Boule et Bill rempilent !

Charlie Langendries, Mathilde Seigner, Franck Dubosc © Prod.

Ce lundi à 21.00, inédit sur La Une : «Boule et Bill 2». Courant 2017, le garçonnet avec l’un des chiens les plus célèbres de la BD belge et sa famille d’adoption étaient de retour sur grand écran pour de nouvelles aventures. À l’occasion de la sortie du film en salle, Télépro rencontrait Mathilde Seigner et Franck Dubosc, seul rescapé du trio familial du premier volet.

Extrait de l’interview de Franck Dubosc paru dans Télépro du 6/4/2017

Que pensez-vous de l’évolution de votre personnage, le papa de Boule ?

Dans le premier opus, le sujet était plus social. Ici, les aventures et les personnages sont burlesques. Ce second degré a des accents enfantins, un côté solaire et, au final, ressemble à la BD.

Votre travail a-t-il été plus complexe ?

Oui, car j’ai dû penser au jeune public tout en veillant à rester crédible et proche de la réalité. Il fallait que les parents se reconnaissent dans les problèmes de boulot du papa, avec les soucis que cela peut créer au sein d’une famille.

Avez-vous gardé en permanence à l’esprit qu’il s’agit d’un film pour enfants ?

Non. Les jeunes n’ont pas envie qu’on s’adresse à eux de manière puérile. En tant que père, je parle à mes deux fils comme à des adultes. Les enfants sont de plus en plus intelligents et, s’ils ne saisissent pas un détail, ils font l’effort de prendre ce qu’ils peuvent pour comprendre.

Votre avis sur le jeu du jeune Belge Charlie Langendries, alias Boule ?

Il est étonnant. Il a encore cette naïveté de ne pas jouer, mais d’être naturel. Et en plus de son talent, Charlie a eu le professionnalisme de ne pas montrer sa fatigue, malgré le tournage éreintant…

En apprenant que Marina Foïs – qui était la maman dans le premier opus – ne serait pas présente, vous avez hésité à dire oui…

Mes réticences se sont envolées quand on m’a dit que Mathilde Seigner reprenait le rôle. Je l’adore, on a joué ensemble dans les deux volets de «Camping». Elle ne remplace pas Marina, elle apporte sa propre sensibilité. C’est une actrice très franche, mais sans aucun caprice. C’est une gentille femme qui a les pieds sur terre.

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