Découvrez «Un mot peut en cacher un autre», le jeu qui remplace «Motus» sur France 2

À partir de ce samedi 14 février, du lundi au samedi à 10h55, Damien Thévenot nous invite à jouer avec les mots dans un tout nouveau jeu.

Le principe

Deux équipes de deux joueurs s’affrontent avec des mots. Lors de la première manche, les deux couples de candidats jouent l’un après l’autre, en choisissant une syllabe parmi quatre proposées.

Ensuite, ils doivent découvrir des mots contenant cette syllabe, grâce aux définitions que Damien Thévenot leur livre. Six mots sont à trouver pour marquer le maximum de points…
Pendant la deuxième manche, les deux duos se disputent la finale en dix mots à découvrir. La première équipe qui buzze propose un mot. Si c’est le bon, elle remporte jusqu’à 10 points sinon la main passe aux adversaires. Ceux qui marquent le plus de points vont en finale.
Pour la finale, un des deux joueurs de l’équipe est isolé en coulisses tandis que l’autre commence à jouer. Dès qu’il échoue, son co-équipier prend le relais. Plus ils trouveront de mots, plus ils gagneront d’argent…

Qui est Damien Thévenot ?

Après avoir fait ses classes auprès de William Leymergie, Michel Drucker et Laurent Ruquier et d’autres encore, Damien Thévenot prend les commandes en solo de ce nouveau jeu. Entre temps, ce multidiplômé – Science-Po, CUEJ – a plusieurs fois participé à «Fort Boyard», chanté en duo avec Sheila pour le «Sidaction» et, depuis 1999, il participe régulièrement au «Téléthon». Enfin, il anime toujours trois chroniques dans «Télématin» et remplace Sophie Davant pendant ses vacances dans «C’est au programme».

Et que devient «Motus» ?

L’inusable jeu de Thierry Beccaro (présent à l’antenne depuis 1990) n’a pas dit son dernier mot : il reviendra à l’antenne dès le lundi 23 février à 10h50, comme d’habitude. «Un mot peut en cacher un autre» le remplace simplement pendant la semaine des vacances de carnaval : il s’agit d’une rampe de lancement pour cette nouvelle émission. Par la suite, celle-ci sera uniquement diffusée le samedi matin.

Julien Vandevenne