Freddie Highmore («Good Doctor», La Une) : «Le Dr Shaun Murphy est si positif !»
Succès d’audience, la série «Good Doctor» est de retour ce jeudi soir sur La Une pour une quatrième saison riche en rebondissements et en émotion. Départs et idylles annoncés…
360.000 téléspectateurs belges francophones – en moyenne – se passionnent depuis trois saisons pour les aventures du médecin autiste Shaun Murphy, incarné par Freddie Highmore, le «Good Doctor». Un succès tel que notre chaîne publique diffuse dès jeudi, et avant TF1, la quatrième salve d’épisodes qui démarre avec un décès, celui du Dr Melendez, joué par Nicholas Gonzalez. «Raconter des histoires sincères et touchantes n’exclut pas le départ de personnages principaux, cela fait partie du processus créatif, d’un choix artistique», se justifie le producteur David Shore, surpris par les protestations nées de cette disparition. Autre départ, mais négocié celui-là avec le producteur, celui de Jasika Nicole (Dr Carly Lever). A contrario, Beau Garrett (Jessica Preston dans la saison 1) opère un retour furtif. Voilà pour les personnages…
Le covid-19 s’invite…
En ce qui concerne les contenus, il fallait s’y attendre, les producteurs ont inclus, dans les deux premiers épisodes, la crise sanitaire que nous subissons depuis plus d’un an. De quoi rappeler de mauvais souvenirs… L’émotion sera donc intense d’entrée de jeu pour Shaun qui va devoir aussi superviser, avec ses collègues Claire et Alex, une nouvelle équipe de quatre internes (Noah Galvin, Brian Marc, Bria Samoné Henderson et Summer Brown). La période sera donc compliquée pour les chirurgiens du San Jose St Bonaventure Hospital. Au rayon des bonnes nouvelles, une nouvelle idylle entre deux médecins et une demande en mariage surprise sont annoncées.
Shaun est singulier
Freddie Highmore, 29 ans, heureux qu’une cinquième saison soit déjà prévue, ne cache pas son goût pour son personnage. «Shaun, est passionnant», avait-il confié à la chaîne américaine ABC, productrice de la série. «Ses particularités en font un être singulier. L’interpréter m’a demandé un vrai travail de recherche et de jeu, je ne voulais pas le trahir, mais au contraire présenter l’autisme de la manière la plus réaliste possible. Et alors qu’il est si facile de trouver de la négativité dans le monde, il est optimiste, plein d’espoir, agréablement différent. Les 8 millions de téléspectateurs américains qui le suivent se sont ralliés à cette façon de penser positive, au message qu’il renvoie et à ce désir de croire que les gens peuvent être bons.» CQFD…
Cet article est paru dans le Télépro du 5/08/2021.
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