Fanny Jandrain : «Je suis épanouie à la télé !» (interview)

Fanny Jandrain : «Je suis épanouie à la télé !» (interview)
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

L’animatrice fête aujourd’hui ses dix ans à la télé, sur RTL-TVI.

Ce 21 février, cela fait dix ans que Fanny Jandrain a démarré sur RTL-TVI. Étudiante au Conservatoire de Mons (en art oratoire), elle se retrouve sur la chaîne privée un peu par hasard.

Aujourd’hui, elle s’y sent très épanouie à la présentation des programmes, au coaching des nouvelles speakerines et sur Bel RTL. À 31 ans, Fanny Jandrain n’a pas de plan de carrière…

Il y a quelque chose de prévu pour fêter vos dix ans de télé ?

On joue la pièce du Télévie à Mons, et pour l’occasion, je vais apporter un bonne bouteille pour fêter ça !

 

Dans 10 ans, vos vous voyez comment ?

Comme je suis aujourd’hui. Pleine de vie et d’entrain. Heureuse avec mes enfants. Franchement, je n’ai pas besoin de grand-chose, et ça fait beaucoup rire mon entourage… La santé, la famille, les enfants, et mon mari… c’est tout ce dont j’ai besoin. Pour le reste, j’arrive à donner de la saveur à ce que j’ai. C’est comme ça que j’envisage les choses.

Vous êtes entrée à RTL par hasard. Vous vous imaginiez être toujours là aujourd’hui ?

Je n’ai jamais fait de plan de carrière. Quand vous faites le conservatoire, vous ne savez pas de quoi l’avenir sera fait. Vous allez beaucoup jouer ? Pas du tout ? Donner cours ? Ce sont des inconnues… Avec RTL, j’ai très vite trouvé une véritable stabilité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

Vous avez fait le conservatoire. Vous ne regrettez pas parfois d’avoir changé de voie ?

Je n’ai que 31 ans ! (rires) Tout est encore possible. Bien sûr, je suis à RTL depuis 10 ans. Je n’ai aucun regret. Je suis très fataliste, en bien ou en mal, s’il vous arrive quelque chose, c’est que ça doit arriver. Je suis épanouie à la télé. J’adore ce que je fais, c’est pour ça que je fais les choses avec cœur. Et concernant la comédie et le théâtre, quand je participe à la pièce du Télévie, je joue dans le plus grand succès national. 18.000 spectateurs qui viennent dans les plus beaux théâtres, c’est pas mal ! Et si dans cinq ans, je voulais faire des planches dans quelque chose de plus intimiste, pourquoi pas ! Vraiment je n’ai pas de remords, et je ne me dis pas que j’ai gâché une carrière de comédienne pour la télé.

 

Dans 10 ans, vos vous voyez comment ?

Comme je suis aujourd’hui. Pleine de vie et d’entrain. Heureuse avec mes enfants. Franchement, je n’ai pas besoin de grand-chose, et ça fait beaucoup rire mon entourage… La santé, la famille, les enfants, et mon mari… c’est tout ce dont j’ai besoin. Pour le reste, j’arrive à donner de la saveur à ce que j’ai. C’est comme ça que j’envisage les choses.

Vous êtes entrée à RTL par hasard. Vous vous imaginiez être toujours là aujourd’hui ?

Je n’ai jamais fait de plan de carrière. Quand vous faites le conservatoire, vous ne savez pas de quoi l’avenir sera fait. Vous allez beaucoup jouer ? Pas du tout ? Donner cours ? Ce sont des inconnues… Avec RTL, j’ai très vite trouvé une véritable stabilité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

À l’image de Julie Taton et de Sandrine Corman, vous avez été contactée pour travailler en France ?

On a tous eu, à un moment donné, des contacts pour faire un casting, une maquette ou des tests pour une chaîne française… Travailler à Paris, n’est pas quelque chose qui m’attire. Je suis arrivée à la télévision un peu par hasard. J’étais étudiante au Conservatoire (de Mons) quand j’ai débuté à RTL, j’étudiais mes cours dans les coulisses de la pièce du Télévie, ou le samedi et le dimanche au maquillage. Je profite de ce que j’ai et je ne cherche pas plus loin… Demain, si je m’ennuie et que j’ai envie de faire autre chose, je franchirai peut-être le pas… Et puis, on n’a pas à rougir de ce qu’on fait en Belgique. On peut être fiers des programmes que l’on propose. Je ne pense pas non plus que je serai très heureuse dans ce genre de ville. Ici, j’ai un mari, deux filles et bientôt un troisième enfant. Ma vie est ici…

 

Vous avez fait le conservatoire. Vous ne regrettez pas parfois d’avoir changé de voie ?

