La mise au point de Kody : «Je dois encore passer des tests pour TPMP»

La mise au point de Kody : «Je dois encore passer des tests pour TPMP»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

L’humoriste du «Grand cactus» compte piquer chez Hanouna. Une carrière en France est lancée, mais Kody veut y aller piano.

En deux saisons, Kody est devenu un phénomène au point d’intéresser la France. C8 et Paris Première lui font les yeux doux, alors que chez nous, on l’a furtivement vu sur RTL, et il sera l’invité du spectacle de Pablo Andres à Forest National, le 28 avril 2017.

Une belle ascension pour un pari très piquant qui n’était pas gagné d’avance. « »Le Grand Cactus », c’est le succès d’une bande et des potes qui se connaissent depuis longtemps», décrit Kody. «On ne pouvait pas s’attendre à un tel succès. On savait que ça prendrait parce qu’on a plus de maturité et d’expérience par rapport à l’époque du « Comme Eddy Show »».

Grâce à ce succès, Cyril Hanouna vous a engagé…

J’ai déjà démarré dans «Touche pas à mon poste». J’y ai déjà fait 3 ou 4 apparitions, et je le dois à la parodie de son émission faite dans «Le Grand Cactus», à l’automne. Par la suite, il m’a invité et m’a dit qu’il espérait bosser avec moi. À ce stade, c’est ça l’info.

Vous rêvez d’avoir votre prime en télé comme Pirette ou GuiHome ?

En toute franchise, non. Et RTL ne m’a jamais contacté non plus pour ça. Par contre, j’ai été surpris de la réflexion de Jean-Michel Zecca : «C’est étonnant que RTL soit passé à côté de toi !» Finalement, ce n’est pas très étonnant puisque dès le départ la RTBF m’a donné ma chance, en radio, sur VivaCité (dans «Les Enfants de chœur»)…

Entretien : Pierre Bertinchamps

Vous apparaissez aussi dans une émission de Paris Première («Le Conseil de discipline»)…

J’y suis arrivé parce que Daniel Prévost, avec qui je m’entends bien, a proposé mon nom au producteur lorsqu’il cherchait des chroniqueurs et des humoristes. J’ai envoyé quelques vidéos et quelques textes… Ils connaissaient déjà Alex Vizorek qui bosse aussi pour Paris Première. C’est une mensuelle présentée par Jean-Louis Debré.

Vous y faites quoi ?

Un sketch dans lequel je dis à l’invité que c’est un plagiaire et qu’il m’a tout piqué. On a reçu Anne Roumanoff, Guy Carlier ou Michel Leeb. Lui dire qu’il m’a tout piqué, c’était vraiment pas mal. (rires)

Vous allez louer un appartement à Paris avec Vizorek ?

Oui, dans le Thalys… Pour l’instant les aller-retour ne me dérangent pas, j’arrive à gérer mon temps. La France offre énormément de possibilités de rencontres.

Vous rêvez d’avoir votre prime en télé comme Pirette ou GuiHome ?

En toute franchise, non. Et RTL ne m’a jamais contacté non plus pour ça. Par contre, j’ai été surpris de la réflexion de Jean-Michel Zecca : «C’est étonnant que RTL soit passé à côté de toi !» Finalement, ce n’est pas très étonnant puisque dès le départ la RTBF m’a donné ma chance, en radio, sur VivaCité (dans «Les Enfants de chœur»)…

Entretien : Pierre Bertinchamps

Vous regardez beaucoup la télé ?

Je ne suis pas un grand spécialiste des médias, mais je regarde la télé. Ce que j’appréhende, c’est de ne pas pouvoir être hyper-réactif dans les débats sur les médias. On ne capte pas toutes les chaînes françaises, ici. Comment je pourrais donner un avis sur un programme que je n’ai pas vu ?

Vous apparaissez aussi dans une émission de Paris Première («Le Conseil de discipline»)…

J’y suis arrivé parce que Daniel Prévost, avec qui je m’entends bien, a proposé mon nom au producteur lorsqu’il cherchait des chroniqueurs et des humoristes. J’ai envoyé quelques vidéos et quelques textes… Ils connaissaient déjà Alex Vizorek qui bosse aussi pour Paris Première. C’est une mensuelle présentée par Jean-Louis Debré.

