Cécile Djunga : «Je vais être la meilleure copine des talents !»

Cécile Djunga : «Je vais être la meilleure copine des talents !»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

«The Voice Belgique» passe en mode Lives, et surtout en mode très girly. Pour remplacer Walid, la RTBF a choisi Cécile Djunga pour accompagner Maureen Louys.

C’est l’animatrice de la RTBF qui monte en ce moment. En une année, Cécile Djunga a gravi les échelons, d’humoriste à la coprésentation d’un divertissement de prime-time (et «The Voice Belgique», ce n’est pas rien !), en passant par la météo. «Il s’est passé tellement de choses en un an !», se réjouit Cécile. «Des choses vraiment chouettes. J’ai peur de ce qui va se passer derrière. Donc, il faut en profiter.»

C’est vous qui avez demandé à intégrer «The Voice Belgique» ?

Il y a eu un casting. Un très long casting… et ça doit être le plus long que j’ai pu faire. (Rires) Mais c’est une candidature spontanée. Quand j’ai entendu que Walid quittait «The Voice», j’ai sauté sur l’occasion. C’est quelque chose que j’ai toujours voulu faire, et la fonction dans l’émission me correspond. J’ai juste envoyé un mail à la productrice pour dire que j’étais motivée. Si je n’avais pas fait ce mail, je pense qu’ils n’auraient pas pensé à moi pour le casting.

Comment envisagez-vous cette co-animation en coulisses ?

C’est nouveau pour moi, et c’est une grosse émission en direct. Je n’ai jamais fait ça ! Je vais être la meilleure copine des talents, qui est là pour les soutenir. Je suis artiste aussi, et je sais à quel point c’est important d’avoir du réconfort avant de monter sur scène. Mon rôle sera de les mettre en avant et recueillir leurs émotions, en sortie de scène. À côté de cela, je serai aussi le relais de ce qui se passe sur les réseaux sociaux.

Comment vous sentez à quelques heures du prime ?

Je suis hyper contente et excitée, mais avec de l’adrénaline. Ce qui est compliqué, c’est apprendre par cœur, les prénoms des 32 talents en lice dans les Lives. (rires)

Entretien : Pierre Bertinchamps

Ça vous a mis une carapace, cette période ?

Oui, et je l’avais déjà avant… Cette histoire m’a un peu plus blindée. Quelque part, tout cela a déclenché un amour des gens aussi. J’ai reçu tellement de marques d’affection des téléspectateurs qui ont été outrés par ces propos que c’est l’effet inverse qui s’est produit. J’en suis sortie plus forte. Et je suis reconnaissante que la RTBF n’ait pas mis un frein à ma carrière à cause de ça.  

La télé aide-t-elle à remplir les salles de votre spectacle ?

Oui et non. La télé aide, c’est indéniable. J’ai eu droit à une belle visibilité. D’un autre côté, je travaille avec un producteur, et les choses, avec lui, se sont développées avant les passages à la météo. La presse a peut-être eu un peu plus d’attention sur moi, mais les acheteurs de spectacles, ils ne regardent pas ça. Eux, ils veulent avant tout un bon spectacle pour leur salle. La télé aide, mais ne fait pas tout…

Comment vous sentez à quelques heures du prime ?

Je suis hyper contente et excitée, mais avec de l’adrénaline. Ce qui est compliqué, c’est apprendre par cœur, les prénoms des 32 talents en lice dans les Lives. (rires)

Entretien : Pierre Bertinchamps

C’est un tremplin professionnel ?

J’aime le divertissement, et ça va dans le sens de ma carrière. Je suis humoriste et comédienne. Mais je n’ai pas envie de m’écarter de la météo. C’est ma première école, et c’est là que j’ai démarré dans le métier. C’était un vrai challenge. Je suis bien au service météo, et tant que j’arriverai à tout combiner, ce sera l’idéal.

Vous allez faire une pause voicienne à la météo ?

Non, je serai déjà au planning, le mercredi. Ce sera hardcore ! En plus, en fin de semaine, je joue à Paris, au théâtre.

À votre arrivée à la météo, vous avez fait l’objet d’attaques racistes. Vous ne craignez pas un regain avec «The Voice» ?

