«La Belle Étincelle» : une histoire émouvante, basée sur des faits réels

Mélanie Doutey, Gauthier Gagnière, acteur atteint de troubles autistiques, et Bernard Campan provoquent une «Belle Étincelle» ! © RTBF/Cécile Pogue/Kare Productions/M6

Un téléfilm à découvrir ce jeudi à 20h30 sur La Une.

À Paris, le restaurant La Belle Étincelle emploie depuis trois ans des personnes en situation de handicap. Produit par le papa de l’un de ses employés, «La Belle Étincelle» raconte avec quelques libertés la genèse de ce restaurant à travers l’histoire de Virginie et de son fils Noé.

Alors qu’il essuie une polémique ayant entaché son image, Philippe Lamarck (Bernard Campan), brillant chef étoilé au caractère compliqué, pousse la porte du restaurant La Belle Étincelle pour y prendre les commandes de la cuisine. Ce qu’il ne sait pas, c’est que ce restaurant n’est pas comme les autres…

Pour permettre à Noé (Gauthier Gagnière), son fils atteint de troubles autistiques, de réaliser son rêve et de devenir cuisinier, Virginie (Mélanie Doutey), la gérante, a monté un restaurant inclusif et embauché uniquement des jeunes porteurs de handicaps cognitifs.

Le téléfilm «La Belle Étincelle» est produit par Priscilla Siney et Fabrice Goldstein. Ce dernier connaît très bien le restaurant puisque son fils Pierrot, qui joue dans le film, est l’un des huit employés de l’établissement. Aujourd’hui, il y a moins de 1 % d’insertion professionnelle en milieu ordinaire de personnes en situation de handicap mental ou cognitif. Comment travailler ensemble, et comment faire pour qu’il y ait davantage d’inclusion professionnelle ?

Cet article est paru dans le Télépro du 14/12/2023

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