Christophe Dechavanne : «J’ai eu la peur de ma vie» (interview)

Christophe Dechavanne : «J'ai eu la peur de ma vie» (interview)
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Ce jeudi 15 juin à 20 heures, AB3 propose un numéro inédit de «À l’état sauvage». L’animateur de TF1 accompagne l’aventurier Mike Horn dans… «le monde perdu» !

Dans le contrôle total et perpétuel de son image, Christophe Dechavanne a toujours maîtrisé à 100% l’univers dans lequel il évolue, tant sur les plateaux de télé que dans sa vie privée… Pour la première fois, il va devoir lâcher prise.

Hyperactif, maniaque de la propreté et quelque peu hypocondriaque, Christophe Dechavanne veut se prouver qu’il peut se dépasser. À maintenant 58 ans et pour une fois dans sa vie, il veut profiter de cette expérience pour être fier de lui…

Quels sont les 2 moments les plus forts de l’aventure à vos yeux ?

Le 1er jour, dans l’hélico, lorsque celui-ci montait et m’emmenait en altitude, pour finalement me déposer sur un caillou ! Et la descente en rappel qui a suivi cela restera gravé dans ma mémoire ! Une très très grosse montée d’adrénaline ! Mais il est difficile de choisir les moments les plus forts ! C’était une aventure de tous les instants !

Pouvez-vous nous parler de Mike Horn ?

Ce type est fou et charmant. Nous nous sommes bien entendus. Des millions d’aventuriers dans le monde auraient rêvé être à ma place, dans les pas de Mike Horn. Le souvenir est très fort. J’attends son appel, on a prévu qu’il vienne chez moi à la campagne. On dormira dans les bois pour voir les cervidés. Il fera le hamac et moi la côte de boeuf !

Découvrez un extrait de l’émission :

Comment avez-vous vécu l’aventure ?

Fort bien, je me suis un peu étonné. J’ai suivi le rythme de Mike, plus lentement certes, mais je n’ai rien lâché.

Qu’est-ce qui a été le plus difficile à gérer ? La faim, la soif, l’effort physique ?

L’effort. Je déteste marcher… Alors vous imaginez marcher dans l’eau…sans voir où on met les pieds pendant des heures ! Un cauchemar !

Avez-vous pris goût à la survie ?

Mais je survis depuis 30 ans dans ce métier.

Quels sont les 2 moments les plus forts de l’aventure à vos yeux ?

Le 1er jour, dans l’hélico, lorsque celui-ci montait et m’emmenait en altitude, pour finalement me déposer sur un caillou ! Et la descente en rappel qui a suivi cela restera gravé dans ma mémoire ! Une très très grosse montée d’adrénaline ! Mais il est difficile de choisir les moments les plus forts ! C’était une aventure de tous les instants !

Pouvez-vous nous parler de Mike Horn ?

Ce type est fou et charmant. Nous nous sommes bien entendus. Des millions d’aventuriers dans le monde auraient rêvé être à ma place, dans les pas de Mike Horn. Le souvenir est très fort. J’attends son appel, on a prévu qu’il vienne chez moi à la campagne. On dormira dans les bois pour voir les cervidés. Il fera le hamac et moi la côte de boeuf !

Découvrez un extrait de l’émission :

Pensez-vous que ce périple serait aussi intense physiquement ?

Sincèrement, Non. Ce fût rude, dès mon arrivée, l’hélicoptère m’a déposé sur un piton rocheux avec un à pic de 200m, il a fallu en partir… Façon Mike Horn… C’était une chose inimaginable pour moi. La peur de ma vie.

Vous appréciez pouvoir tout contrôler.

Dans cette aventure vous avez été obligé de lâcher prise. Il est vrai que j’aime tout contrôler. Dans ma vie de tous les jours, tout est cadré. Je présente des émissions, j’en produis d’autres… je me suis lancé l’année dernière dans le spectacle vivant avec “Âge tendre, la tournée des idoles”. Je pars en tournée avec les artistes. Je suis très occupé. Mon manque de temps laisse peu de place à l’improvisation. Je suis obligé de tout prévoir à l’avance. Sur place, j’ai été obligé de lâcher prise car Mike ne nous explique pas le planning…. (Rire) On avance ! Quoi qu’il arrive… On prend les obstacles les uns après les autres… Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait sur le chemin. Et finalement, c’était peut-être mieux. Chaque heure, chaque minute, chaque seconde nous ont réservé leur lot de surprises. Je pense notamment aux pierres et aux cailloux qui étaient tous particulièrement glissants…Dans ces conditions, on vit chaque instant plus intensément.

Comment avez-vous vécu l’aventure ?

Fort bien, je me suis un peu étonné. J’ai suivi le rythme de Mike, plus lentement certes, mais je n’ai rien lâché.

Qu’est-ce qui a été le plus difficile à gérer ? La faim, la soif, l’effort physique ?

L’effort. Je déteste marcher… Alors vous imaginez marcher dans l’eau…sans voir où on met les pieds pendant des heures ! Un cauchemar !

