La RTBF célèbrera les noces d’or du «Jardin extraordinaire» le 18 octobre

La RTBF célèbrera les noces d’or du «Jardin extraordinaire» le 18 octobre
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Des coulisses, des archives et un film documentaire, grandeur nature. Voici le menu des festivités des 50 ans du «Jardin extraordinaire», le dimanche 18 octobre prochain, sur La Une.

C’est le 3 octobre 1965 que la formule que l’on connaît encore aujourd’hui du «Jardin extraordinaire» a été lancée. Et on se souvient qu’à l’époque les animaux venaient sur le plateau d’Arlette Vincent, soigneusement présentés par leur nounou, Maryse.

Un livre de témoignage vient de paraître, et un jeu de société, «Aya» (dans le veine du concept des dominos cascade), sera en vente dans les prochains jours.

«Le Jardin extraordinaire» est une exception à l’échelle européenne, puisque plus aucune chaîne généraliste ne propose de façon régulière du documentaire animalier en prime time. Pourtant, le public répond présent, et ce depuis bientôt 50 ans !

Pierre Bertinchamps

Coulisses et archives

Le dimanche 18 octobre 2015, La Une dédiera toute une soirée à l’anniversaire de l’émission. Un premier documentaire, sous forme de jeu à la «Koh-Lanta», plongera cinq téléspectateurs dans les coulisses. La plongée, les prises de vue en hélico, l’affût, le monde de l’infiniment petit et les prises de son feront partie des «épreuves».

Ensuite, c’est toute l’histoire de l’émission qui sera racontée en 52 minutes, avec des archives, dans «Les Enfants du Jardin».

Et pour finir la soirée, un «beau» film : «Freedom, la légende des aigles».

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Un livre de témoignage vient de paraître, et un jeu de société, «Aya» (dans le veine du concept des dominos cascade), sera en vente dans les prochains jours.

«Le Jardin extraordinaire» est une exception à l’échelle européenne, puisque plus aucune chaîne généraliste ne propose de façon régulière du documentaire animalier en prime time. Pourtant, le public répond présent, et ce depuis bientôt 50 ans !

Pierre Bertinchamps

«Nous sommes toujours dans le virage du changement dans les habitudes de l’émission», confie Tanguy. «Nous voulons davantage produire nous-mêmes. Aujourd’hui, nous proposons des émissions qui sont réalisées par nos équipes de la première à la dernière image. C’est aussi une autre façon de travailler, réaliser nos films, sans pour autant exploser les budgets».

Une formule qui marche puisque la saison dernière, ce sont en moyenne 323.100 téléspectateurs (18,6 % de parts de marché) qui ont suivi le nouveau «Jardin». Et la concurrence essaie toujours de mettre des bâtons dans les roues.

«Le Jardin a un public très fidèle. Quand la concurrence n’est pas très forte, on peut monter jusqu’à 24 % de parts de marché. Les gens viennent chercher aussi de l’information puisque l’on montre aussi les changements dus au climat», conclut Tanguy Dumortier.

Coulisses et archives

Le dimanche 18 octobre 2015, La Une dédiera toute une soirée à l’anniversaire de l’émission. Un premier documentaire, sous forme de jeu à la «Koh-Lanta», plongera cinq téléspectateurs dans les coulisses. La plongée, les prises de vue en hélico, l’affût, le monde de l’infiniment petit et les prises de son feront partie des «épreuves».

Ensuite, c’est toute l’histoire de l’émission qui sera racontée en 52 minutes, avec des archives, dans «Les Enfants du Jardin».

Et pour finir la soirée, un «beau» film : «Freedom, la légende des aigles».

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Un livre de témoignage vient de paraître, et un jeu de société, «Aya» (dans le veine du concept des dominos cascade), sera en vente dans les prochains jours.

«Le Jardin extraordinaire» est une exception à l’échelle européenne, puisque plus aucune chaîne généraliste ne propose de façon régulière du documentaire animalier en prime time. Pourtant, le public répond présent, et ce depuis bientôt 50 ans !