Vous y faites quoi ?

Un sketch dans lequel je dis à l’invité que c’est un plagiaire et qu’il m’a tout piqué. On a reçu Anne Roumanoff, Guy Carlier ou Michel Leeb. Lui dire qu’il m’a tout piqué, c’était vraiment pas mal. (rires)

Vous allez louer un appartement à Paris avec Vizorek ?

Oui, dans le Thalys… Pour l’instant les aller-retour ne me dérangent pas, j’arrive à gérer mon temps. La France offre énormément de possibilités de rencontres.

Vous rêvez d’avoir votre prime en télé comme Pirette ou GuiHome ?

En toute franchise, non. Et RTL ne m’a jamais contacté non plus pour ça. Par contre, j’ai été surpris de la réflexion de Jean-Michel Zecca : «C’est étonnant que RTL soit passé à côté de toi !» Finalement, ce n’est pas très étonnant puisque dès le départ la RTBF m’a donné ma chance, en radio, sur VivaCité (dans «Les Enfants de chœur»)…

Entretien : Pierre Bertinchamps

On vous sent un peu stressé…

C’est différent du «Grand Cactus» où je connaissais tout le monde, même les techniciens ! Ici, il y a une inconnue : les conseils de classe ou les débats sur les émissions. Mais je ne veux pas que «TPMP» soit une arène dans lequel je vais me faire bouffer…

Vous regardez beaucoup la télé ?

Je ne suis pas un grand spécialiste des médias, mais je regarde la télé. Ce que j’appréhende, c’est de ne pas pouvoir être hyper-réactif dans les débats sur les médias. On ne capte pas toutes les chaînes françaises, ici. Comment je pourrais donner un avis sur un programme que je n’ai pas vu ?

Vous apparaissez aussi dans une émission de Paris Première («Le Conseil de discipline»)…

J’y suis arrivé parce que Daniel Prévost, avec qui je m’entends bien, a proposé mon nom au producteur lorsqu’il cherchait des chroniqueurs et des humoristes. J’ai envoyé quelques vidéos et quelques textes… Ils connaissaient déjà Alex Vizorek qui bosse aussi pour Paris Première. C’est une mensuelle présentée par Jean-Louis Debré.

Vous y faites quoi ?

Un sketch dans lequel je dis à l’invité que c’est un plagiaire et qu’il m’a tout piqué. On a reçu Anne Roumanoff, Guy Carlier ou Michel Leeb. Lui dire qu’il m’a tout piqué, c’était vraiment pas mal. (rires)

Vous allez louer un appartement à Paris avec Vizorek ?

Oui, dans le Thalys… Pour l’instant les aller-retour ne me dérangent pas, j’arrive à gérer mon temps. La France offre énormément de possibilités de rencontres.

Vous rêvez d’avoir votre prime en télé comme Pirette ou GuiHome ?

En toute franchise, non. Et RTL ne m’a jamais contacté non plus pour ça. Par contre, j’ai été surpris de la réflexion de Jean-Michel Zecca : «C’est étonnant que RTL soit passé à côté de toi !» Finalement, ce n’est pas très étonnant puisque dès le départ la RTBF m’a donné ma chance, en radio, sur VivaCité (dans «Les Enfants de chœur»)…

Entretien : Pierre Bertinchamps

Des imitations comme dans «Le Grand Cactus» ?

Pourquoi pas ! Bien sûr, je ne veux pas faire doublon avec ce que l’on voit sur La Deux. Ça ferait un peu bizarre de faire un sketch le jeudi sur la RTBF, et le revoir la semaine suivante sur C8 (ou Plug RTL). À vrai dire, je ne sais pas comment aborder cette aventure. Je vais faire de mon mieux, mais je ne sais pas encore quand ça démarrera…

On vous sent un peu stressé…

C’est différent du «Grand Cactus» où je connaissais tout le monde, même les techniciens ! Ici, il y a une inconnue : les conseils de classe ou les débats sur les émissions. Mais je ne veux pas que «TPMP» soit une arène dans lequel je vais me faire bouffer…

Vous regardez beaucoup la télé ?

