Découvrez le nouvel habillage du JT de la RTBF [Photos]

Découvrez le nouvel habillage du JT de la RTBF [Photos]
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Ce lundi dès 13 heures, les journaux télévisés de la RTBF feront peau neuve. Des évolutions que nous explique Bruno Clément, rédacteur en chef.

Télépro l’avait dévoilé en exclusivité : la RTBF procède à un petit rafraîchissement de printemps de l’habillage de ses JT. À quelques heures de ces changements, la chaîne publique a dévoilé à la presse ce à quoi vont ressembler ses nouveaux JT, dès ce 21 mars à 13 heures.

Réalité augmentée

Le décor actuel et ce nouvel habillage devraient permettre à la RTBF d’être «à la page» jusqu’à l’inauguration des nouvelles installations sur la Place des Médias, en 2021.

Pierre Bertinchamps
 

Concernant les sous-titres, les fautes d’orthographe sont (trop) courantes. «Les erreurs ou les fautes, c’est évidemment une horreur. Il y en a eu et on le déplore. Malheureusement, il y en aura encore», confesse Bruno Clément. En réalité, un correcteur relit les sous-titres en permanence. «Mais notamment pour le « 13h », on travaille dans des délais extrêmement brefs et les reportages arrivent parfois à la toute dernière minute et les conduites changent… Il faut que l’on soit vigilant pour que ça se produise le moins souvent possible, même pour une faute de frappe.»

Le décor actuel et ce nouvel habillage devraient permettre à la RTBF d’être «à la page» jusqu’à l’inauguration des nouvelles installations sur la Place des Médias, en 2021.

Pierre Bertinchamps
 

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces changements ne marquent pas le point de départ de l’ère Bruno Clément à la tête de la rédaction du JT. «Il faut rendre à César ce qui appartient à César, je ne suis pas l’initiateur de ce chantier, je l’ai pris en cours. Un travail comme celui-ci se fait sur plusieurs mois», confie le journaliste. «Une des choses que je voulais absolument voir apparaître, c’est le sous-titrage permanent dans les séquences.»  

Concernant les sous-titres, les fautes d’orthographe sont (trop) courantes. «Les erreurs ou les fautes, c’est évidemment une horreur. Il y en a eu et on le déplore. Malheureusement, il y en aura encore», confesse Bruno Clément. En réalité, un correcteur relit les sous-titres en permanence. «Mais notamment pour le « 13h », on travaille dans des délais extrêmement brefs et les reportages arrivent parfois à la toute dernière minute et les conduites changent… Il faut que l’on soit vigilant pour que ça se produise le moins souvent possible, même pour une faute de frappe.»

Le décor actuel et ce nouvel habillage devraient permettre à la RTBF d’être «à la page» jusqu’à l’inauguration des nouvelles installations sur la Place des Médias, en 2021.

Pierre Bertinchamps
 

Autre changement, l’apparition d’un sous-titre permanent. La RTBF était l’un des derniers médias à ne pas en faire usage. «L’idée étant que lorsqu’un téléspectateur arrive sur un journal de la RTBF, en cours, il sache de quoi parle le reportage, ce qu’il va suivre, et comprendre tout de suite l’enjeu de la séquence.» Les nouveaux habillages sont réalisés, en interne, par Axel Bonnert et Allan Wulus, tous deux réalisateurs du JT.

«Il n’y aura pas de changement sur le fond», précise Bruno Clément. «Au jour le jour, nous travaillons les axes du JT, en les approfondissant toujours un peu plus. Et ce nouvel habillage va nous y aider dans la lisibilité et la compréhension du JT. Nous continuerons à faire à la fois de la « news » pure, du décodage et du magazine façon « grand format », histoire d’amener des grands reportages comme celui de Nora Khaleefeh, jeudi dernier, en Grèce, sur la situation des réfugiés.»

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces changements ne marquent pas le point de départ de l’ère Bruno Clément à la tête de la rédaction du JT. «Il faut rendre à César ce qui appartient à César, je ne suis pas l’initiateur de ce chantier, je l’ai pris en cours. Un travail comme celui-ci se fait sur plusieurs mois», confie le journaliste. «Une des choses que je voulais absolument voir apparaître, c’est le sous-titrage permanent dans les séquences.»  

Concernant les sous-titres, les fautes d’orthographe sont (trop) courantes. «Les erreurs ou les fautes, c’est évidemment une horreur. Il y en a eu et on le déplore. Malheureusement, il y en aura encore», confesse Bruno Clément. En réalité, un correcteur relit les sous-titres en permanence. «Mais notamment pour le « 13h », on travaille dans des délais extrêmement brefs et les reportages arrivent parfois à la toute dernière minute et les conduites changent… Il faut que l’on soit vigilant pour que ça se produise le moins souvent possible, même pour une faute de frappe.»

Le décor actuel et ce nouvel habillage devraient permettre à la RTBF d’être «à la page» jusqu’à l’inauguration des nouvelles installations sur la Place des Médias, en 2021.

Pierre Bertinchamps
 

C’est la révolution de l’habillage puisque les titres du JT seront, par exemple, lancés avec de la réalité augmentée. «Nous espérons pouvoir l’utiliser de façon plus aboutie dans les prochains mois.» Elle pourra être utile dans la séquence des «Clefs de l’actualité». Comme sur RTL, les titres du JT passeront avant le générique, avec une voix-off pour annoncer le présentateur.

