Julie Morelle pousse les portes du pouvoir et des «Lieux interdits»

Julie Morelle pousse les portes du pouvoir et des «Lieux interdits»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Un nouveau rendez-vous débute ce vendredi 15 janvier 2016 à 20h50 sur La Une. Avec «Lieux interdits», Julie Morelle pose ses caméras là où habituellement les portes nous restent clauses…

C’est l’une des surprises de la rentrée 2016 : la RTBF lance un nouveau magazine où Julie Morelle délaisse son fauteuil du JT du week-end pour aller à la découverte de plusieurs endroits exceptionnels, où les caméras sont très rarement admises, «Lieux interdits».

Lieux d’influence

Plein de pistes ont été lancées pour ce concept maison. À l’heure actuelle, pas vraiment de périodicité n’est annoncée. «On sort vraiment du JT, c’est un format magazine qui me correspond», sourit Julie.

Les attentats de Paris n’ont pas modifié les plans. «Même avant le niveau 3, on sentait vraiment que nous étions dans une période un peu sécuritaire, et montrer des lieux stratégiques n’est pas forcément une bonne chose pour des raisons de sécurité. On a dû négocier, mais beaucoup de tournages ont eu lieu avant le niveau 4… Il y a eu des refus mais on espère encore les convaincre ! Nous ne sommes pas dans un magazine d’enquête pour trouver des failles. On ne va pas fouiner, juste observer pour comprendre».

Le petit plaisir de Julie Morelle, ce serait d’ouvrir les portes d’une centrale nucléaire. Un sujet dans l’actualité…

Julie Morelle ne quitte pas pour autant son fauteuil du JT, elle s’offre juste une petite parenthèse au vert dans les bureaux du pouvoir !

Pierre Bertinchamps

On ne découvrira pas que des lieux du pouvoir, mais aussi des clubs privés héritiers des clubs de gentlemen à l’ancienne, les cercles d’affaires,… «Ils ont un rôle important dans les décisions qui sont prises que ce soit au niveau politique ou autre. Beaucoup de choses se décident dans ces salons. On nous l’a confirmé», confie la journaliste.

La volonté est aussi de démonter un certains nombre de clichés. C’est une des raisons pour lesquelles les portes se sont ouvertes plus facilement pour une équipe de télé. L’émission sera découpée en trois parties. Trois lieux différents.

La sécurité s’est invitée

Plein de pistes ont été lancées pour ce concept maison. À l’heure actuelle, pas vraiment de périodicité n’est annoncée. «On sort vraiment du JT, c’est un format magazine qui me correspond», sourit Julie.

Les attentats de Paris n’ont pas modifié les plans. «Même avant le niveau 3, on sentait vraiment que nous étions dans une période un peu sécuritaire, et montrer des lieux stratégiques n’est pas forcément une bonne chose pour des raisons de sécurité. On a dû négocier, mais beaucoup de tournages ont eu lieu avant le niveau 4… Il y a eu des refus mais on espère encore les convaincre ! Nous ne sommes pas dans un magazine d’enquête pour trouver des failles. On ne va pas fouiner, juste observer pour comprendre».

Le petit plaisir de Julie Morelle, ce serait d’ouvrir les portes d’une centrale nucléaire. Un sujet dans l’actualité…

Julie Morelle ne quitte pas pour autant son fauteuil du JT, elle s’offre juste une petite parenthèse au vert dans les bureaux du pouvoir !

Pierre Bertinchamps

Dans ce nouveau magazine, en prime time, la journaliste veut montrer ce qu’on ne peut (habituellement) pas voir. De la résidence du Premier ministre aux suites de Val Duchesse où logent les chefs d’Etat étrangers, en passant par le célèbre Clos des milliardaires et les cercles privés où hommes et femmes d’influence se retrouvent en toute discrétion.

Démonter les clichés

«C’était assez gai, parce que ça faisait longtemps que j’avais envie de passer ces grilles-là», explique Julie Morelle. «On a eu accès à une des maisons du Clos des milliardaires, et voir ce qui s’y passe».

On ne découvrira pas que des lieux du pouvoir, mais aussi des clubs privés héritiers des clubs de gentlemen à l’ancienne, les cercles d’affaires,… «Ils ont un rôle important dans les décisions qui sont prises que ce soit au niveau politique ou autre. Beaucoup de choses se décident dans ces salons. On nous l’a confirmé», confie la journaliste.

La volonté est aussi de démonter un certains nombre de clichés. C’est une des raisons pour lesquelles les portes se sont ouvertes plus facilement pour une équipe de télé. L’émission sera découpée en trois parties. Trois lieux différents.

La sécurité s’est invitée

Plein de pistes ont été lancées pour ce concept maison. À l’heure actuelle, pas vraiment de périodicité n’est annoncée. «On sort vraiment du JT, c’est un format magazine qui me correspond», sourit Julie.

Les attentats de Paris n’ont pas modifié les plans. «Même avant le niveau 3, on sentait vraiment que nous étions dans une période un peu sécuritaire, et montrer des lieux stratégiques n’est pas forcément une bonne chose pour des raisons de sécurité. On a dû négocier, mais beaucoup de tournages ont eu lieu avant le niveau 4… Il y a eu des refus mais on espère encore les convaincre ! Nous ne sommes pas dans un magazine d’enquête pour trouver des failles. On ne va pas fouiner, juste observer pour comprendre».

Le petit plaisir de Julie Morelle, ce serait d’ouvrir les portes d’une centrale nucléaire. Un sujet dans l’actualité…

Julie Morelle ne quitte pas pour autant son fauteuil du JT, elle s’offre juste une petite parenthèse au vert dans les bureaux du pouvoir !

Pierre Bertinchamps

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