J’ai l’impression que les gens se sont habitués au noir à la télé ! Je n’ai plus rien reçu depuis. Les racistes ont peut-être été étouffés par les autres. Si les personnes qui étaient virulentes à la base, ont pu modifier leur jugement, tant mieux. L’arrivée dans «The Voice» ne me fait pas peur à ce niveau-là. Le public d’un divertissement est – à mon sens – plus ouvert.

Ça vous a mis une carapace, cette période ?

Oui, et je l’avais déjà avant… Cette histoire m’a un peu plus blindée. Quelque part, tout cela a déclenché un amour des gens aussi. J’ai reçu tellement de marques d’affection des téléspectateurs qui ont été outrés par ces propos que c’est l’effet inverse qui s’est produit. J’en suis sortie plus forte. Et je suis reconnaissante que la RTBF n’ait pas mis un frein à ma carrière à cause de ça.  

La télé aide-t-elle à remplir les salles de votre spectacle ?

Oui et non. La télé aide, c’est indéniable. J’ai eu droit à une belle visibilité. D’un autre côté, je travaille avec un producteur, et les choses, avec lui, se sont développées avant les passages à la météo. La presse a peut-être eu un peu plus d’attention sur moi, mais les acheteurs de spectacles, ils ne regardent pas ça. Eux, ils veulent avant tout un bon spectacle pour leur salle. La télé aide, mais ne fait pas tout…

Comment vous sentez à quelques heures du prime ?

Je suis hyper contente et excitée, mais avec de l’adrénaline. Ce qui est compliqué, c’est apprendre par cœur, les prénoms des 32 talents en lice dans les Lives. (rires)

Entretien : Pierre Bertinchamps

Vous avez donc un favori…

Joker ! Mon ressenti est qu’ils sont très bons, et le public va avoir un mal fou à les départager. Ils sont balaises, les déceptions seront grandes. Quand je vois que certains coaches pleurent, je me demande comment je vais pouvoir gérer. Je suis aussi très émotive, alors que je suis censée être un roc pour les talents.

Si vous aviez été prise comme talent, dans l’équipe de quel coach auriez-vous voulu aller ?

Je pense que je serais allée chez Vitaa pour son côté soul que j’aime beaucoup. Et pour travailler la puissance vocale et la présence scénique… Son univers musical colle bien à ce que j’aime.

C’est un tremplin professionnel ?

J’aime le divertissement, et ça va dans le sens de ma carrière. Je suis humoriste et comédienne. Mais je n’ai pas envie de m’écarter de la météo. C’est ma première école, et c’est là que j’ai démarré dans le métier. C’était un vrai challenge. Je suis bien au service météo, et tant que j’arriverai à tout combiner, ce sera l’idéal.

Vous allez faire une pause voicienne à la météo ?

Non, je serai déjà au planning, le mercredi. Ce sera hardcore ! En plus, en fin de semaine, je joue à Paris, au théâtre.

À votre arrivée à la météo, vous avez fait l’objet d’attaques racistes. Vous ne craignez pas un regain avec «The Voice» ?

J’ai l’impression que les gens se sont habitués au noir à la télé ! Je n’ai plus rien reçu depuis. Les racistes ont peut-être été étouffés par les autres. Si les personnes qui étaient virulentes à la base, ont pu modifier leur jugement, tant mieux. L’arrivée dans «The Voice» ne me fait pas peur à ce niveau-là. Le public d’un divertissement est – à mon sens – plus ouvert.

Ça vous a mis une carapace, cette période ?

Oui, et je l’avais déjà avant… Cette histoire m’a un peu plus blindée. Quelque part, tout cela a déclenché un amour des gens aussi. J’ai reçu tellement de marques d’affection des téléspectateurs qui ont été outrés par ces propos que c’est l’effet inverse qui s’est produit. J’en suis sortie plus forte. Et je suis reconnaissante que la RTBF n’ait pas mis un frein à ma carrière à cause de ça.  

La télé aide-t-elle à remplir les salles de votre spectacle ?

Oui et non. La télé aide, c’est indéniable. J’ai eu droit à une belle visibilité. D’un autre côté, je travaille avec un producteur, et les choses, avec lui, se sont développées avant les passages à la météo. La presse a peut-être eu un peu plus d’attention sur moi, mais les acheteurs de spectacles, ils ne regardent pas ça. Eux, ils veulent avant tout un bon spectacle pour leur salle. La télé aide, mais ne fait pas tout…

Comment vous sentez à quelques heures du prime ?