Avez-vous pris goût à la survie ?

Mais je survis depuis 30 ans dans ce métier.

Quels sont les 2 moments les plus forts de l’aventure à vos yeux ?

Le 1er jour, dans l’hélico, lorsque celui-ci montait et m’emmenait en altitude, pour finalement me déposer sur un caillou ! Et la descente en rappel qui a suivi cela restera gravé dans ma mémoire ! Une très très grosse montée d’adrénaline ! Mais il est difficile de choisir les moments les plus forts ! C’était une aventure de tous les instants !

Pouvez-vous nous parler de Mike Horn ?

Ce type est fou et charmant. Nous nous sommes bien entendus. Des millions d’aventuriers dans le monde auraient rêvé être à ma place, dans les pas de Mike Horn. Le souvenir est très fort. J’attends son appel, on a prévu qu’il vienne chez moi à la campagne. On dormira dans les bois pour voir les cervidés. Il fera le hamac et moi la côte de boeuf !

Découvrez un extrait de l’émission :

Pour cette quatrième expédition, Mike Horn a emmené Christophe Dechavanne en Amérique du Sud dans la région la plus sauvage du Venezuela, une région qu’on appelle “Le monde perdu”. Ce territoire est un des plus hostiles et des plus variés jamais connu dans “A l’État Sauvage” : montagneux, rocailleux, humide, avec la particularité d’offrir une multitude de tepuys (d’immenses hauts plateaux aux contours abrupts dont l’un d’entre eux abrite la plus haute cascade du monde avec 1 km de chute d’eau : Le Salto Angel).

Christophe Dechavanne et Mike Horn devront, descendre en rappel une falaise de 200m, construire un radeau, parcourir 45 km à pieds au coeur d’une nature impitoyable, traverser une végétation hostile, franchir des torrents déchaînés et affronter un climat extrêmement éprouvant. Tout au long de leur route, Christophe va devoir puiser au fond de lui-même pour résister à la soif, la peur, la fatigue et l’absence totale de confort.

Pourquoi avoir accepté de participer à cette aventure ?

Pour le Challenge. Je suis un homme qui aime les défis. Et je suis compétiteur. Ça m’intéressait de connaitre mes limites.

Pensez-vous que ce périple serait aussi intense physiquement ?

Sincèrement, Non. Ce fût rude, dès mon arrivée, l’hélicoptère m’a déposé sur un piton rocheux avec un à pic de 200m, il a fallu en partir… Façon Mike Horn… C’était une chose inimaginable pour moi. La peur de ma vie.

Vous appréciez pouvoir tout contrôler.

Dans cette aventure vous avez été obligé de lâcher prise. Il est vrai que j’aime tout contrôler. Dans ma vie de tous les jours, tout est cadré. Je présente des émissions, j’en produis d’autres… je me suis lancé l’année dernière dans le spectacle vivant avec “Âge tendre, la tournée des idoles”. Je pars en tournée avec les artistes. Je suis très occupé. Mon manque de temps laisse peu de place à l’improvisation. Je suis obligé de tout prévoir à l’avance. Sur place, j’ai été obligé de lâcher prise car Mike ne nous explique pas le planning…. (Rire) On avance ! Quoi qu’il arrive… On prend les obstacles les uns après les autres… Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait sur le chemin. Et finalement, c’était peut-être mieux. Chaque heure, chaque minute, chaque seconde nous ont réservé leur lot de surprises. Je pense notamment aux pierres et aux cailloux qui étaient tous particulièrement glissants…Dans ces conditions, on vit chaque instant plus intensément.

Comment avez-vous vécu l’aventure ?

Fort bien, je me suis un peu étonné. J’ai suivi le rythme de Mike, plus lentement certes, mais je n’ai rien lâché.

Qu’est-ce qui a été le plus difficile à gérer ? La faim, la soif, l’effort physique ?

L’effort. Je déteste marcher… Alors vous imaginez marcher dans l’eau…sans voir où on met les pieds pendant des heures ! Un cauchemar !

Avez-vous pris goût à la survie ?

Mais je survis depuis 30 ans dans ce métier.

Quels sont les 2 moments les plus forts de l’aventure à vos yeux ?

Le 1er jour, dans l’hélico, lorsque celui-ci montait et m’emmenait en altitude, pour finalement me déposer sur un caillou ! Et la descente en rappel qui a suivi cela restera gravé dans ma mémoire ! Une très très grosse montée d’adrénaline ! Mais il est difficile de choisir les moments les plus forts ! C’était une aventure de tous les instants !

Pouvez-vous nous parler de Mike Horn ?

Ce type est fou et charmant. Nous nous sommes bien entendus. Des millions d’aventuriers dans le monde auraient rêvé être à ma place, dans les pas de Mike Horn. Le souvenir est très fort. J’attends son appel, on a prévu qu’il vienne chez moi à la campagne. On dormira dans les bois pour voir les cervidés. Il fera le hamac et moi la côte de boeuf !

Découvrez un extrait de l’émission :

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici