Bilan 2017 : la RTBF poursuit son envol

Bilan 2017 : la RTBF poursuit son envol
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

En dix ans, la RTBF se targue d’avoir pu réduire l’écart avec le groupe RTL. L’objectif est aujourd’hui de développer la plateforme Auvio.

En 2017, le groupe RTBF affichait 23,7% de parts de marché (en baisse de 0,9% par rapport à 2016, année «foot et JO»), mais en progression par rapport à 2015. Cette année, La Une réalise une part d’audience de 17,3%, La Deux, 5% et La Trois se stabilise à 1,4%.

À noter aussi que depuis 2010, les chaînes françaises perdent du terrain au profit de RTL et la RTBF.

Le bon choix pour Sacha

Côté programmes, le directeur de la télévision, François Tron épingle le succès d’«À votre avis», qui a réussi son changement de case (du dimanche midi au mercredi soir) où l’audience est meilleure et le public rajeuni.

Le choix du numérique, opéré en 2010 était donc le bon. Grâce à Auvio, la RTBF, en comparaison avec ses consœurs européennes, limite la désaffection du public pour la télévision linéaire classique.

Pierre Bertinchamps

À lire aussi : le patron de la RTBF défend Benjamin Maréchal

«Certains annonceurs réservent des budgets pour des campagnes spécifiques durant le Mondial de football, et le sport est un terrain sur lequel TF1 ne peut pas aller.» Ce sera plutôt dès le dernier trimestre de l’année prochaine que les choses sérieuses vont commencer.

Auvio avec brio

Enfin, la RTBF se félicite du leadership d’Auvio. Depuis son lancement la plateforme a vu la consommation de contenus de la RTBF multiplié par 2,5. Le temps moyen d’une vidéo visionnée sur Auvio est de près de 27 minutes (pour 6,5 minutes chez RTL). Et le public moyen d’Auvio est assez jeune où 35% des internautes a moins de 35 ans.

Le choix du numérique, opéré en 2010 était donc le bon. Grâce à Auvio, la RTBF, en comparaison avec ses consœurs européennes, limite la désaffection du public pour la télévision linéaire classique.

Pierre Bertinchamps

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Le service public épingle qu’il est leader, le matin entre 6h et 8h et de 9 à 11h, ainsi que l’après-midi, de 13h à 17h. Le midi, La Une est juste derrière les rouleaux compresseur d’audiences qu’est Jean-Luc Reichmann, sur TF1.

En dix ans, la RTBF a très largement réduit son écart avec RTL, passant de 5,9% à 1,9%. Le différentiel entre RTL-TVI et La Une est quant à lui tombé à 2% (au lieu de 4).

Pas encore la panique pour TF1 Belgique

Concernant TF1 Belgique, la RTBF ne tire pas encore la sonnette d’alarme. Ce ne sera qu’en 2019 et surtout en 2020 que la différence se fera sentir, concède Jean-Paul Philippot, administrateur général. Pour 2018, l’investissement publicitaire ne devrait pas véritablement prendre un coup dans l’aile pour la RTBF.

«Certains annonceurs réservent des budgets pour des campagnes spécifiques durant le Mondial de football, et le sport est un terrain sur lequel TF1 ne peut pas aller.» Ce sera plutôt dès le dernier trimestre de l’année prochaine que les choses sérieuses vont commencer.

Auvio avec brio

Enfin, la RTBF se félicite du leadership d’Auvio. Depuis son lancement la plateforme a vu la consommation de contenus de la RTBF multiplié par 2,5. Le temps moyen d’une vidéo visionnée sur Auvio est de près de 27 minutes (pour 6,5 minutes chez RTL). Et le public moyen d’Auvio est assez jeune où 35% des internautes a moins de 35 ans.

Le choix du numérique, opéré en 2010 était donc le bon. Grâce à Auvio, la RTBF, en comparaison avec ses consœurs européennes, limite la désaffection du public pour la télévision linéaire classique.

Pierre Bertinchamps

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Pour le divertissement, «La Famille à remonter le temps» de Sara De Paduwa a atteint ses objectifs. Et évidemment, la RTBF salue l’équipe du «Grand cactus» qui va de record en record, sur La Deux…

Le service public épingle qu’il est leader, le matin entre 6h et 8h et de 9 à 11h, ainsi que l’après-midi, de 13h à 17h. Le midi, La Une est juste derrière les rouleaux compresseur d’audiences qu’est Jean-Luc Reichmann, sur TF1.

