Découvrez pourquoi le Bourlingueur a toujours un miroir en poche

Découvrez pourquoi le Bourlingueur a toujours un miroir en poche
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Après avoir côtoyé les chevaux dans la cordillère des Andes en début de saison, le Bourlingueur part cette semaine (samedi 22 juillet à 20.25 sur La Une) à la rencontre des lamas des hauts plateaux sud-américains.

L’occasion de nous apprendre à se prémunir contre les dangers du soleil et la raréfaction de l’eau. Philippe Lambillon en profite pour donner un conseil aux aventuriers en herbe qui craindraient de se perdre dans ces immenses territoires : avoir toujours un miroir sur soi !

«C’est l’un des premiers conseils que j’ai donné dans les Carnets», se souvient-il. «Dans le désert également, les Touaregs ont toujours un morceau de métal brillant ou un miroir. Dès qu’ils manquent d’eau, ils montent sur une dune et effectuent un 360° avec celui-ci. C’est un bon système. Bien sûr, la cordillère des Andes est montagneuse, mais il y a des terrains plats sur 30 ou 40 km. Comme il n’y a presque pas de végétation, le signal est facilement repérable en cas de recherche aérienne. Des gens ont déjà été retrouvés de cette façon. D’ailleurs, tous les GI’s américains ont, dans leur kit de secours, un miroir.»

Stéphanie Breuer

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