Joëlle Scoriels se mouille pour SOS Faim !

Joëlle Scoriels se mouille pour SOS Faim !
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

L’animatrice de «69 minutes sans chichis» prépare, avec trois collègues de la RTBF, un Hunger Race, fin juin…

Depuis le début du mois, Joëlle Scoriels a abandonné le strass de son studio pourtant «sans chichis» pour les baskets, le short et la transpi. En tant que marraine de l’association SOS Faim, la présentatrice va participer à sa 1ere Hunger Race, à Bouillon, le 30 juin prochain.

Mais que se cache-t-il derrière ce nom barbare ? L’Hunger Race vient du film «The Hunger Games», c’est une sorte de pentathlon, mais en pire ! Une course très physique avec une combinaison de trail, de kayak, d’une tyrolienne et d’une course d’obstacles pour le sprint final. Lors de sa journée de mobilisation, SOS Faim ajoute une dimension solidaire, puisque que chaque équipe de 4 personnes qui prend part à la course doit récolter 1.400€ pour pouvoir s’inscrire.

L’an dernier, le Hunger Race avait rapporté 105.000€ à SOS Faim. Pour cette édition, l’objectif est de terminer sur un chèque de 130.000€. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au moment du départ à Bouillon.

Pierre Bertinchamps

Si François Mazure s’est immédiatement impliqué, c’est aussi parce qu’il a eu l’occasion de faire un reportage sur l’investissement de Joëlle Scoriels au Sénégal pour SOS Faim. «Il faut être conscient des enjeux. Faire la course, c’est amusant et sympa, mais derrière, il y a le soutien que l’on apporte aux populations. Il faut être solidaire», conclut-il. En soi, la course mise sur la solidarité puisque pour valider son parcours, il faut terminer à quatre.

L’an dernier, le Hunger Race avait rapporté 105.000€ à SOS Faim. Pour cette édition, l’objectif est de terminer sur un chèque de 130.000€. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au moment du départ à Bouillon.

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Plus silencieux sur le sujet, Gilles le Suisse (alias Gilles Monnat) se donne pourtant sans compter. Comme le veut la tradition, il a fait part de sa décision dans une lettre à sa mère. «Elle a l’habitude de me voir marcher, ça ne l’a pas surprise» sourit-il. «Elle est très fière de son fiston. Personnellement, je découvre des muscles en faisant cette épreuve. Le petit hic, c’est que j’ai le vertige, et il y a une tyrolienne…» On espère qu’il y aura une séquence dans «7 à la Une», à la rentrée… La préparation permet aussi de découvrir des collègues d’une autre manière que quand ils se croisent dans les couloirs de la RTBF.

Si François Mazure s’est immédiatement impliqué, c’est aussi parce qu’il a eu l’occasion de faire un reportage sur l’investissement de Joëlle Scoriels au Sénégal pour SOS Faim. «Il faut être conscient des enjeux. Faire la course, c’est amusant et sympa, mais derrière, il y a le soutien que l’on apporte aux populations. Il faut être solidaire», conclut-il. En soi, la course mise sur la solidarité puisque pour valider son parcours, il faut terminer à quatre.

L’an dernier, le Hunger Race avait rapporté 105.000€ à SOS Faim. Pour cette édition, l’objectif est de terminer sur un chèque de 130.000€. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au moment du départ à Bouillon.

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Le plus sportif, c’est donc François Mazure, et le plus motivé : Cédric Wauthier. Selon le coach sportif, c’est même lui qui court le mieux. «Il a la condition physique d’un coureur. Mais je pense juste qu’il ne s’est pas entraîné depuis longtemps…», ajoute Lyess, le coach.

Plus silencieux sur le sujet, Gilles le Suisse (alias Gilles Monnat) se donne pourtant sans compter. Comme le veut la tradition, il a fait part de sa décision dans une lettre à sa mère. «Elle a l’habitude de me voir marcher, ça ne l’a pas surprise» sourit-il. «Elle est très fière de son fiston. Personnellement, je découvre des muscles en faisant cette épreuve. Le petit hic, c’est que j’ai le vertige, et il y a une tyrolienne…» On espère qu’il y aura une séquence dans «7 à la Une», à la rentrée… La préparation permet aussi de découvrir des collègues d’une autre manière que quand ils se croisent dans les couloirs de la RTBF.

Si François Mazure s’est immédiatement impliqué, c’est aussi parce qu’il a eu l’occasion de faire un reportage sur l’investissement de Joëlle Scoriels au Sénégal pour SOS Faim. «Il faut être conscient des enjeux. Faire la course, c’est amusant et sympa, mais derrière, il y a le soutien que l’on apporte aux populations. Il faut être solidaire», conclut-il. En soi, la course mise sur la solidarité puisque pour valider son parcours, il faut terminer à quatre.

