«Coûte que coûte» mène l’enquête sur les alternatives au lait classique
Lait de soja, coco, avoine, châtaigne, riz, noisette ou quinoa, à boire ou à cuisiner… Ce mercredi à 19h50, le magazine «Coûte que coûte» s’intéresse à l’explosion du marché des boissons végétales.
Tout le monde continue à les appeler «laits» et pourtant, ils n’ont rien à voir avec le produit de la vache ou de la chèvre. Depuis six ans, on ne peut d’ailleurs plus utiliser le terme «lait» : il est réservé aux produits animaliers, suite à une demande des groupements de producteurs de lait. Le 14 juin 2017, la Cour européenne de Justice a rendu un arrêt n’autorisant les dénominations crème, beurre, fromage, babeurre, yaourt, chantilly et lactosérum qu’aux seuls produits d’origine animale, à quelques exceptions près (lait de coco, lait d’amande…).
On parlera plutôt de «jus», terme techniquement plus exact. Généralement consommées en cas d’allergie ou d’intolérance (au lactose, par exemple), les alternatives végétales au lait ont un aspect et une saveur souvent proches du véritable lait. Face à une défiance croissante des consommateurs à l’égard du lait de vache et de ses produits dérivés, ces nouvelles boissons ont peu à peu pris place dans les rayons alimentaires. Elles s’invitent dans nos petits-déjeuners et dans toutes sortes de recettes salées ou sucrées.
Cet article est paru dans le Télépro du 13/7/2023
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