Jérôme Pitorin (France 5) : «J’ai eu le privilège d’habiller le Manneken Pis»

Jérôme Pitorin (France 5) : «J'ai eu le privilège d'habiller le Manneken Pis»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

«Échappées belles» pose ses valises à Bruxelles le temps d’un (long) week-end. L’occasion d’y rencontrer le globe-trotter de France 5, Jérôme Pitorin.

«Un week-end à Bruxelles», c’est pour la télé. En vrai, Jérôme Pitorin est resté une dizaine de jours dans notre capitale pour la faire découvrir aux téléspectateurs français, que ce soit les incontournables comme l’Atomium ou le Manneken Pis ou des coins un peu plus bucoliques comme Saint-Gilles ou Evere.

La production l’assure, le magazine n’est pas une commande de l’office du tourisme pour redorer le blason de notre capitale après les attentats. «Échappées belles» travaille en toute indépendance.

L’un de ses animateurs, Jérôme Pitorin fait un boulot de rêve et il en est conscient. «Je ne vais pas dire « non ». Combien de personnes m’ont demandé si je n’avais pas besoin d’un assistant pour porter ma valise !» (rires)

Vous rencontrez les interlocuteurs avant ?

Oui, et ça les rassure. Ils savent ce qu’on va faire. Arriver la caméra sous leur nez, ce serait vraiment intrusif. On peut aussi préparer ce qu’on va se dire. Nous tournons toute la journée sur une séquence-plateau qui ne va durer que 6 ou 7 minutes, après montage. Mais je les rencontre… une heure avant, au mieux !

Que retenez-vous de Bruxelles ?

Les carbonades sur la Grand’Place ! (rires) Il y a un choix de patrimoine intéressant. Il suffit juste de lever la tête pour trouver des choses chouettes. Le principal atout de cette ville, ce sont les habitants. Les Bruxellois sont hyper-attachants. La «zwanze» (l’art de vivre du bruxellois), c’est la base même de la vie ! Chaque fois que je sais que je vais venir en Belgique, je suis content…

«Échappées belles – Week-end à Bruxelles», ce samedi 16 décembre à 20h50 sur France 5.

 Entretien : Pierre Bertinchamps

Découvrez la bande-annonce :​

Qu’est-ce qui démarque «Echappées belles» des autres programmes que l’on voit sur les chaînes thématiques ?

Ce que nous disent les téléspectateurs, c’est qu’ils apprécient le ton et la proximité que l’on a avec les interlocuteurs. Nous ne sommes pas des animateurs stars. Nous sommes des voyageurs comme monsieur et madame Tout-le-monde. Il y a une identification des gens qui nous regardent. Je demande souvent au réalisateur de nous filmer de près, pour qu’on emmène la personne qui nous regarde avec nous. On vit les choses. Ici, j’ai eu le privilège d’habiller le Manneken Pis. C’est du partage aussi.

Vous connaissiez déjà Bruxelles ?

J’étais déjà venu trois fois, notamment pour des tournages et pour «Nouvelle Star» (Jérôme Pitorin a été rédacteur en chef du télécrochet de M6, NDLR). Là, c’est la première fois que j’y reste aussi longtemps. J’aime bien l’esprit décalé des Bruxellois et des Belges en général.

Que retenez-vous de Bruxelles ?

Les carbonades sur la Grand’Place ! (rires) Il y a un choix de patrimoine intéressant. Il suffit juste de lever la tête pour trouver des choses chouettes. Le principal atout de cette ville, ce sont les habitants. Les Bruxellois sont hyper-attachants. La «zwanze» (l’art de vivre du bruxellois), c’est la base même de la vie ! Chaque fois que je sais que je vais venir en Belgique, je suis content…

«Échappées belles – Week-end à Bruxelles», ce samedi 16 décembre à 20h50 sur France 5.

 Entretien : Pierre Bertinchamps

Découvrez la bande-annonce :​

Vous partez quand même en vacances ?

Oui, et ça me permet parfois de retourner sur des lieux qui m’ont plu. Parce que, ce que je fais c’est quand même du travail. L’été, en général, je reste en France ou en Europe. En 2016, j’ai fait l’Irlande avec mes enfants. J’aime bien aussi rester en France, parce que finalement, prendre l’avion et bouger sans arrêt, ça me donne l’impression d’être au boulot.

Il a y un endroit qui vous tente ?

Il y en avait trois que je voulais faire quand j’ai commencé : le Grand Nord, le Pérou et l’Islande. Je suis allé au Grand Nord canadien et en Norvège ; cette saison, je vais au Pérou, et je suis excité comme un gosse ; par contre, l’Islande, ce n’était pas moi.

Qu’est-ce qui démarque «Echappées belles» des autres programmes que l’on voit sur les chaînes thématiques ?

