Armelle défend «Ma Terre» sur La Une
Entre les murs de l’abbaye de Gembloux où s’est enracinée une faculté agronomique (l’Agro-Bio Tech de l’Université de Liège), Armelle vient d’enregistrer le 10e numéro de «Ma Terre», une émission absente des antennes de la RTBF depuis un an. À découvrir début juin prochain sur La Une.
Plus proche désormais du docu-fiction que du documentaire pur, ce rendez-vous collera plus à la personnalité de sa nouvelle présentatrice.
Une rupture par rapport à l’époque Corinne Boulangier
«Avec Corinne Boulangier, nous sommes très différentes», affirme l’ex-comparse de Jacques Mercier. «Le public connaît ma spontanéité et mon côté humain. J’aime le contact et être en situation. Ce style me correspond mieux, et cela faisait un moment que j’avais envie d’évoluer vers le magazine. En plus, il s’agit aussi de donner le goût des histoires aux jeunes, avec ses sagas, ses déchirements et ses luttes passionnées».
«Un joyau à mettre en valeur»
En partenariat avec l’institut du Patrimoine wallon, ce nouveau numéro de «Ma Terre» nous racontera l’histoire de personnages étonnants, tous liés à l’univers de l’agriculture au fil des siècles : le chevalier Wicbertus il y a plus de mille ans (fondateur de l’abbaye), le chroniqueur Sigebert de Gembloux au Moyen-Âge, l’architecte Laurent-Benoît Dewez (à l’origine de l’abbaye actuelle de Gembloux, du château de Seneffe ou encore de l’hôtel de ville de Tournai) et des inventeurs de machines agricoles, Jules et Alfred Mélotte au début du 20e siècle.
« «Ma Terre» est un joyau qui doit exister sur le service public», conclut Armelle. «C’est un devoir citoyen de mettre en avant ce genre de programme qui évoque nos valeurs, nos enseignements et notre patrimoine».
Caroline Geskens
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