Bilan 2022 : notre top 10 des meilleures séries Netflix
Clap de fin pour 2022… Encore une fois, Netflix nous a régalés avec des séries aussi poignantes qu’intrigantes. Voici notre top 10 des meilleures séries de la plateforme. Il y en a pour tous les goûts, vous allez être surpris !
Inventing Anna (11 février)
Pitch : Vivian Kent, journaliste sur le fil du rasoir, enquête sur l’affaire Anna Delvey, la légendaire héritière allemande d’Instagram qui ne s’est pas contentée de briser les cœurs de la scène sociale new-yorkaise, mais qui l’a aussi dépouillée ! Anna est-elle la plus grande reine de l’arnaque de Big Apple ou simplement la version moderne du rêve américain ?
Notre avis : Entre drames, enquête, amour, amitié, mensonges, arnaques, business et vie démesurée, la minisérie, inspirée d’une histoire vraie, est l’œuvre de Shonda Rhimes («Grey’s Anatomy»). Julia Garner prête ses traits à la fraudeuse. Un jeu d’acteur incroyable !
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Drôle (18 mars)
Pitch : La vie de comique fait rêver, mais c’est sans compter la concurrence, les ratages du début ou les tracas de la vie quotidienne… Le quotidien d’Aïssatou, Nezir, Bling et Apolline, quatre artistes venant d’horizons différents. Une chose les réunit : le stand-up !
Notre avis : Avec «Drôle», la créatrice de «Dix pour cent» revient avec une série bourrée d’humanité et de bons moments de rigolade. Le monde du stand-up français est dépeint avec authenticité et réalisme. Les personnages sont touchants et forment une parfaite alchimie à la «Friends».
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Dirty Lines (8 avril)
Pitch : 1987, Amsterdam, chez Teledutch, la première société de téléphone rose d’Europe. Étudiante en psychologie, Marly Salomon décroche un job. Du jour au lendemain, Frank et Ramon Stigter deviennent riches et Marly est embarquée dans aventure renversante.
Notre avis : Adaptation de «06-Cowboys» de Fred Saueressig, qui s’inspire de l’histoire vraie de George et Harald Skene, fondateur de Teleholding, cette série néerlandaise explore les prémisses du téléphone rose en Europe mais aussi la vie culturelle des années 1980-90 à Amsterdam où la house émerge ainsi qu’une nouvelle drogue…
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Heartstopper (22 avril)
Pitch : Charlie est un jeune homme au cœur tendre et ouvertement gay. Nick est la star du lycée, fan de rugby et hétéro. Leur amitié improbable se décline peu à peu en histoire d’amour. Ils apprennent l’un de l’autre et comptent sur la discrétion de leurs amis car officialiser la relation n’est pas une option…
Notre avis : Adaptation du roman graphique d’Alice Oseman, ce teen drama apporte son lot de bons sentiments. Si on s’attend à ce que les clichés fusent, il n’en est rien. Les personnages sont attachants, partagent un lien unique, impossible de ne pas sourire ! Contrairement à d’autres récits du genre, le coming out n’est pas au centre de l’histoire. Il s’agit plutôt de la quête d’identité de deux adolescents à la personnalité et aux destins bien différents.
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Clark (5 mai)
Pitch : Trafic de drogue, agressions, braquages de banque, tentative d’assassinat, Clark Olofsson ne craint rien, ni personne. Avec son ego surdimensionné, sa vie de criminel tourne autour des femmes et de l’argent… quand il n’est pas derrière les barreaux.
Notre avis : Netflix s’est toujours passionné pour les affaires criminelles. Pas de documentaire cette fois, mais un biopic basé sur des faits et mensonges de Clark Olofsson, qui a inspiré la théorie du syndrome de Stockholm. La série retrace sa vie, de son enfance torturée à «l’apothéose de sa carrière» de malfrat. Bill Skarsgård endosse le rôle avec charisme.
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Seul face à l’abeille (24 juin)
Pitch : Trevor est un père de famille pas comme les autres. Après l’obtention d’un nouveau boulot comme gardien de maison, il est assigné à une luxueuse résidence où sont gardés de nombreux objets inestimables. Une abeille fait son apparition, c’est le drame…
Notre avis : Après son interprétation de Mr Bean, Rowan Atkinson n’a pas perdu de son humour potache. Les gags s’enchaînent. On s’amuse des mésaventures de ce personnage loufoque. La série, en format court (une dizaine de minutes par épisodes), n’a qu’un seul but : divertir.
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Uncoupled (29 juillet)
Pitch : Depuis dix-sept ans, Michael vit un véritable conte de fées avec Colin. Le jour des 50 ans de son compagnon, ce dernier le quitte subitement. Il est confronté de multiples peurs dont celle de retourner sur le marché des célibataires gays dans la quarantaine à New York.
Notre avis : Avec cette comédie un brin romantique, Darren Star remanie sa série phare «Sex and the City». Le talentueux Neil Patrick Harris («How I Met Your Mother») interprète un agent immobilier impitoyable et dans la tourmente. Le récit est simple et efficace. Les huit épisodes se regardent en un éclair !
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Hartley cœur à vif (14 septembre)
Pitch : Amerie et Harper (Ayesha Madon et Asher Yasbincek) sont les meilleures amies depuis l’enfance. Après un festival de musique, Harper ne donne plus de nouvelles. De retour au lycée, la demoiselle a changé du tout au tout et ne souhaite plus de cette amitié. Entre-temps, une carte d’«inceste» identifiant une dizaine d’étudiants bouleverse le quotidien de l’établissement d’Hartley.
Notre avis : Reboot de la série australienne pour adolescent, cette version moderne aborde sans détour les problématiques telles que la drogue, la violence et le racisme. Loin des teen drama américain, le ton du show s’aligne à celui de «Sex Education» et aborde frontalement le sujet de la sexualité décomplexée. Un véritable guilty pleasure !
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Le Cabinet de curiosités de Guillermo del Toro (25 octobre)
Pitch : Une collection de huit contes sinistres, à l’atmosphère macabres, magiques et gothiques. Adaptation de nouvelles et histoires inédites sont au programme.
Notre avis : Guillermo del Toro revient à l’essence même du genre de l’horreur avec cette série d’anthologie aux univers horrifiques, allant du satanisme à la mythologie.
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1899 (17 novembre)
Pitch : 1899. Un bateau d’immigrés européens quitte le vieux continent, direction New York. En découvrant un autre navire en mer, disparu depuis des mois, ils ne s’attendaient pas à ce que leur voyage prenne une tournure aussi surprenante. Voire cauchemardesque…
Notre avis : Les créateurs de «Dark» reviennent avec une série énigmatique, moins farfouillée, mais aussi captivante. On s’amuse à trouver les indices et établir des théories pour résoudre le mystère. Mysticisme, science, espoir et communauté sont au programme.
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