Je suis hyper contente et excitée, mais avec de l’adrénaline. Ce qui est compliqué, c’est apprendre par cœur, les prénoms des 32 talents en lice dans les Lives. (rires)

Entretien : Pierre Bertinchamps

Maureen a beaucoup d’humour aussi…

Je la trouve fraîche et sympa. À mon avis, ça va être très décontracté. C’est un divertissement. Et tant mieux, parce que parfois, la compétition va être aussi un peu tendue. Un trait d’humour ne fera de mal à personne. Ce sera très sympa…

Vous regardiez l’émission ?

Oui, et je m’étais même inscrite au casting des talents ! Je la regarde sur la RTBF et sur TF1 (Cécile a vécu à Paris, NDLR). Ces derniers mois, comme je passais le casting, je n’avais pas suivi. Il était tellement long, que ça me stressait encore plus, rien que de regarder l’émission, donc j’avais fait l’impasse… J’ai rattrapé mon retard, depuis. C’est amusant de débarquer dans un programme que vous regardiez.

Vous avez donc un favori…

Joker ! Mon ressenti est qu’ils sont très bons, et le public va avoir un mal fou à les départager. Ils sont balaises, les déceptions seront grandes. Quand je vois que certains coaches pleurent, je me demande comment je vais pouvoir gérer. Je suis aussi très émotive, alors que je suis censée être un roc pour les talents.

Si vous aviez été prise comme talent, dans l’équipe de quel coach auriez-vous voulu aller ?

Je pense que je serais allée chez Vitaa pour son côté soul que j’aime beaucoup. Et pour travailler la puissance vocale et la présence scénique… Son univers musical colle bien à ce que j’aime.

C’est un tremplin professionnel ?

J’aime le divertissement, et ça va dans le sens de ma carrière. Je suis humoriste et comédienne. Mais je n’ai pas envie de m’écarter de la météo. C’est ma première école, et c’est là que j’ai démarré dans le métier. C’était un vrai challenge. Je suis bien au service météo, et tant que j’arriverai à tout combiner, ce sera l’idéal.

Vous allez faire une pause voicienne à la météo ?

Non, je serai déjà au planning, le mercredi. Ce sera hardcore ! En plus, en fin de semaine, je joue à Paris, au théâtre.

À votre arrivée à la météo, vous avez fait l’objet d’attaques racistes. Vous ne craignez pas un regain avec «The Voice» ?

J’ai l’impression que les gens se sont habitués au noir à la télé ! Je n’ai plus rien reçu depuis. Les racistes ont peut-être été étouffés par les autres. Si les personnes qui étaient virulentes à la base, ont pu modifier leur jugement, tant mieux. L’arrivée dans «The Voice» ne me fait pas peur à ce niveau-là. Le public d’un divertissement est – à mon sens – plus ouvert.

Ça vous a mis une carapace, cette période ?

Oui, et je l’avais déjà avant… Cette histoire m’a un peu plus blindée. Quelque part, tout cela a déclenché un amour des gens aussi. J’ai reçu tellement de marques d’affection des téléspectateurs qui ont été outrés par ces propos que c’est l’effet inverse qui s’est produit. J’en suis sortie plus forte. Et je suis reconnaissante que la RTBF n’ait pas mis un frein à ma carrière à cause de ça.  

La télé aide-t-elle à remplir les salles de votre spectacle ?

Oui et non. La télé aide, c’est indéniable. J’ai eu droit à une belle visibilité. D’un autre côté, je travaille avec un producteur, et les choses, avec lui, se sont développées avant les passages à la météo. La presse a peut-être eu un peu plus d’attention sur moi, mais les acheteurs de spectacles, ils ne regardent pas ça. Eux, ils veulent avant tout un bon spectacle pour leur salle. La télé aide, mais ne fait pas tout…

Comment vous sentez à quelques heures du prime ?

Je suis hyper contente et excitée, mais avec de l’adrénaline. Ce qui est compliqué, c’est apprendre par cœur, les prénoms des 32 talents en lice dans les Lives. (rires)

Entretien : Pierre Bertinchamps

C’est une première depuis 2011 de mettre deux filles à la présentation dans le format…

Pour le côté trop girly… on a beau être deux nanas, ça ne va pas non plus être le jeu des Barbies. Honnêtement, je pensais que je n’avais aucune chance, parce que c’était évident qu’ils allaient prendre un mec. Je n’y croyais absolument pas. Et c’est chouette que la production sorte du canevas et qu’elle y aille au feeling. Avec Maureen, on va être très naturelles. On apprend à se connaître, mais on n’a pas l’intention de mettre les hommes de côté.