Je ne suis pas un grand spécialiste des médias, mais je regarde la télé. Ce que j’appréhende, c’est de ne pas pouvoir être hyper-réactif dans les débats sur les médias. On ne capte pas toutes les chaînes françaises, ici. Comment je pourrais donner un avis sur un programme que je n’ai pas vu ?

Vous apparaissez aussi dans une émission de Paris Première («Le Conseil de discipline»)…

J’y suis arrivé parce que Daniel Prévost, avec qui je m’entends bien, a proposé mon nom au producteur lorsqu’il cherchait des chroniqueurs et des humoristes. J’ai envoyé quelques vidéos et quelques textes… Ils connaissaient déjà Alex Vizorek qui bosse aussi pour Paris Première. C’est une mensuelle présentée par Jean-Louis Debré.

Vous y faites quoi ?

Un sketch dans lequel je dis à l’invité que c’est un plagiaire et qu’il m’a tout piqué. On a reçu Anne Roumanoff, Guy Carlier ou Michel Leeb. Lui dire qu’il m’a tout piqué, c’était vraiment pas mal. (rires)

Vous allez louer un appartement à Paris avec Vizorek ?

Oui, dans le Thalys… Pour l’instant les aller-retour ne me dérangent pas, j’arrive à gérer mon temps. La France offre énormément de possibilités de rencontres.

Vous rêvez d’avoir votre prime en télé comme Pirette ou GuiHome ?

En toute franchise, non. Et RTL ne m’a jamais contacté non plus pour ça. Par contre, j’ai été surpris de la réflexion de Jean-Michel Zecca : «C’est étonnant que RTL soit passé à côté de toi !» Finalement, ce n’est pas très étonnant puisque dès le départ la RTBF m’a donné ma chance, en radio, sur VivaCité (dans «Les Enfants de chœur»)…

Entretien : Pierre Bertinchamps

Vous ne serez pas le Belge de service ?

(Rires) Non, pas du tout. Parfois, c’est ce qu’on nous demande, mais je ne suis pas arrivé dans l’équipe avec cette optique-là. Après, je pourrai faire autre chose dans le talkshow. Tout reste ouvert. Il faut d’abord qu’on se connaisse mieux et que Cyril ait confiance.

Des imitations comme dans «Le Grand Cactus» ?

Pourquoi pas ! Bien sûr, je ne veux pas faire doublon avec ce que l’on voit sur La Deux. Ça ferait un peu bizarre de faire un sketch le jeudi sur la RTBF, et le revoir la semaine suivante sur C8 (ou Plug RTL). À vrai dire, je ne sais pas comment aborder cette aventure. Je vais faire de mon mieux, mais je ne sais pas encore quand ça démarrera…

On vous sent un peu stressé…

C’est différent du «Grand Cactus» où je connaissais tout le monde, même les techniciens ! Ici, il y a une inconnue : les conseils de classe ou les débats sur les émissions. Mais je ne veux pas que «TPMP» soit une arène dans lequel je vais me faire bouffer…

Vous regardez beaucoup la télé ?

Je ne suis pas un grand spécialiste des médias, mais je regarde la télé. Ce que j’appréhende, c’est de ne pas pouvoir être hyper-réactif dans les débats sur les médias. On ne capte pas toutes les chaînes françaises, ici. Comment je pourrais donner un avis sur un programme que je n’ai pas vu ?

Vous apparaissez aussi dans une émission de Paris Première («Le Conseil de discipline»)…

J’y suis arrivé parce que Daniel Prévost, avec qui je m’entends bien, a proposé mon nom au producteur lorsqu’il cherchait des chroniqueurs et des humoristes. J’ai envoyé quelques vidéos et quelques textes… Ils connaissaient déjà Alex Vizorek qui bosse aussi pour Paris Première. C’est une mensuelle présentée par Jean-Louis Debré.

Vous y faites quoi ?

Un sketch dans lequel je dis à l’invité que c’est un plagiaire et qu’il m’a tout piqué. On a reçu Anne Roumanoff, Guy Carlier ou Michel Leeb. Lui dire qu’il m’a tout piqué, c’était vraiment pas mal. (rires)

Vous allez louer un appartement à Paris avec Vizorek ?