L’an dernier, le Hunger Race avait rapporté 105.000€ à SOS Faim. Pour cette édition, l’objectif est de terminer sur un chèque de 130.000€. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au moment du départ à Bouillon.

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Et la préparation est intensive… «Je découvre que je suis capable de faire des choses au niveau sportif, grâce à cette préparation», confie Joëlle.  Au total, ce seront 20 kilomètres de course en forêt ardennaise et 7 km de kayak. L’entraînement classique de course à pieds n’aurait pas suffi, il fallait faire plus. C’est François Mazure, le plus expérimenté de la bande qui a proposé de travailler avec le coach de l’Aspria qui le suit depuis plusieurs années. «J’ai fait les 20 km de Bruxelles, et sans lui, je n’aurais pas pu y arriver», raconte le journaliste. «L’avantage du coach, c’est qu’on évite les blessures, et surtout, on va beaucoup plus vite. Courir le matin, le midi et le soir, ça n’aide pas à progresser. Ici, on travaille aussi les muscles.» Il y a également un renforcement moral qui n’est pas négligeable.

Le plus sportif, c’est donc François Mazure, et le plus motivé : Cédric Wauthier. Selon le coach sportif, c’est même lui qui court le mieux. «Il a la condition physique d’un coureur. Mais je pense juste qu’il ne s’est pas entraîné depuis longtemps…», ajoute Lyess, le coach.

Plus silencieux sur le sujet, Gilles le Suisse (alias Gilles Monnat) se donne pourtant sans compter. Comme le veut la tradition, il a fait part de sa décision dans une lettre à sa mère. «Elle a l’habitude de me voir marcher, ça ne l’a pas surprise» sourit-il. «Elle est très fière de son fiston. Personnellement, je découvre des muscles en faisant cette épreuve. Le petit hic, c’est que j’ai le vertige, et il y a une tyrolienne…» On espère qu’il y aura une séquence dans «7 à la Une», à la rentrée… La préparation permet aussi de découvrir des collègues d’une autre manière que quand ils se croisent dans les couloirs de la RTBF.

Si François Mazure s’est immédiatement impliqué, c’est aussi parce qu’il a eu l’occasion de faire un reportage sur l’investissement de Joëlle Scoriels au Sénégal pour SOS Faim. «Il faut être conscient des enjeux. Faire la course, c’est amusant et sympa, mais derrière, il y a le soutien que l’on apporte aux populations. Il faut être solidaire», conclut-il. En soi, la course mise sur la solidarité puisque pour valider son parcours, il faut terminer à quatre.

L’an dernier, le Hunger Race avait rapporté 105.000€ à SOS Faim. Pour cette édition, l’objectif est de terminer sur un chèque de 130.000€. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au moment du départ à Bouillon.

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«C’est grâce à moi que ces athlètes reprennent forme humaine», s’amuse Joëlle Scoriels. Et pour séduire le moins sportif des quatre (Cédric Wauthier, NDLR), Joëlle sait y faire. «Quand on t’appelle et qu’on te demande de participer à un Hunger Race, et qu’on t’explique qu’en gros tu vas juste devoir marcher et boire des bières après, tu ne peux pas refuser !», explique le présentateur de «Une brique dans le ventre». «Mais dès le premier entraînement, je me suis dit que c’était un traquenard…»

Et la préparation est intensive… «Je découvre que je suis capable de faire des choses au niveau sportif, grâce à cette préparation», confie Joëlle.  Au total, ce seront 20 kilomètres de course en forêt ardennaise et 7 km de kayak. L’entraînement classique de course à pieds n’aurait pas suffi, il fallait faire plus. C’est François Mazure, le plus expérimenté de la bande qui a proposé de travailler avec le coach de l’Aspria qui le suit depuis plusieurs années. «J’ai fait les 20 km de Bruxelles, et sans lui, je n’aurais pas pu y arriver», raconte le journaliste. «L’avantage du coach, c’est qu’on évite les blessures, et surtout, on va beaucoup plus vite. Courir le matin, le midi et le soir, ça n’aide pas à progresser. Ici, on travaille aussi les muscles.» Il y a également un renforcement moral qui n’est pas négligeable.

Le plus sportif, c’est donc François Mazure, et le plus motivé : Cédric Wauthier. Selon le coach sportif, c’est même lui qui court le mieux. «Il a la condition physique d’un coureur. Mais je pense juste qu’il ne s’est pas entraîné depuis longtemps…», ajoute Lyess, le coach.

