Joey Starr : «J’ai suivi mon instinct» (interview)

Joey Starr : «J'ai suivi mon instinct» (interview)
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Le rappeur incarne un tueur psychopathe dans «La Main du mal», à découvrir dès ce lundi 7 novembre à 20h55 sur TF1.

Tourné entre Paris et la Bretagne, ce téléfilm en 2 parties est adapté d’une série à succès de la BBC, «The Escape Artist». L’histoire de Luc Follet, un sadique qui chamboule la vie de deux avocats incarnés par Grégory Fitoussi et Mélanie Doutey.

Comment êtes-vous arrivé sur ce projet ?

Grâce à une rencontre avec un metteur en scène. Ce que Pierre Aknine (ndlr : l’auteur-réalisateur) dégageait m’a tout de suite plu. Je me suis senti à l’aise et j’ai eu envie de faire un petit voyage avec lui.

Comment s’est passée votre collaboration avec Grégory Fitoussi et Mélanie Doutey ?

Hyper bien, ce sont tous les deux de super acteurs qui travaillent en finesse leur personnage. À l’image d’une mante religieuse – et de mon personnage d’ailleurs -, j’ai essayé de me nourrir de leur substance. En plus, ce sont de très bons camarades.

Et le travail avec Pierre Aknine ?

On a l’impression de se marrer tout le temps, mais Pierre est un malin : en fait, on travaille tout le temps !

Qu’est-ce que ça fait d’entrer dans la peau d’un dangereux psychopathe ?

Je me suis amusé parce que dans le film, le personnage jubile de jouer avec les gens. Sauf à la fin…

Se libère-t-on facilement d’un tel rôle en fin de tournage ?

C’est un peu comme avec un blouson  : le matin on l’enfile, et le soir on l’enlève. À la fin du film, on met son rôle dans l’armoire… et de temps en temps on le revoit.

Comment s’est passée votre collaboration avec Grégory Fitoussi et Mélanie Doutey ?

Hyper bien, ce sont tous les deux de super acteurs qui travaillent en finesse leur personnage. À l’image d’une mante religieuse – et de mon personnage d’ailleurs -, j’ai essayé de me nourrir de leur substance. En plus, ce sont de très bons camarades.

Et le travail avec Pierre Aknine ?

On a l’impression de se marrer tout le temps, mais Pierre est un malin : en fait, on travaille tout le temps !

Comment vous êtes-vous préparé pour interpréter ce personnage ?

J’ai avancé palier par palier, en me laissant guider. Et j’ai suivi mon instinct pour travailler.

Vous êtes-vous inspiré de tueurs connus ?

Non.

Qu’est-ce que ça fait d’entrer dans la peau d’un dangereux psychopathe ?

Je me suis amusé parce que dans le film, le personnage jubile de jouer avec les gens. Sauf à la fin…

Se libère-t-on facilement d’un tel rôle en fin de tournage ?

C’est un peu comme avec un blouson  : le matin on l’enfile, et le soir on l’enlève. À la fin du film, on met son rôle dans l’armoire… et de temps en temps on le revoit.

Comment s’est passée votre collaboration avec Grégory Fitoussi et Mélanie Doutey ?

Hyper bien, ce sont tous les deux de super acteurs qui travaillent en finesse leur personnage. À l’image d’une mante religieuse – et de mon personnage d’ailleurs -, j’ai essayé de me nourrir de leur substance. En plus, ce sont de très bons camarades.

Et le travail avec Pierre Aknine ?

On a l’impression de se marrer tout le temps, mais Pierre est un malin : en fait, on travaille tout le temps !

Avez-vous vu la série originale ?

Oui, je l’ai regardée au début du tournage, surtout pour voir la tête du type que j’allais interpréter. Ensuite, je l’ai complètement oubliée. J’ai simplement cherché à suivre le scénario. Je pense qu’il y avait tout dedans. Mais je n’ai pas regardé en  haut de la montagne pour voir le boulot qu’il restait à accomplir, je serais devenu fou !

Qui est Follet ?

C’est un joueur. Il teste la capacité des autres à lui résister. Au fur et à mesure du travail, je me suis aperçu qu’il se moquait totalement de son sort. Ce qui l’intéresse, c’est la manière dont il va s’en tirer et qui va le faire sortir de prison. Follet est un pervers un peu dingue qui a toujours un coup d’avance sur les autres.

Comment vous êtes-vous préparé pour interpréter ce personnage ?

J’ai avancé palier par palier, en me laissant guider. Et j’ai suivi mon instinct pour travailler.

Vous êtes-vous inspiré de tueurs connus ?

Non.

Qu’est-ce que ça fait d’entrer dans la peau d’un dangereux psychopathe ?

Je me suis amusé parce que dans le film, le personnage jubile de jouer avec les gens. Sauf à la fin…

Se libère-t-on facilement d’un tel rôle en fin de tournage ?

C’est un peu comme avec un blouson  : le matin on l’enfile, et le soir on l’enlève. À la fin du film, on met son rôle dans l’armoire… et de temps en temps on le revoit.

Comment s’est passée votre collaboration avec Grégory Fitoussi et Mélanie Doutey ?

Hyper bien, ce sont tous les deux de super acteurs qui travaillent en finesse leur personnage. À l’image d’une mante religieuse – et de mon personnage d’ailleurs -, j’ai essayé de me nourrir de leur substance. En plus, ce sont de très bons camarades.

Et le travail avec Pierre Aknine ?

On a l’impression de se marrer tout le temps, mais Pierre est un malin : en fait, on travaille tout le temps !

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici