L’acteur comique n’avait pas vraiment bien négocié son premier cachet pour la saga des «Gendarmes».
C’est un incontournable de l’été – et le public en redemande à chaque fois ! – , la saga des «Gendarmes» passe et repasse sur les chaines de télé, tant en Belgique (ce vendredi soir sur la RTBF) qu’en France (M6). C’est à cette occasion que Téléstar dévoile les cachets de l’une des stars des films : Louis de Funès.
On apprend que pour le premier épisode de la série, de Funès n’avait pas eu le nez fin et avait mal négocié son cachet. Pour sa prestation dans le rôle de maréchal des logis Cruchot, dans «Le Gendarme de Saint-Tropez», en 1964, le comédien n’a reçu que 90.000 francs français. Le film sera vu par plus de 7,8 millions de spectateurs en salle. On ne l’y reprendra pas deux fois, pour «Le Gendarme en balade» (4e épisode), il demandera 2,5 millions de francs (français).
Pour la petite histoire, si «Le Gendarme et les gendarmettes» est le dernier opus, Louis de Funès décèdera quelques mois après la tournage en janvier 1983, d’autres parties étaient en projet avec des titres et des thèmes qui rappellent un peu les albums de Tintin : «Le Gendarme au Pays du Soleil Levant» et «Le Gendarme dans l’espace»…
Et pour la petite histoire, le rôle de l’adjudant Gerber n’était pas prévu pour Michel Galabru, mais plutôt Pierre Mondy (qui s’était distingué avec une partie du casting des «Gendarmes» dans «La 7e compagnie») qui était sur les planches au moment du tournage.
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