Pierre Bertinchamps

En 1991, Arlette quitte la présentation pour céder son fauteuil de jardin à Claudine Brasseur. L’ex-speakerine (comme Arlette Vincent !) apportera, au fil du temps, une touche plus environnementale au programme.

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Dans les années nonante, suite à une forte concurrence «royale» du privé, la RTBF décide de déplacer la «Jardin» du samedi soir au dimanche soir. Malgré des craintes, le public suivra.

En 2014, la formule change. Finis les studios, «Le Jardin» prend l’air avec Tanguy Dumortier sur le terrain.

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Une nouvelle formule gagnante

Le plus de Tanguy Dumortier (à part une collection impressionnante de gilets sans manches !), c’est qu’il produit et réalise lui-même ses propres documentaires. Après un an à la tête de l’émission, l’heure est au premier bilan.

«Nous sommes toujours dans le virage du changement dans les habitudes de l’émission», confie Tanguy. «Nous voulons davantage produire nous-mêmes. Aujourd’hui, nous proposons des émissions qui sont réalisées par nos équipes de la première à la dernière image. C’est aussi une autre façon de travailler, réaliser nos films, sans pour autant exploser les budgets».

Une formule qui marche puisque la saison dernière, ce sont en moyenne 323.100 téléspectateurs (18,6 % de parts de marché) qui ont suivi le nouveau «Jardin». Et la concurrence essaie toujours de mettre des bâtons dans les roues.

«Le Jardin a un public très fidèle. Quand la concurrence n’est pas très forte, on peut monter jusqu’à 24 % de parts de marché. Les gens viennent chercher aussi de l’information puisque l’on montre aussi les changements dus au climat», conclut Tanguy Dumortier.

Coulisses et archives

Le dimanche 18 octobre 2015, La Une dédiera toute une soirée à l’anniversaire de l’émission. Un premier documentaire, sous forme de jeu à la «Koh-Lanta», plongera cinq téléspectateurs dans les coulisses. La plongée, les prises de vue en hélico, l’affût, le monde de l’infiniment petit et les prises de son feront partie des «épreuves».

Ensuite, c’est toute l’histoire de l’émission qui sera racontée en 52 minutes, avec des archives, dans «Les Enfants du Jardin».

Et pour finir la soirée, un «beau» film : «Freedom, la légende des aigles».

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Le côté proximité étant privilégié dans cette nouvelle formule. La fréquence hebdomadaire est lancée en octobre 1965, ainsi que la case du samedi soir. Le titre «Le Jardin extraordinaire» est emprunté à la chanson de Charles Trenet.

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De Arlette à Tanguy

Depuis 1978, pour des raisons d’éthique, les animaux ne sont plus accueillis sur le plateau. C’est aussi le premier tournant éditorial du «Jardin» qui s’ouvre à la nature au sens large.

En 1991, Arlette quitte la présentation pour céder son fauteuil de jardin à Claudine Brasseur. L’ex-speakerine (comme Arlette Vincent !) apportera, au fil du temps, une touche plus environnementale au programme.

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Dans les années nonante, suite à une forte concurrence «royale» du privé, la RTBF décide de déplacer la «Jardin» du samedi soir au dimanche soir. Malgré des craintes, le public suivra.

En 2014, la formule change. Finis les studios, «Le Jardin» prend l’air avec Tanguy Dumortier sur le terrain.

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Une nouvelle formule gagnante

Le plus de Tanguy Dumortier (à part une collection impressionnante de gilets sans manches !), c’est qu’il produit et réalise lui-même ses propres documentaires. Après un an à la tête de l’émission, l’heure est au premier bilan.

«Nous sommes toujours dans le virage du changement dans les habitudes de l’émission», confie Tanguy. «Nous voulons davantage produire nous-mêmes. Aujourd’hui, nous proposons des émissions qui sont réalisées par nos équipes de la première à la dernière image. C’est aussi une autre façon de travailler, réaliser nos films, sans pour autant exploser les budgets».

