James Franco en gendre non-idéal
Le film inédit de jeudi soir sur RTL-TVI s’intitule «The Boyfriend – Pourquoi lui ?». James Franco y campe un jeune milliardaire qui ne plaît pas du tout au père de sa fiancée. À l’occasion de la sortie du film en 2015, Télépro rencontrait l’acteur américain (38 ans à l’époque).
Dans ce film, vous jouez le rôle d’un jeune informaticien qui a fait fortune grâce à Internet. C’est un milieu que vous connaissez ?
Oui. Le film se déroule à Palo Alto, en Californie. C’est là que je suis né et que j’ai grandi. J’ai vécu dans le même quartier que Steve Jobs. Sa première fille, Lisa Brennan-Jobs, était dans ma classe au lycée. C’était une bonne amie, nous faisions le journal de l’école ensemble. Dans ma classe, il y avait aussi le petit fils de William Hewlett (cofondateur de Hewlett-Packard, ndlr). C’est donc un univers que je connais plutôt bien ! (il sourit)
Il s’agit d’une comédie. Il paraît que vous avez eu du mal à garder votre sérieux durant le tournage…
C’est vrai que c’était très amusant, nous avons eu de nombreux fous rires avec toute l’équipe ! Et je crois que nous en avons bien besoin avec tout ce qui se passe actuellement dans notre monde.
Vous êtes aussi scénariste. Où trouvez-vous l’inspiration pour écrire ?
Je n’ai pas besoin de boire ni de fumer pour trouver des idées de scénario ! (il se met à rire) En fait, je ne voulais pas devenir «prisonnier» de mon métier d’acteur. J’ai donc pris des cours dans trois universités différentes. Et l’écriture est devenue pour moi une sorte de discipline, un nouveau mode de de vie.
Êtes-vous aussi dépensier que votre personnage dans le film ?
Je ne suis pas très doué en affaires. Il m’arrive parfois de faire de mauvais investissements. (…) Aujourd’hui, je fais plus attention à mon argent.
Que faites-vous pour cela ?
J’essaie de vivre plus simplement. J’ai enfin les deux pieds sur terre ! J’ai vendu ma maison, un peu trop grande à mon goût. J’ai appris à vivre différemment et à investir mon argent plus intelligemment.
Extraits d’une interview parue dans le magazine Télépro du 12/01/2017
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