Jean-Louis Lahaye : «Je vais passer le réveillon dans mon gros cadeau de Noël !»
Pour Noël, l’animateur de «Sur les traces de…» (La Une) va prendre possession de sa nouvelle maison. Le réveillon aura des allures de pendaison crémaillère chez les Lahaye, cette année…
Qu’est-ce que vous faites pour Noël ?
J’ai fait construire, et j’ai demandé à l’entrepreneur de réussir la prouesse de nous faire, en six ou sept mois, un habitat fini, clef sur porte, pour que je puisse y fêter le réveillon. J’ai demandé tout ça fin avril. Et le pari est relevé avec brio ! En fait, je vais passer Noël dans mon gros cadeau.
Ce sera une pendaison crémaillère en même temps qu’un réveillon…
Je vais pendre le Père Noël ! Craque… comme ça ce sera fait !
Au-delà de cette année, c’est une période que vous attendez avec impatience ?
Non, mais il y a une chose qui a changé fondamentalement pour moi, c’est de voir le regard de mon enfant (Merlin, NDLR) quand il découvre ses cadeaux. Je n’attendais pas Noël avant, la fête était juste symbolique, dans une ambiance sympa. La période ne m’intéressait pas plus que ça. Mais aujourd’hui, il y a ce truc magique que l’on retrouve dans le regard des gosses…
Si j’étais le Père Noël, après votre «gros cadeau», qu’est-ce que je pourrais vous offrir d’autre ?
Un porte-avion, et avec des avions ! (Rires) Parce que je ne vois pas ce que je pourrais demander de plus, là… Plus sérieusement, j’ai tellement de chance dans la vie que j’aurais la décence de dire au Père Noël de donner ce qu’il demande à quelqu’un qui en a besoin !
Vous avez un souvenir de Noël particulier ?
À vrai dire, on n’était pas très famille chez moi, donc je n’ai pas de souvenir de grande réunion autour du repas. Je n’ai pas grand-chose à raconter à ce niveau-là…
C’est pour cette raison que le regard de votre fils vous rend si admiratif ?
Complètement ! Je ne vais pas spécialement faire des réunions de famille pour lui, mais je veux simplement qu’il vive les fêtes pleinement. J’aime bien entretenir ce climat un peu magique. Avec un enfant de 3 ans, c’est parfait. C’est le plus bel âge pour vivre dans cette ambiance.
Entretien : Pierre Bertinchamps
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