Je n’ai que 31 ans ! (rires) Tout est encore possible. Bien sûr, je suis à RTL depuis 10 ans. Je n’ai aucun regret. Je suis très fataliste, en bien ou en mal, s’il vous arrive quelque chose, c’est que ça doit arriver. Je suis épanouie à la télé. J’adore ce que je fais, c’est pour ça que je fais les choses avec cœur. Et concernant la comédie et le théâtre, quand je participe à la pièce du Télévie, je joue dans le plus grand succès national. 18.000 spectateurs qui viennent dans les plus beaux théâtres, c’est pas mal ! Et si dans cinq ans, je voulais faire des planches dans quelque chose de plus intimiste, pourquoi pas ! Vraiment je n’ai pas de remords, et je ne me dis pas que j’ai gâché une carrière de comédienne pour la télé.

 

Dans 10 ans, vos vous voyez comment ?

Comme je suis aujourd’hui. Pleine de vie et d’entrain. Heureuse avec mes enfants. Franchement, je n’ai pas besoin de grand-chose, et ça fait beaucoup rire mon entourage… La santé, la famille, les enfants, et mon mari… c’est tout ce dont j’ai besoin. Pour le reste, j’arrive à donner de la saveur à ce que j’ai. C’est comme ça que j’envisage les choses.

Vous êtes entrée à RTL par hasard. Vous vous imaginiez être toujours là aujourd’hui ?

Je n’ai jamais fait de plan de carrière. Quand vous faites le conservatoire, vous ne savez pas de quoi l’avenir sera fait. Vous allez beaucoup jouer ? Pas du tout ? Donner cours ? Ce sont des inconnues… Avec RTL, j’ai très vite trouvé une véritable stabilité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

RTL est la dernière chaîne à encore croire aux speakerines. Vous n’avez pas le blues ?

Non. Je n’ai pas un tempérament comme ça. Si demain, on doit arrêter de présenter les programmes parce qu’on retire les speakerines à RTL, on fera autre chose. Je n’ai pas cette mentalité de m’accrocher à tout prix à quelque chose. Et puis je n’ai pas spécialement l’intention de faire speakerine toute ma vie. C’est aussi l’évolution des choses. RTL tient à cette proximité et le lien familial de la speakerine, et tant que les speakerines restent à l’antenne, c’est une bonne nouvelle. Ce lien avec le téléspectateur est fort, je le ressens beaucoup avec la pièce du Télévie, plus que d’habitude.

 

À l’image de Julie Taton et de Sandrine Corman, vous avez été contactée pour travailler en France ?

On a tous eu, à un moment donné, des contacts pour faire un casting, une maquette ou des tests pour une chaîne française… Travailler à Paris, n’est pas quelque chose qui m’attire. Je suis arrivée à la télévision un peu par hasard. J’étais étudiante au Conservatoire (de Mons) quand j’ai débuté à RTL, j’étudiais mes cours dans les coulisses de la pièce du Télévie, ou le samedi et le dimanche au maquillage. Je profite de ce que j’ai et je ne cherche pas plus loin… Demain, si je m’ennuie et que j’ai envie de faire autre chose, je franchirai peut-être le pas… Et puis, on n’a pas à rougir de ce qu’on fait en Belgique. On peut être fiers des programmes que l’on propose. Je ne pense pas non plus que je serai très heureuse dans ce genre de ville. Ici, j’ai un mari, deux filles et bientôt un troisième enfant. Ma vie est ici…

 

Vous avez fait le conservatoire. Vous ne regrettez pas parfois d’avoir changé de voie ?

Je n’ai que 31 ans ! (rires) Tout est encore possible. Bien sûr, je suis à RTL depuis 10 ans. Je n’ai aucun regret. Je suis très fataliste, en bien ou en mal, s’il vous arrive quelque chose, c’est que ça doit arriver. Je suis épanouie à la télé. J’adore ce que je fais, c’est pour ça que je fais les choses avec cœur. Et concernant la comédie et le théâtre, quand je participe à la pièce du Télévie, je joue dans le plus grand succès national. 18.000 spectateurs qui viennent dans les plus beaux théâtres, c’est pas mal ! Et si dans cinq ans, je voulais faire des planches dans quelque chose de plus intimiste, pourquoi pas ! Vraiment je n’ai pas de remords, et je ne me dis pas que j’ai gâché une carrière de comédienne pour la télé.

 

Dans 10 ans, vos vous voyez comment ?

Comme je suis aujourd’hui. Pleine de vie et d’entrain. Heureuse avec mes enfants. Franchement, je n’ai pas besoin de grand-chose, et ça fait beaucoup rire mon entourage… La santé, la famille, les enfants, et mon mari… c’est tout ce dont j’ai besoin. Pour le reste, j’arrive à donner de la saveur à ce que j’ai. C’est comme ça que j’envisage les choses.

Vous êtes entrée à RTL par hasard. Vous vous imaginiez être toujours là aujourd’hui ?