Plus silencieux sur le sujet, Gilles le Suisse (alias Gilles Monnat) se donne pourtant sans compter. Comme le veut la tradition, il a fait part de sa décision dans une lettre à sa mère. «Elle a l’habitude de me voir marcher, ça ne l’a pas surprise» sourit-il. «Elle est très fière de son fiston. Personnellement, je découvre des muscles en faisant cette épreuve. Le petit hic, c’est que j’ai le vertige, et il y a une tyrolienne…» On espère qu’il y aura une séquence dans «7 à la Une», à la rentrée… La préparation permet aussi de découvrir des collègues d’une autre manière que quand ils se croisent dans les couloirs de la RTBF.

Si François Mazure s’est immédiatement impliqué, c’est aussi parce qu’il a eu l’occasion de faire un reportage sur l’investissement de Joëlle Scoriels au Sénégal pour SOS Faim. «Il faut être conscient des enjeux. Faire la course, c’est amusant et sympa, mais derrière, il y a le soutien que l’on apporte aux populations. Il faut être solidaire», conclut-il. En soi, la course mise sur la solidarité puisque pour valider son parcours, il faut terminer à quatre.

L’an dernier, le Hunger Race avait rapporté 105.000€ à SOS Faim. Pour cette édition, l’objectif est de terminer sur un chèque de 130.000€. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au moment du départ à Bouillon.

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En tant que bonne marraine, Joëlle Scoriels montre l’exemple. Déjà l’an dernier, elle avait testé la tyrolienne. Là, elle se mouille jusqu’au bout. Dans la foulée, elle avait lancé un appel à collègues pour former son équipe. Quelques échanges de mails et la team «69 briques à la Une» est complète. Joëlle a su convaincre François Mazure qui a emmené Gille Monnat (Gilles le Suisse) et Cédric Wauthier. Un coach leur donne de précieux conseils d’entraînement dans un complexe sportif de Woluwé-Saint-Lambert.

«C’est grâce à moi que ces athlètes reprennent forme humaine», s’amuse Joëlle Scoriels. Et pour séduire le moins sportif des quatre (Cédric Wauthier, NDLR), Joëlle sait y faire. «Quand on t’appelle et qu’on te demande de participer à un Hunger Race, et qu’on t’explique qu’en gros tu vas juste devoir marcher et boire des bières après, tu ne peux pas refuser !», explique le présentateur de «Une brique dans le ventre». «Mais dès le premier entraînement, je me suis dit que c’était un traquenard…»

Et la préparation est intensive… «Je découvre que je suis capable de faire des choses au niveau sportif, grâce à cette préparation», confie Joëlle.  Au total, ce seront 20 kilomètres de course en forêt ardennaise et 7 km de kayak. L’entraînement classique de course à pieds n’aurait pas suffi, il fallait faire plus. C’est François Mazure, le plus expérimenté de la bande qui a proposé de travailler avec le coach de l’Aspria qui le suit depuis plusieurs années. «J’ai fait les 20 km de Bruxelles, et sans lui, je n’aurais pas pu y arriver», raconte le journaliste. «L’avantage du coach, c’est qu’on évite les blessures, et surtout, on va beaucoup plus vite. Courir le matin, le midi et le soir, ça n’aide pas à progresser. Ici, on travaille aussi les muscles.» Il y a également un renforcement moral qui n’est pas négligeable.

Le plus sportif, c’est donc François Mazure, et le plus motivé : Cédric Wauthier. Selon le coach sportif, c’est même lui qui court le mieux. «Il a la condition physique d’un coureur. Mais je pense juste qu’il ne s’est pas entraîné depuis longtemps…», ajoute Lyess, le coach.

Plus silencieux sur le sujet, Gilles le Suisse (alias Gilles Monnat) se donne pourtant sans compter. Comme le veut la tradition, il a fait part de sa décision dans une lettre à sa mère. «Elle a l’habitude de me voir marcher, ça ne l’a pas surprise» sourit-il. «Elle est très fière de son fiston. Personnellement, je découvre des muscles en faisant cette épreuve. Le petit hic, c’est que j’ai le vertige, et il y a une tyrolienne…» On espère qu’il y aura une séquence dans «7 à la Une», à la rentrée… La préparation permet aussi de découvrir des collègues d’une autre manière que quand ils se croisent dans les couloirs de la RTBF.

Si François Mazure s’est immédiatement impliqué, c’est aussi parce qu’il a eu l’occasion de faire un reportage sur l’investissement de Joëlle Scoriels au Sénégal pour SOS Faim. «Il faut être conscient des enjeux. Faire la course, c’est amusant et sympa, mais derrière, il y a le soutien que l’on apporte aux populations. Il faut être solidaire», conclut-il. En soi, la course mise sur la solidarité puisque pour valider son parcours, il faut terminer à quatre.

L’an dernier, le Hunger Race avait rapporté 105.000€ à SOS Faim. Pour cette édition, l’objectif est de terminer sur un chèque de 130.000€. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au moment du départ à Bouillon.

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