En dix ans, la RTBF a très largement réduit son écart avec RTL, passant de 5,9% à 1,9%. Le différentiel entre RTL-TVI et La Une est quant à lui tombé à 2% (au lieu de 4).

Pas encore la panique pour TF1 Belgique

Concernant TF1 Belgique, la RTBF ne tire pas encore la sonnette d’alarme. Ce ne sera qu’en 2019 et surtout en 2020 que la différence se fera sentir, concède Jean-Paul Philippot, administrateur général. Pour 2018, l’investissement publicitaire ne devrait pas véritablement prendre un coup dans l’aile pour la RTBF.

«Certains annonceurs réservent des budgets pour des campagnes spécifiques durant le Mondial de football, et le sport est un terrain sur lequel TF1 ne peut pas aller.» Ce sera plutôt dès le dernier trimestre de l’année prochaine que les choses sérieuses vont commencer.

Auvio avec brio

Enfin, la RTBF se félicite du leadership d’Auvio. Depuis son lancement la plateforme a vu la consommation de contenus de la RTBF multiplié par 2,5. Le temps moyen d’une vidéo visionnée sur Auvio est de près de 27 minutes (pour 6,5 minutes chez RTL). Et le public moyen d’Auvio est assez jeune où 35% des internautes a moins de 35 ans.

Le choix du numérique, opéré en 2010 était donc le bon. Grâce à Auvio, la RTBF, en comparaison avec ses consœurs européennes, limite la désaffection du public pour la télévision linéaire classique.

Pierre Bertinchamps

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Bon bulletin aussi pour les séries belges. Malgré une petite baisse de régime, «Unité 42» attire jusqu’à 300.000 personnes (si on compte les offres de rattrapage). France 2 a d’ailleurs mis une option sur la série, ainsi que l’Allemagne et on parle d’un accord avec une plateforme mondiale. En 2018, trois autres séries seront programmées sur La Une.

Des encouragements pour l’émission culinaire «Max & Vénus» (avec Fanny Jandrain et Maximilien Dienst) qui commence à faire le buzz. Le patron de la télé précise que le démarrage d’«Un gars, un chef», à l’époque avait aussi mis plusieurs mois avec de devenir le succès que l’on connaît. Pareil pour «Vews», la nouvelle offre d’infos de La Deux qui semble trouver ses marques, elle tend à réaliser les mêmes performances que feu «Le 12 minutes», et elle semble déjà être un gros succès sur le web. Même trends pour «7 à la Une» qui confirme sa bonne forme.

Pour le divertissement, «La Famille à remonter le temps» de Sara De Paduwa a atteint ses objectifs. Et évidemment, la RTBF salue l’équipe du «Grand cactus» qui va de record en record, sur La Deux…

Le service public épingle qu’il est leader, le matin entre 6h et 8h et de 9 à 11h, ainsi que l’après-midi, de 13h à 17h. Le midi, La Une est juste derrière les rouleaux compresseur d’audiences qu’est Jean-Luc Reichmann, sur TF1.

En dix ans, la RTBF a très largement réduit son écart avec RTL, passant de 5,9% à 1,9%. Le différentiel entre RTL-TVI et La Une est quant à lui tombé à 2% (au lieu de 4).

Pas encore la panique pour TF1 Belgique

Concernant TF1 Belgique, la RTBF ne tire pas encore la sonnette d’alarme. Ce ne sera qu’en 2019 et surtout en 2020 que la différence se fera sentir, concède Jean-Paul Philippot, administrateur général. Pour 2018, l’investissement publicitaire ne devrait pas véritablement prendre un coup dans l’aile pour la RTBF.

«Certains annonceurs réservent des budgets pour des campagnes spécifiques durant le Mondial de football, et le sport est un terrain sur lequel TF1 ne peut pas aller.» Ce sera plutôt dès le dernier trimestre de l’année prochaine que les choses sérieuses vont commencer.

Auvio avec brio

Enfin, la RTBF se félicite du leadership d’Auvio. Depuis son lancement la plateforme a vu la consommation de contenus de la RTBF multiplié par 2,5. Le temps moyen d’une vidéo visionnée sur Auvio est de près de 27 minutes (pour 6,5 minutes chez RTL). Et le public moyen d’Auvio est assez jeune où 35% des internautes a moins de 35 ans.

Le choix du numérique, opéré en 2010 était donc le bon. Grâce à Auvio, la RTBF, en comparaison avec ses consœurs européennes, limite la désaffection du public pour la télévision linéaire classique.

Pierre Bertinchamps

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