Vous vous connaissiez déjà ?

Pas du tout ! Je suis fan de Maureen, et j’ai dû la voir trois fois dans ma vie avant. Me retrouver à ses côtés, c’est impressionnant. On ne travaille pas dans les mêmes bâtiments, et donc on ne s’est jamais vraiment croisées.

Maureen a beaucoup d’humour aussi…

Je la trouve fraîche et sympa. À mon avis, ça va être très décontracté. C’est un divertissement. Et tant mieux, parce que parfois, la compétition va être aussi un peu tendue. Un trait d’humour ne fera de mal à personne. Ce sera très sympa…

Vous regardiez l’émission ?

Oui, et je m’étais même inscrite au casting des talents ! Je la regarde sur la RTBF et sur TF1 (Cécile a vécu à Paris, NDLR). Ces derniers mois, comme je passais le casting, je n’avais pas suivi. Il était tellement long, que ça me stressait encore plus, rien que de regarder l’émission, donc j’avais fait l’impasse… J’ai rattrapé mon retard, depuis. C’est amusant de débarquer dans un programme que vous regardiez.

Vous avez donc un favori…

Joker ! Mon ressenti est qu’ils sont très bons, et le public va avoir un mal fou à les départager. Ils sont balaises, les déceptions seront grandes. Quand je vois que certains coaches pleurent, je me demande comment je vais pouvoir gérer. Je suis aussi très émotive, alors que je suis censée être un roc pour les talents.

Si vous aviez été prise comme talent, dans l’équipe de quel coach auriez-vous voulu aller ?

Je pense que je serais allée chez Vitaa pour son côté soul que j’aime beaucoup. Et pour travailler la puissance vocale et la présence scénique… Son univers musical colle bien à ce que j’aime.

C’est un tremplin professionnel ?

J’aime le divertissement, et ça va dans le sens de ma carrière. Je suis humoriste et comédienne. Mais je n’ai pas envie de m’écarter de la météo. C’est ma première école, et c’est là que j’ai démarré dans le métier. C’était un vrai challenge. Je suis bien au service météo, et tant que j’arriverai à tout combiner, ce sera l’idéal.

Vous allez faire une pause voicienne à la météo ?

Non, je serai déjà au planning, le mercredi. Ce sera hardcore ! En plus, en fin de semaine, je joue à Paris, au théâtre.

À votre arrivée à la météo, vous avez fait l’objet d’attaques racistes. Vous ne craignez pas un regain avec «The Voice» ?

J’ai l’impression que les gens se sont habitués au noir à la télé ! Je n’ai plus rien reçu depuis. Les racistes ont peut-être été étouffés par les autres. Si les personnes qui étaient virulentes à la base, ont pu modifier leur jugement, tant mieux. L’arrivée dans «The Voice» ne me fait pas peur à ce niveau-là. Le public d’un divertissement est – à mon sens – plus ouvert.

Ça vous a mis une carapace, cette période ?

Oui, et je l’avais déjà avant… Cette histoire m’a un peu plus blindée. Quelque part, tout cela a déclenché un amour des gens aussi. J’ai reçu tellement de marques d’affection des téléspectateurs qui ont été outrés par ces propos que c’est l’effet inverse qui s’est produit. J’en suis sortie plus forte. Et je suis reconnaissante que la RTBF n’ait pas mis un frein à ma carrière à cause de ça.  

La télé aide-t-elle à remplir les salles de votre spectacle ?

Oui et non. La télé aide, c’est indéniable. J’ai eu droit à une belle visibilité. D’un autre côté, je travaille avec un producteur, et les choses, avec lui, se sont développées avant les passages à la météo. La presse a peut-être eu un peu plus d’attention sur moi, mais les acheteurs de spectacles, ils ne regardent pas ça. Eux, ils veulent avant tout un bon spectacle pour leur salle. La télé aide, mais ne fait pas tout…

Comment vous sentez à quelques heures du prime ?

Je suis hyper contente et excitée, mais avec de l’adrénaline. Ce qui est compliqué, c’est apprendre par cœur, les prénoms des 32 talents en lice dans les Lives. (rires)

Entretien : Pierre Bertinchamps

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