Ce que nous disent les téléspectateurs, c’est qu’ils apprécient le ton et la proximité que l’on a avec les interlocuteurs. Nous ne sommes pas des animateurs stars. Nous sommes des voyageurs comme monsieur et madame Tout-le-monde. Il y a une identification des gens qui nous regardent. Je demande souvent au réalisateur de nous filmer de près, pour qu’on emmène la personne qui nous regarde avec nous. On vit les choses. Ici, j’ai eu le privilège d’habiller le Manneken Pis. C’est du partage aussi.

Vous connaissiez déjà Bruxelles ?

J’étais déjà venu trois fois, notamment pour des tournages et pour «Nouvelle Star» (Jérôme Pitorin a été rédacteur en chef du télécrochet de M6, NDLR). Là, c’est la première fois que j’y reste aussi longtemps. J’aime bien l’esprit décalé des Bruxellois et des Belges en général.

Que retenez-vous de Bruxelles ?

Les carbonades sur la Grand’Place ! (rires) Il y a un choix de patrimoine intéressant. Il suffit juste de lever la tête pour trouver des choses chouettes. Le principal atout de cette ville, ce sont les habitants. Les Bruxellois sont hyper-attachants. La «zwanze» (l’art de vivre du bruxellois), c’est la base même de la vie ! Chaque fois que je sais que je vais venir en Belgique, je suis content…

«Échappées belles – Week-end à Bruxelles», ce samedi 16 décembre à 20h50 sur France 5.

 Entretien : Pierre Bertinchamps

Découvrez la bande-annonce :​

Et votre plus belle destination ?

Je n’en ai pas de préférée. C’est compliqué de faire une hiérarchie des destinations. Mais il y a trois choses qui comptent pour moi dans le voyage : pouvoir apprécier les paysages, surtout ceux où on se sent «tout petit» ; les rencontres, surtout dans des pays qui ne sont pas spécialement sublimissimes ; et il faut que je sois complètement déconnecté de mes repères.

Vous étiez déjà un peu baroudeur avant de faire «Echappées belles» ?

Non, et je n’ai pas l’impression de l’être. Je ne suis pas un aventurier… De temps en temps, on ne loge pas dans des hôtels toujours cosy. Je me sens voyageur. Je ne suis d’ailleurs pas du genre à partir avec juste un sac à dos. Je l’ai fait à une époque où on n’avait pas les vols à 50 balles pour voyager dans toute l’Europe. Mon budget était donc un peu plus serré, et je ne voyageais pas beaucoup. Par contre, j’ai appris à voyager à travers «Echappées belles».

Vous partez quand même en vacances ?

Oui, et ça me permet parfois de retourner sur des lieux qui m’ont plu. Parce que, ce que je fais c’est quand même du travail. L’été, en général, je reste en France ou en Europe. En 2016, j’ai fait l’Irlande avec mes enfants. J’aime bien aussi rester en France, parce que finalement, prendre l’avion et bouger sans arrêt, ça me donne l’impression d’être au boulot.

Il a y un endroit qui vous tente ?

Il y en avait trois que je voulais faire quand j’ai commencé : le Grand Nord, le Pérou et l’Islande. Je suis allé au Grand Nord canadien et en Norvège ; cette saison, je vais au Pérou, et je suis excité comme un gosse ; par contre, l’Islande, ce n’était pas moi.

Qu’est-ce qui démarque «Echappées belles» des autres programmes que l’on voit sur les chaînes thématiques ?

Ce que nous disent les téléspectateurs, c’est qu’ils apprécient le ton et la proximité que l’on a avec les interlocuteurs. Nous ne sommes pas des animateurs stars. Nous sommes des voyageurs comme monsieur et madame Tout-le-monde. Il y a une identification des gens qui nous regardent. Je demande souvent au réalisateur de nous filmer de près, pour qu’on emmène la personne qui nous regarde avec nous. On vit les choses. Ici, j’ai eu le privilège d’habiller le Manneken Pis. C’est du partage aussi.

Vous connaissiez déjà Bruxelles ?

J’étais déjà venu trois fois, notamment pour des tournages et pour «Nouvelle Star» (Jérôme Pitorin a été rédacteur en chef du télécrochet de M6, NDLR). Là, c’est la première fois que j’y reste aussi longtemps. J’aime bien l’esprit décalé des Bruxellois et des Belges en général.

Que retenez-vous de Bruxelles ?

Les carbonades sur la Grand’Place ! (rires) Il y a un choix de patrimoine intéressant. Il suffit juste de lever la tête pour trouver des choses chouettes. Le principal atout de cette ville, ce sont les habitants. Les Bruxellois sont hyper-attachants. La «zwanze» (l’art de vivre du bruxellois), c’est la base même de la vie ! Chaque fois que je sais que je vais venir en Belgique, je suis content…

«Échappées belles – Week-end à Bruxelles», ce samedi 16 décembre à 20h50 sur France 5.