Une formule qui marche puisque la saison dernière, ce sont en moyenne 323.100 téléspectateurs (18,6 % de parts de marché) qui ont suivi le nouveau «Jardin». Et la concurrence essaie toujours de mettre des bâtons dans les roues.

«Le Jardin a un public très fidèle. Quand la concurrence n’est pas très forte, on peut monter jusqu’à 24 % de parts de marché. Les gens viennent chercher aussi de l’information puisque l’on montre aussi les changements dus au climat», conclut Tanguy Dumortier.

Coulisses et archives

Le dimanche 18 octobre 2015, La Une dédiera toute une soirée à l’anniversaire de l’émission. Un premier documentaire, sous forme de jeu à la «Koh-Lanta», plongera cinq téléspectateurs dans les coulisses. La plongée, les prises de vue en hélico, l’affût, le monde de l’infiniment petit et les prises de son feront partie des «épreuves».

Ensuite, c’est toute l’histoire de l’émission qui sera racontée en 52 minutes, avec des archives, dans «Les Enfants du Jardin».

Et pour finir la soirée, un «beau» film : «Freedom, la légende des aigles».

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Pierre Bertinchamps

Pour la petite histoire, la plupart étaient prêtés par le Zoo d’Anvers.

Dès 1960

Mais le doc animalier sur la télévision belge remonte à 1960 et «Histoires naturelles». Suivra en parallèle, dès 1963, «Le Monde des animaux» avec un certain Paul Galand, jeune biologiste. Les deux émissions donneront naissance au «Jardin extraordinaire» avec le visage de la speakerine Arlette Vincent.

Le côté proximité étant privilégié dans cette nouvelle formule. La fréquence hebdomadaire est lancée en octobre 1965, ainsi que la case du samedi soir. Le titre «Le Jardin extraordinaire» est emprunté à la chanson de Charles Trenet.

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De Arlette à Tanguy

Depuis 1978, pour des raisons d’éthique, les animaux ne sont plus accueillis sur le plateau. C’est aussi le premier tournant éditorial du «Jardin» qui s’ouvre à la nature au sens large.

En 1991, Arlette quitte la présentation pour céder son fauteuil de jardin à Claudine Brasseur. L’ex-speakerine (comme Arlette Vincent !) apportera, au fil du temps, une touche plus environnementale au programme.

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En 2014, la formule change. Finis les studios, «Le Jardin» prend l’air avec Tanguy Dumortier sur le terrain.

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«Nous sommes toujours dans le virage du changement dans les habitudes de l’émission», confie Tanguy. «Nous voulons davantage produire nous-mêmes. Aujourd’hui, nous proposons des émissions qui sont réalisées par nos équipes de la première à la dernière image. C’est aussi une autre façon de travailler, réaliser nos films, sans pour autant exploser les budgets».

Une formule qui marche puisque la saison dernière, ce sont en moyenne 323.100 téléspectateurs (18,6 % de parts de marché) qui ont suivi le nouveau «Jardin». Et la concurrence essaie toujours de mettre des bâtons dans les roues.

«Le Jardin a un public très fidèle. Quand la concurrence n’est pas très forte, on peut monter jusqu’à 24 % de parts de marché. Les gens viennent chercher aussi de l’information puisque l’on montre aussi les changements dus au climat», conclut Tanguy Dumortier.

Coulisses et archives

Le dimanche 18 octobre 2015, La Une dédiera toute une soirée à l’anniversaire de l’émission. Un premier documentaire, sous forme de jeu à la «Koh-Lanta», plongera cinq téléspectateurs dans les coulisses. La plongée, les prises de vue en hélico, l’affût, le monde de l’infiniment petit et les prises de son feront partie des «épreuves».

Ensuite, c’est toute l’histoire de l’émission qui sera racontée en 52 minutes, avec des archives, dans «Les Enfants du Jardin».

Et pour finir la soirée, un «beau» film : «Freedom, la légende des aigles».

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