Je n’ai jamais fait de plan de carrière. Quand vous faites le conservatoire, vous ne savez pas de quoi l’avenir sera fait. Vous allez beaucoup jouer ? Pas du tout ? Donner cours ? Ce sont des inconnues… Avec RTL, j’ai très vite trouvé une véritable stabilité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

Vous vous souvenez de votre première intervention en tant que speakerine, le 21 février 2007 ?

Oui, j’avais buté sur un mot. Je devais dire «Bon appétit» et j’ai dit «Bon appétu» ! (rires)

Comment voyez-vous votre évolution depuis ?

Je regarde rarement dans le rétroviseur. Je vais toujours de l’avant… Je suis plutôt contente de mon parcours. Aujourd’hui, je m’amuse beaucoup dans ce je fais, et j’ai l’occasion de faire plein de choses. Je m’occupe de coacher les speakerines, je suis chargée aussi des intégrations dans les séquences et les concours. J’essaie de développer le rôle de la speakerine et faire plus que de la simple présentation. À côté de ça, sur ces dix dernières années, j’ai pu aussi toucher à d’autres choses comme des émissions spéciales, le «Face à face»,… Finalement, ces dix ans sont passés super vite !

 

RTL est la dernière chaîne à encore croire aux speakerines. Vous n’avez pas le blues ?

Non. Je n’ai pas un tempérament comme ça. Si demain, on doit arrêter de présenter les programmes parce qu’on retire les speakerines à RTL, on fera autre chose. Je n’ai pas cette mentalité de m’accrocher à tout prix à quelque chose. Et puis je n’ai pas spécialement l’intention de faire speakerine toute ma vie. C’est aussi l’évolution des choses. RTL tient à cette proximité et le lien familial de la speakerine, et tant que les speakerines restent à l’antenne, c’est une bonne nouvelle. Ce lien avec le téléspectateur est fort, je le ressens beaucoup avec la pièce du Télévie, plus que d’habitude.

 

À l’image de Julie Taton et de Sandrine Corman, vous avez été contactée pour travailler en France ?

On a tous eu, à un moment donné, des contacts pour faire un casting, une maquette ou des tests pour une chaîne française… Travailler à Paris, n’est pas quelque chose qui m’attire. Je suis arrivée à la télévision un peu par hasard. J’étais étudiante au Conservatoire (de Mons) quand j’ai débuté à RTL, j’étudiais mes cours dans les coulisses de la pièce du Télévie, ou le samedi et le dimanche au maquillage. Je profite de ce que j’ai et je ne cherche pas plus loin… Demain, si je m’ennuie et que j’ai envie de faire autre chose, je franchirai peut-être le pas… Et puis, on n’a pas à rougir de ce qu’on fait en Belgique. On peut être fiers des programmes que l’on propose. Je ne pense pas non plus que je serai très heureuse dans ce genre de ville. Ici, j’ai un mari, deux filles et bientôt un troisième enfant. Ma vie est ici…

 

Vous avez fait le conservatoire. Vous ne regrettez pas parfois d’avoir changé de voie ?

Je n’ai que 31 ans ! (rires) Tout est encore possible. Bien sûr, je suis à RTL depuis 10 ans. Je n’ai aucun regret. Je suis très fataliste, en bien ou en mal, s’il vous arrive quelque chose, c’est que ça doit arriver. Je suis épanouie à la télé. J’adore ce que je fais, c’est pour ça que je fais les choses avec cœur. Et concernant la comédie et le théâtre, quand je participe à la pièce du Télévie, je joue dans le plus grand succès national. 18.000 spectateurs qui viennent dans les plus beaux théâtres, c’est pas mal ! Et si dans cinq ans, je voulais faire des planches dans quelque chose de plus intimiste, pourquoi pas ! Vraiment je n’ai pas de remords, et je ne me dis pas que j’ai gâché une carrière de comédienne pour la télé.

 

Dans 10 ans, vos vous voyez comment ?

Comme je suis aujourd’hui. Pleine de vie et d’entrain. Heureuse avec mes enfants. Franchement, je n’ai pas besoin de grand-chose, et ça fait beaucoup rire mon entourage… La santé, la famille, les enfants, et mon mari… c’est tout ce dont j’ai besoin. Pour le reste, j’arrive à donner de la saveur à ce que j’ai. C’est comme ça que j’envisage les choses.

Vous êtes entrée à RTL par hasard. Vous vous imaginiez être toujours là aujourd’hui ?

Je n’ai jamais fait de plan de carrière. Quand vous faites le conservatoire, vous ne savez pas de quoi l’avenir sera fait. Vous allez beaucoup jouer ? Pas du tout ? Donner cours ? Ce sont des inconnues… Avec RTL, j’ai très vite trouvé une véritable stabilité.

Entretien : Pierre Bertinchamps

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