Oui, dans le Thalys… Pour l’instant les aller-retour ne me dérangent pas, j’arrive à gérer mon temps. La France offre énormément de possibilités de rencontres.

Vous rêvez d’avoir votre prime en télé comme Pirette ou GuiHome ?

En toute franchise, non. Et RTL ne m’a jamais contacté non plus pour ça. Par contre, j’ai été surpris de la réflexion de Jean-Michel Zecca : «C’est étonnant que RTL soit passé à côté de toi !» Finalement, ce n’est pas très étonnant puisque dès le départ la RTBF m’a donné ma chance, en radio, sur VivaCité (dans «Les Enfants de chœur»)…

Entretien : Pierre Bertinchamps

«TPMP», c’est une grosse machine à buzz. Vous ne craignez pas de vous griller ?

Si j’arrive à rester moi-même, je peux passer à côté des scandales. Ce n’est d’ailleurs pas pour ça que j’y vais. C’est une machine bien rôdée où chacun est à sa place. Et il ne faut justement pas que j’essaie de prendre la place d’un autre. Chaque chroniqueur apporte une personnalité, et essayer d’apporter la mienne ce sera mon point fort. Je vais venir avec mon humour.

Vous ne serez pas le Belge de service ?

(Rires) Non, pas du tout. Parfois, c’est ce qu’on nous demande, mais je ne suis pas arrivé dans l’équipe avec cette optique-là. Après, je pourrai faire autre chose dans le talkshow. Tout reste ouvert. Il faut d’abord qu’on se connaisse mieux et que Cyril ait confiance.

Des imitations comme dans «Le Grand Cactus» ?

Pourquoi pas ! Bien sûr, je ne veux pas faire doublon avec ce que l’on voit sur La Deux. Ça ferait un peu bizarre de faire un sketch le jeudi sur la RTBF, et le revoir la semaine suivante sur C8 (ou Plug RTL). À vrai dire, je ne sais pas comment aborder cette aventure. Je vais faire de mon mieux, mais je ne sais pas encore quand ça démarrera…

On vous sent un peu stressé…

C’est différent du «Grand Cactus» où je connaissais tout le monde, même les techniciens ! Ici, il y a une inconnue : les conseils de classe ou les débats sur les émissions. Mais je ne veux pas que «TPMP» soit une arène dans lequel je vais me faire bouffer…

Vous regardez beaucoup la télé ?

Je ne suis pas un grand spécialiste des médias, mais je regarde la télé. Ce que j’appréhende, c’est de ne pas pouvoir être hyper-réactif dans les débats sur les médias. On ne capte pas toutes les chaînes françaises, ici. Comment je pourrais donner un avis sur un programme que je n’ai pas vu ?

Vous apparaissez aussi dans une émission de Paris Première («Le Conseil de discipline»)…

J’y suis arrivé parce que Daniel Prévost, avec qui je m’entends bien, a proposé mon nom au producteur lorsqu’il cherchait des chroniqueurs et des humoristes. J’ai envoyé quelques vidéos et quelques textes… Ils connaissaient déjà Alex Vizorek qui bosse aussi pour Paris Première. C’est une mensuelle présentée par Jean-Louis Debré.

Vous y faites quoi ?

Un sketch dans lequel je dis à l’invité que c’est un plagiaire et qu’il m’a tout piqué. On a reçu Anne Roumanoff, Guy Carlier ou Michel Leeb. Lui dire qu’il m’a tout piqué, c’était vraiment pas mal. (rires)

Vous allez louer un appartement à Paris avec Vizorek ?

Oui, dans le Thalys… Pour l’instant les aller-retour ne me dérangent pas, j’arrive à gérer mon temps. La France offre énormément de possibilités de rencontres.

Vous rêvez d’avoir votre prime en télé comme Pirette ou GuiHome ?

En toute franchise, non. Et RTL ne m’a jamais contacté non plus pour ça. Par contre, j’ai été surpris de la réflexion de Jean-Michel Zecca : «C’est étonnant que RTL soit passé à côté de toi !» Finalement, ce n’est pas très étonnant puisque dès le départ la RTBF m’a donné ma chance, en radio, sur VivaCité (dans «Les Enfants de chœur»)…

Entretien : Pierre Bertinchamps

Votre arrivée comme chroniqueur, c’est une rumeur ?