 Entretien : Pierre Bertinchamps

Découvrez la bande-annonce :​

Vous choisissez les destinations ?

Non. C’est la production. En début de saison, on nous attribue des destinations (il y a trois animateurs qui se relaient, NDLR). On ne donne même pas de préférences ou des avis. Les critères sont surtout notre emploi du temps, la saisonnalité des pays. Par exemple, avec Bruxelles, je termine l’Europe avant de partir en Amérique du Sud (au Pérou), où c’est déjà un peu l’été en novembre. Depuis mai, je n’ai quasi fait que des destinations européennes ou à moins de 3 heures d’avion de Paris. On essaie aussi que ce soit un peu équilibré sur les continents. L’idée est de se répartir le globe. Nous aussi on a besoin de variété, tout comme le téléspectateur. Toujours Pitorin en Asie, ça lasserait vite tout le monde…

Vous avez un continent préféré ?

J’aime beaucoup l’Asie et l’Amérique latine. En Asie, j’ai un cœur pour la culture et la spiritualité. Et l’Amérique du Sud, c’est parce que je peux y parler espagnol, et c’est une langue que j’aime pratiquer…

Et votre plus belle destination ?

Je n’en ai pas de préférée. C’est compliqué de faire une hiérarchie des destinations. Mais il y a trois choses qui comptent pour moi dans le voyage : pouvoir apprécier les paysages, surtout ceux où on se sent «tout petit» ; les rencontres, surtout dans des pays qui ne sont pas spécialement sublimissimes ; et il faut que je sois complètement déconnecté de mes repères.

Vous étiez déjà un peu baroudeur avant de faire «Echappées belles» ?

Non, et je n’ai pas l’impression de l’être. Je ne suis pas un aventurier… De temps en temps, on ne loge pas dans des hôtels toujours cosy. Je me sens voyageur. Je ne suis d’ailleurs pas du genre à partir avec juste un sac à dos. Je l’ai fait à une époque où on n’avait pas les vols à 50 balles pour voyager dans toute l’Europe. Mon budget était donc un peu plus serré, et je ne voyageais pas beaucoup. Par contre, j’ai appris à voyager à travers «Echappées belles».

Vous partez quand même en vacances ?

Oui, et ça me permet parfois de retourner sur des lieux qui m’ont plu. Parce que, ce que je fais c’est quand même du travail. L’été, en général, je reste en France ou en Europe. En 2016, j’ai fait l’Irlande avec mes enfants. J’aime bien aussi rester en France, parce que finalement, prendre l’avion et bouger sans arrêt, ça me donne l’impression d’être au boulot.

Il a y un endroit qui vous tente ?

Il y en avait trois que je voulais faire quand j’ai commencé : le Grand Nord, le Pérou et l’Islande. Je suis allé au Grand Nord canadien et en Norvège ; cette saison, je vais au Pérou, et je suis excité comme un gosse ; par contre, l’Islande, ce n’était pas moi.

Qu’est-ce qui démarque «Echappées belles» des autres programmes que l’on voit sur les chaînes thématiques ?

Ce que nous disent les téléspectateurs, c’est qu’ils apprécient le ton et la proximité que l’on a avec les interlocuteurs. Nous ne sommes pas des animateurs stars. Nous sommes des voyageurs comme monsieur et madame Tout-le-monde. Il y a une identification des gens qui nous regardent. Je demande souvent au réalisateur de nous filmer de près, pour qu’on emmène la personne qui nous regarde avec nous. On vit les choses. Ici, j’ai eu le privilège d’habiller le Manneken Pis. C’est du partage aussi.

Vous connaissiez déjà Bruxelles ?

J’étais déjà venu trois fois, notamment pour des tournages et pour «Nouvelle Star» (Jérôme Pitorin a été rédacteur en chef du télécrochet de M6, NDLR). Là, c’est la première fois que j’y reste aussi longtemps. J’aime bien l’esprit décalé des Bruxellois et des Belges en général.

Que retenez-vous de Bruxelles ?

Les carbonades sur la Grand’Place ! (rires) Il y a un choix de patrimoine intéressant. Il suffit juste de lever la tête pour trouver des choses chouettes. Le principal atout de cette ville, ce sont les habitants. Les Bruxellois sont hyper-attachants. La «zwanze» (l’art de vivre du bruxellois), c’est la base même de la vie ! Chaque fois que je sais que je vais venir en Belgique, je suis content…

«Échappées belles – Week-end à Bruxelles», ce samedi 16 décembre à 20h50 sur France 5.

 Entretien : Pierre Bertinchamps

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