Ce mercredi soir, le paranormal revient sur RTL-TVI avec Jill Vandermeulen passionnée de surnaturel.
Nouvelle plongée «Au cœur de l’étrange» pour l’animatrice de 33 ans, mercredi à 20h25. Escale au château de Sombreffe avant d’examiner un poltergeist en Angleterre, de l’exorcisme et la terrifiante poupée Chucky !
Est-ce difficile de coprésenter l’émission avec Michaël Miraglia peu réceptif à l’étrange ?
Au contraire, on s’adresse à tout le monde avec un coté fantastique et un autre rationnel. Michaël permet aux incrédules de passer un moment divertissant. Avec moi, ceux qui y croient sont contents de ne pas être pris pour des fous.
D’où vient votre passion ?
Je vis avec depuis toute petite. Ma maman et mon grand-père ont toujours vécu des phénomènes étranges, des prémonitions ou ressentis. Mon grand-père laissait son âme sortir du corps et voyager dans la maison. Moi, je vois, j’entends des choses et je ressens des émotions dans certains lieux. Je ne viens pas d’une famille d’hurluberlus qui fait des séances vaudous, non plus !
Est-ce difficile à vivre ?
Enfant, ça me faisait peur, mais j’ai apprivoisé cela, je vis avec. Je sais me protéger des énergies négatives. J’ai dormi avec la lampe de chevet allumée jusqu’à 20 ans, impossible de dormir dans le noir. Créer ma chaine YouTube («Silent Jill») sur le paranormal m’a aussi aidée. Je vais dans des lieux réputés hantés. Parfois, ce n’est pas négatif. J’ai acheté une vieille maison du XIX e siècle, et en la visitant, j’ai senti une émotion forte me poussant à y vivre. Comme si je la connaissais.
Se passe-t-il des choses dans chaque maison ?
Non, mais dans chacune, il y a des énergies. Pas toujours des entités ou une âme qui rode, mais une «mémoire des murs» qui explique certains phénomènes comme celui d’un couple qui se sépare à peine trois mois après s’y être installé. Ces mauvaises énergies existent depuis longtemps.
Entre «Poltergeist», «L’Exorciste» ou «Chucky», quel film vous fait le plus peur ?
Sans hésiter «Poltergeist» ! C’est le premier film qui m’a effrayée, il reste dans mes classiques.
Cet article est paru dans le Télépro du 27/5/2021
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