La téléréalité de TF1 a l’art d’entretenir le mystère. Après avoir laissé entendre que la 8e saison serait à l’économie, sans animateur, la chaîne française change d’avis…
Les fans des mauvais jeux de mots et des petites blagues qui font – parfois – un four sont rassurés : Benjamin Castaldi restera à la présentation des quotidiennes de «Secret Story».
«Un lien fort avec les téléspectateurs»
Si pendant un temps, TF1 et Endemol laissaient entendre que l’on ferait l’économie d’un animateur, il n’en sera finalement rien. Et TF1 s’en explique : «Benjamin Castaldi incarne l’émission, notamment la quotidienne, véritable rendez-vous avec les téléspectateurs. Il a tissé avec eux un lien fort, notamment grâce à ses touches d’humour».
Pour le reste, on ne change pas une mécanique qui gagne, même si elle met quelques jours voire quelques semaines pour atteindre sa vitesse de croisière…
Plus d’infos sur la Maison
Concernant la fameuse Maison où seront enfermés les candidats, elle sera bien perchée sur le toit des anciens studios AB Productions, là où les séries qui ont marqué une génération d’ados («Salut les Musclés», «Le Miel et les abeilles»…) étaient produites à bas coût.
Hissée à plus de 20 mètres de hauteur, elle offrira toute la confidentialité nécessaire aux habitants. Et particularité, la maison ne sera pas de plain-pied, mais comportera un étage.
Un petit air de campagne
Elle arbore au final 400 m² de superficie et des airs de maison de vacances, grâce à 1.000 m² de jardin, «avec de vrais arbres !». Les candidats auront donc l’impression d’être à la campagne. Le petit «plus» de l’édition 2014 : un jacuzzi, au cas où les secrets ne serviraient pas à donner assez de pep’s au programme pour attirer le maximum de téléspectateurs…
Et les candidats ?
Coté secrets, comme chaque année, toutes les rumeurs circulent, mais c’est de la poudre aux yeux, pour mieux noyer le poisson, et laisser à la production les coudées franches pour préparer un prime toujours plus incroyables que les années précédentes. Quand la télé se met en vacances…
Pierre Bertinchamps