J’ai dit la même chose à Jean-Michel Zecca, sur Bel RTL (dans «C’est tout vu»), et il m’a demandé si je comptais faire plus. En fait, je vais me retrouver sur le plateau avec les chroniqueurs habituels de «TPMP» pour me tester. De là à en conclure que j’arrivais dans l’émission… J’ai vu des titres assez incroyables ! L’info n’a pas changé par rapport à janvier dernier. Je dois prendre contact avec la production pour fixer une date. Ici, c’était les vacances de l’émission, et je ne sais pas encore quand je vais y aller. Pas mal de gens veulent y être… Il n’y a pas de jour prédéfini pour moi.

«TPMP», c’est une grosse machine à buzz. Vous ne craignez pas de vous griller ?

Si j’arrive à rester moi-même, je peux passer à côté des scandales. Ce n’est d’ailleurs pas pour ça que j’y vais. C’est une machine bien rôdée où chacun est à sa place. Et il ne faut justement pas que j’essaie de prendre la place d’un autre. Chaque chroniqueur apporte une personnalité, et essayer d’apporter la mienne ce sera mon point fort. Je vais venir avec mon humour.

Vous ne serez pas le Belge de service ?

(Rires) Non, pas du tout. Parfois, c’est ce qu’on nous demande, mais je ne suis pas arrivé dans l’équipe avec cette optique-là. Après, je pourrai faire autre chose dans le talkshow. Tout reste ouvert. Il faut d’abord qu’on se connaisse mieux et que Cyril ait confiance.

Des imitations comme dans «Le Grand Cactus» ?

Pourquoi pas ! Bien sûr, je ne veux pas faire doublon avec ce que l’on voit sur La Deux. Ça ferait un peu bizarre de faire un sketch le jeudi sur la RTBF, et le revoir la semaine suivante sur C8 (ou Plug RTL). À vrai dire, je ne sais pas comment aborder cette aventure. Je vais faire de mon mieux, mais je ne sais pas encore quand ça démarrera…

On vous sent un peu stressé…

C’est différent du «Grand Cactus» où je connaissais tout le monde, même les techniciens ! Ici, il y a une inconnue : les conseils de classe ou les débats sur les émissions. Mais je ne veux pas que «TPMP» soit une arène dans lequel je vais me faire bouffer…

Vous regardez beaucoup la télé ?

Je ne suis pas un grand spécialiste des médias, mais je regarde la télé. Ce que j’appréhende, c’est de ne pas pouvoir être hyper-réactif dans les débats sur les médias. On ne capte pas toutes les chaînes françaises, ici. Comment je pourrais donner un avis sur un programme que je n’ai pas vu ?

Vous apparaissez aussi dans une émission de Paris Première («Le Conseil de discipline»)…

J’y suis arrivé parce que Daniel Prévost, avec qui je m’entends bien, a proposé mon nom au producteur lorsqu’il cherchait des chroniqueurs et des humoristes. J’ai envoyé quelques vidéos et quelques textes… Ils connaissaient déjà Alex Vizorek qui bosse aussi pour Paris Première. C’est une mensuelle présentée par Jean-Louis Debré.

Vous y faites quoi ?

Un sketch dans lequel je dis à l’invité que c’est un plagiaire et qu’il m’a tout piqué. On a reçu Anne Roumanoff, Guy Carlier ou Michel Leeb. Lui dire qu’il m’a tout piqué, c’était vraiment pas mal. (rires)

Vous allez louer un appartement à Paris avec Vizorek ?

Oui, dans le Thalys… Pour l’instant les aller-retour ne me dérangent pas, j’arrive à gérer mon temps. La France offre énormément de possibilités de rencontres.

Vous rêvez d’avoir votre prime en télé comme Pirette ou GuiHome ?

En toute franchise, non. Et RTL ne m’a jamais contacté non plus pour ça. Par contre, j’ai été surpris de la réflexion de Jean-Michel Zecca : «C’est étonnant que RTL soit passé à côté de toi !» Finalement, ce n’est pas très étonnant puisque dès le départ la RTBF m’a donné ma chance, en radio, sur VivaCité (dans «Les Enfants de chœur»)…

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