Mons, la rénovation des studios de VivaCité et de Classic 21 va bientôt démarrer (la durée de vie d’un studio de radio étant d’en moyenne 10 ans). Et à Bruxelles, le nouveau bâtiment de la RTBF est toujours annoncé pour 2020, avec un déménagement qui devrait durer deux bonnes années.

Pierre Bertinchamps

Revivez l’inauguration :

La rédaction commune occupe le 1er étage, avec ses 30 postes de travail (13 pour Télésambre et 17 pour la RTBF), 2 cellules de montages RTBF et une cabine de commentateurs. Juste au-dessus, les bureaux de Télésambre et 6 cellules de montage ultra-modernes. La télévision locale de Charleroi en profite pour passer au tout HD. Une demande de canal a été formulée à VOO et Proximus (en même temps que No Télé).

Le studio «talk» (ou Studio 60) est partagé entre les 2 médias. De 6h à 11h, il est dévolu à la RTBF pour «Charleroi Matin», ensuite, c’est Télésambre qui le prend en main pour ses productions dont le JT de 18h. Le financement a été partagé entre les deux médias avec une certaine logique : la partie son a été prise en charge par la RTBF et la lumière, par Télésambre, par exemple. Le Studio 60 est vitré et donne directement sur l’extérieur.

La régie est presque entièrement automatisée que ce soit en mode «VivaCité» ou «Télésambre». Pour cette dernière, elle permet de réaliser un JT avec une seule personne, au lieu de 6 jusqu’ici (une technologie utilisée aussi par la BBC). «Des ressources humaines qui seront mises à profit pour la production de nouvelles choses», rassure Christophe Scaillet, Directeur de la chaine.

Le grand studio du rez-de-chaussée sera surtout dévolu à Télésambre (voilà pourquoi il ne porte pas la numérotation RTBF), mais en cas de besoin, la RTBF pourra aussi en disposer. Il est pourvu d’un green key. Des loges et un espace «VIP» sont disponibles pour recevoir les intervenants et les éventuels invités.

Enfin, la petite curiosité de MédiaSambre, c’est son escalier hélicoïdal qui relie les bureaux de Télésambre (2e étage) aux deux rédactions (1er). Il est fabriqué en un seul tenant par un atelier wallon. D’un poids de 5 tonnes, son installation fût impressionnante par une grue tour. Il symbolise la mémoire industrielle de la région de Charleroi.

Les synergies offertes par MédiaSambre sont uniques en Wallonie (et ne devraient pas se reproduire). TV Lux et la RTBF sont bien à la même adresse à Libramont, mais les deux locataires font chambre à part. Et même si BX1 va rejoindre le site de Reyers, ce sera aussi dans un bâtiment séparé sur la nouvelle Place des Médias à Schaerbeek. Ailleurs, pas de rapprochement physique de prévu, mais des collaborations plus étroites. Il se chuchote que RTC Liège devrait prochainement accueillir la matinale de «Liège Matin» sur son antenne…

Pour la RTBF, c’est le dernier gros chantier, en Wallonie. A Mons, la rénovation des studios de VivaCité et de Classic 21 va bientôt démarrer (la durée de vie d’un studio de radio étant d’en moyenne 10 ans). Et à Bruxelles, le nouveau bâtiment de la RTBF est toujours annoncé pour 2020, avec un déménagement qui devrait durer deux bonnes années.

Pierre Bertinchamps

Revivez l’inauguration :

Depuis le 1er septembre, on entre plus à la RTBF Charleroi par le Boulevard Tirou, mais la par la Place de la Digue. Un bâtiment tout en verre, ouvert sur la vie des Carolos. En chiffres, MediaSambre, ce sont 1.844 m² supplémentaires dont 40 m² pour la Maison des médias (accès du public au rez-de chaussée), un studio TV de 156m², une newsroom commune à la RTBF et Télésambre de 210 m², et un studio «talk» multimédia de 50 m².

La rédaction commune occupe le 1er étage, avec ses 30 postes de travail (13 pour Télésambre et 17 pour la RTBF), 2 cellules de montages RTBF et une cabine de commentateurs. Juste au-dessus, les bureaux de Télésambre et 6 cellules de montage ultra-modernes. La télévision locale de Charleroi en profite pour passer au tout HD. Une demande de canal a été formulée à VOO et Proximus (en même temps que No Télé).

Le studio «talk» (ou Studio 60) est partagé entre les 2 médias. De 6h à 11h, il est dévolu à la RTBF pour «Charleroi Matin», ensuite, c’est Télésambre qui le prend en main pour ses productions dont le JT de 18h. Le financement a été partagé entre les deux médias avec une certaine logique : la partie son a été prise en charge par la RTBF et la lumière, par Télésambre, par exemple. Le Studio 60 est vitré et donne directement sur l’extérieur.

La régie est presque entièrement automatisée que ce soit en mode «VivaCité» ou «Télésambre». Pour cette dernière, elle permet de réaliser un JT avec une seule personne, au lieu de 6 jusqu’ici (une technologie utilisée aussi par la BBC). «Des ressources humaines qui seront mises à profit pour la production de nouvelles choses», rassure Christophe Scaillet, Directeur de la chaine.

Le grand studio du rez-de-chaussée sera surtout dévolu à Télésambre (voilà pourquoi il ne porte pas la numérotation RTBF), mais en cas de besoin, la RTBF pourra aussi en disposer. Il est pourvu d’un green key. Des loges et un espace «VIP» sont disponibles pour recevoir les intervenants et les éventuels invités.

Enfin, la petite curiosité de MédiaSambre, c’est son escalier hélicoïdal qui relie les bureaux de Télésambre (2e étage) aux deux rédactions (1er). Il est fabriqué en un seul tenant par un atelier wallon. D’un poids de 5 tonnes, son installation fût impressionnante par une grue tour. Il symbolise la mémoire industrielle de la région de Charleroi.

Les synergies offertes par MédiaSambre sont uniques en Wallonie (et ne devraient pas se reproduire). TV Lux et la RTBF sont bien à la même adresse à Libramont, mais les deux locataires font chambre à part. Et même si BX1 va rejoindre le site de Reyers, ce sera aussi dans un bâtiment séparé sur la nouvelle Place des Médias à Schaerbeek. Ailleurs, pas de rapprochement physique de prévu, mais des collaborations plus étroites. Il se chuchote que RTC Liège devrait prochainement accueillir la matinale de «Liège Matin» sur son antenne…

Pour la RTBF, c’est le dernier gros chantier, en Wallonie. A Mons, la rénovation des studios de VivaCité et de Classic 21 va bientôt démarrer (la durée de vie d’un studio de radio étant d’en moyenne 10 ans). Et à Bruxelles, le nouveau bâtiment de la RTBF est toujours annoncé pour 2020, avec un déménagement qui devrait durer deux bonnes années.

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