Pas de nouvelle séquence

Autre changement, l’apparition d’un sous-titre permanent. La RTBF était l’un des derniers médias à ne pas en faire usage. «L’idée étant que lorsqu’un téléspectateur arrive sur un journal de la RTBF, en cours, il sache de quoi parle le reportage, ce qu’il va suivre, et comprendre tout de suite l’enjeu de la séquence.» Les nouveaux habillages sont réalisés, en interne, par Axel Bonnert et Allan Wulus, tous deux réalisateurs du JT.

«Il n’y aura pas de changement sur le fond», précise Bruno Clément. «Au jour le jour, nous travaillons les axes du JT, en les approfondissant toujours un peu plus. Et ce nouvel habillage va nous y aider dans la lisibilité et la compréhension du JT. Nous continuerons à faire à la fois de la « news » pure, du décodage et du magazine façon « grand format », histoire d’amener des grands reportages comme celui de Nora Khaleefeh, jeudi dernier, en Grèce, sur la situation des réfugiés.»

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces changements ne marquent pas le point de départ de l’ère Bruno Clément à la tête de la rédaction du JT. «Il faut rendre à César ce qui appartient à César, je ne suis pas l’initiateur de ce chantier, je l’ai pris en cours. Un travail comme celui-ci se fait sur plusieurs mois», confie le journaliste. «Une des choses que je voulais absolument voir apparaître, c’est le sous-titrage permanent dans les séquences.»  

Concernant les sous-titres, les fautes d’orthographe sont (trop) courantes. «Les erreurs ou les fautes, c’est évidemment une horreur. Il y en a eu et on le déplore. Malheureusement, il y en aura encore», confesse Bruno Clément. En réalité, un correcteur relit les sous-titres en permanence. «Mais notamment pour le « 13h », on travaille dans des délais extrêmement brefs et les reportages arrivent parfois à la toute dernière minute et les conduites changent… Il faut que l’on soit vigilant pour que ça se produise le moins souvent possible, même pour une faute de frappe.»

Le décor actuel et ce nouvel habillage devraient permettre à la RTBF d’être «à la page» jusqu’à l’inauguration des nouvelles installations sur la Place des Médias, en 2021.

Pierre Bertinchamps
 

Première grosse nouveauté, les JT vont s’intégrer dans l’environnement de leur chaîne respective. Sur La Une, les logos du «13h» et du «19 trente» prennent la forme d’un carré rouge, et l’habillage joue avec ce rouge.

Sur La Deux, le «15’» et le «12’» – notez aussi le rajeunissement des noms avec la suppression du mot «minutes» – seront dans un rond rose, avec des transitions d’images roses également. «Ce nouvel habillage a été initié pour que les JT collent à chacune des chaînes», explique Bruno Clément, rédacteur en chef. «De façon plus générale, nous avons une volonté d’amener de la réalité augmentée qui permet d’avoir de meilleures images, plus présentes dans les lancements de sujets ou les chapeaux.»

C’est la révolution de l’habillage puisque les titres du JT seront, par exemple, lancés avec de la réalité augmentée. «Nous espérons pouvoir l’utiliser de façon plus aboutie dans les prochains mois.» Elle pourra être utile dans la séquence des «Clefs de l’actualité». Comme sur RTL, les titres du JT passeront avant le générique, avec une voix-off pour annoncer le présentateur.

Pas de nouvelle séquence

Autre changement, l’apparition d’un sous-titre permanent. La RTBF était l’un des derniers médias à ne pas en faire usage. «L’idée étant que lorsqu’un téléspectateur arrive sur un journal de la RTBF, en cours, il sache de quoi parle le reportage, ce qu’il va suivre, et comprendre tout de suite l’enjeu de la séquence.» Les nouveaux habillages sont réalisés, en interne, par Axel Bonnert et Allan Wulus, tous deux réalisateurs du JT.

«Il n’y aura pas de changement sur le fond», précise Bruno Clément. «Au jour le jour, nous travaillons les axes du JT, en les approfondissant toujours un peu plus. Et ce nouvel habillage va nous y aider dans la lisibilité et la compréhension du JT. Nous continuerons à faire à la fois de la « news » pure, du décodage et du magazine façon « grand format », histoire d’amener des grands reportages comme celui de Nora Khaleefeh, jeudi dernier, en Grèce, sur la situation des réfugiés.»

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces changements ne marquent pas le point de départ de l’ère Bruno Clément à la tête de la rédaction du JT. «Il faut rendre à César ce qui appartient à César, je ne suis pas l’initiateur de ce chantier, je l’ai pris en cours. Un travail comme celui-ci se fait sur plusieurs mois», confie le journaliste. «Une des choses que je voulais absolument voir apparaître, c’est le sous-titrage permanent dans les séquences.»  

Concernant les sous-titres, les fautes d’orthographe sont (trop) courantes. «Les erreurs ou les fautes, c’est évidemment une horreur. Il y en a eu et on le déplore. Malheureusement, il y en aura encore», confesse Bruno Clément. En réalité, un correcteur relit les sous-titres en permanence. «Mais notamment pour le « 13h », on travaille dans des délais extrêmement brefs et les reportages arrivent parfois à la toute dernière minute et les conduites changent… Il faut que l’on soit vigilant pour que ça se produise le moins souvent possible, même pour une faute de frappe.»

Le décor actuel et ce nouvel habillage devraient permettre à la RTBF d’être «à la page» jusqu’à l’inauguration des nouvelles installations sur la Place des Médias, en 2021.

Pierre Bertinchamps
 

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