Kev Adams, parrain de CAP48 : «J’ai la chance de pouvoir aider»

Après Jean-Luc Reichmann et Philippe Geluck les années précédentes, c'est l'humoriste français qui jouera le rôle de parrain © RTBF

Parrain de la grande soirée CAP48, Kev Adams prend son rôle au sérieux et espère mobiliser tout le monde !

Êtes-vous sensible aux causes défendues par CAP48 ?

Ce serait étrange pour un artiste de refuser ce genre de soutien. Je fais rire et je joue la comédie. Si en plus, ma notoriété peut servir des causes importantes… J’ai participé au Télévie, je parraine trois associations, ici, en France. Je suis proche des causes qui défendent les enfants et adolescents malades. L’association Princesse Margot vient, par exemple, en aide aux jeunes atteints de cancer. Ces dernières années, j’ai rendu pas mal de visites dans les hôpitaux. Ce n’est pas si extraordinaire. Pour CAP48, j’étais disponible, je n’ai pas hésité. L’opération me parle pour plein de raisons. Le handicap peut toucher tout le monde. J’agis comme si c’était mon petit frère qui était atteint.

Le slogan de cette année, c’est «Balance ta gêne». Cela vous parle ?

Bien sûr. C’est cool de rappeler aux personnes handicapées que nous les acceptons sans problème. Il ne faut pas les mettre au ban de la société. Le côté qui me gêne le plus, c’est le «il n’est pas comme nous» qui marque la différence.

Peut-on rire du handicap ?

Oui, à condition de ne pas le faire de façon irrespectueuse et de s’en moquer. Le rire excluant est à interdire. La nuance est importante. Il y a une limite à ne pas dépasser. Et puis, ceux qui sont victimes de handicap n’attendent que cela, de rigoler, pas qu’on s’apitoie.

L’intégralité de l’interview est à lire dans le magazine Télépro paru ce jeudi 10 octobre

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