Catherine Ceylac : «Il ne faut pas trop donner d’importance à ceux qui vous déçoivent !»

Catherine Ceylac : «Il ne faut pas trop donner d'importance à ceux qui vous déçoivent !»
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Cette semaine, on reçoit Catherine Ceylac dans notre podcast #TéléproLive. Après avoir dit au revoir aux téléspectateurs de France 2 ce samedi 1er décembre, l’animatrice de «Thé ou café» se confie pour Télépro.

Nous sommes revenus sur la décision prise par France 2 d’arrêter ce programme après 22 ans d’existence : «J’ai rencontré le n° 2 de France Télévisions à ma demande. Il m’a dit que l’émission s’arrêtait pour financer la série « Un si grand soleil ». Vous pensez bien qu’on a un budget colossal pour « Thé ou café » (rires)… J’imagine que ce sont des fausses raisons mais je ne connais pas la vraie raison.»

Catherine Ceylac nous a confié ses sentiments suite à cette décision : «C’est très décevant de ne pas écouter le public. En juin, une pétition a récolté plus de 10.000 signatures. Plus de 150 personnalités se sont également mobilisées pour que l’émission reste. (…) « Thé ou café » s’adressait à un public intergénérationnel. Je regrette que le programme s’arrête. Je ne suis pas complètement naïve, je savais bien qu’un jour l’émission allait s’arrêter, mais j’aurais aimé que la manière soit plus élégante.»

Et pour finir notre émission, nous avons fini comme dans l’émission « Thé ou café » par un dos à dos avec des questions courtes et réponses rapides.

Votre meilleur invité ? 

Sting parce qu’il était très professionnel et très bienveillant.

Avez-vous déjà rêvé de Delphine Ernotte (Présidente de France Télévisions) ?

Certainement pas, il ne faut pas trop donner d’importance à ceux qui vous déçoivent.

L’émission que vous rêvez d’animer ?

Café ou thé

Que regardez-vous en premier chez un homme ?

J’aime bien les fesses des hommes.

Quel nom donnez-vous au sexe masculin ?

Une bonne chose

Et enfin, Thé ou café ?

Les deux mais pour le moment je suis plutôt chocolat

Retrouvez l’interview en entier ci-dessous :

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