«La Fureur de vivre» : James Dean, le rebelle légendaire
Le film-culte est à (re)voir ce mercredi à 21h05 sur La Trois.
Fin septembre 1955. À bord d’une Porsche 550 Spyder, James Dean perd la vie dans un accident de voiture sur une route de Californie. Il a 24 ans et laisse orpheline toute une génération qui se reconnaît en cet acteur si séduisant et rebelle.
En à peine quatre ans de carrière (de 1952 à 1955) et trois films («À l’est d’Eden», «La Fureur de vivre» diffusé ce soir sur La Trois, et «Géant»), il laisse aussi une empreinte incroyable dans l’histoire du cinéma. Plus qu’une star, il est devenu une légende, l’équivalent masculin de Marilyn Monroe. James Dean fait partie des cinq acteurs à avoir été nommés à l’Oscar du Meilleur acteur pour un premier film. Il a été aussi nommé dans cette catégorie à titre posthume à deux reprises.
Faisant mentir le titre du film, le trio d’acteurs à l’affiche de «La Fureur de vivre» a perdu la vie dans des circonstances violentes. Outre James Dean, sa partenaire Natalie Wood est morte noyée dans de troubles circonstances en 1981 et Sal Mineo a été assassiné en pleine rue par un toxicomane en manque en 1976.
«Nicholas Ray avait commencé le tournage en noir et blanc lorsqu’ « À l’est d’Eden » est sorti. Vu l’engouement suscité, Ray a fait ôter ses lunettes à James Dean et a recommencé à tout filmer en couleurs», raconte Jean-Philippe Guerand, auteur de «James Dean».
Cet article est paru dans le magazine Télépro du 22/10/2020
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