Anny Duperey : «J’espère que cette série restera culte»
Ce lundi à 21h, TF1 lance la dernière saison inédite d’«Une famille formidable».
«Cette série a toujours été sincère, c’est la clé de sa longévité», confie Anny Duperey avec nostalgie. Alors que la première chaîne française diffuse l’ultime saison d’«Une famille formidable», la comédienne revient avec tendresse et émotion sur «sa troupe», une famille loin d’être fictive…
En ce début de saison, Catherine rentre en France avec une seule idée en tête : divorcer ! Pourquoi une telle décision ?
À force de voyager seule, Catherine a pris goût à la liberté. Jacques et elle ne font plus que se croiser et ne partagent plus grand-chose. Elle apprécie cette solitude et a désormais une certitude : elle souhaite être seule et libre.Elle a réalisé que Jacques et elle sont devenus de bons amis, rien de plus.
Elle a toujours tenu un rôle à part dans la fiction française. Rien n’a jamais été formaté. Nous pouvions parler de tous les sujets. Nous sommes profondément ancrés dans la société actuelle. Dès les premiers épisodes, nous avions évoqué l’homosexualité, la drogue, l’infirmité, mais aussi le cancer. Il était important que cette série soit en phase avec notre public. Elle a toujours été sincère, c’est la clé de sa longévité. Ce que l’on a fait jusqu’à présent est très beau.
Quel message souhaitez-vous faire passer à votre public ?
Rendre les clés de la maison est justement une question de respect envers notre public qui nous a fait le plus beau des cadeaux par sa fidélité. Poursuivre une aventure qui risquerait de dépérir et d’amoindrir ce que l’on a fait auparavant n’est pas la solution. Bernard et moi avons peut-être épuisé la partition. J’espère que cette série restera culte.
Quelle est votre actualité ?
Je viens de jouer dans deux téléfilms, «Mongeville» et «Cassandre». Dans la foulée, je suis partie à Cannes tourner «Just a gigolo», une comédie réalisée par Olivier Baroux avec, entre autres, Kad Merad. Par ailleurs, je publie un nouveau livre de photos au début du mois de novembre, «Les Photos d’Anny», qui revient sur ma passion pour la photographie en noir et blanc, une tradition familiale puisque mes parents étaient photographes. Enfin, je serai sur les planches du théâtre Edouard VII à Paris, à compter du 22 novembre, pour des lectures-spectacles de mon ouvrage, «Les Chats de hasard».
À lire aussi : l’interview de Bernard Le Coq
Découvrez la bande-annonce de la saison 15 :
Quel plaisir de voir aussi grandir et évoluer les petits ! Les scénarios peuvent êtres profonds ou légers, nous pouvons tout jouer, tout est prétexte à réagir et à rebondir. Cette famille est un cadeau du métier.
Cette saison est aussi la dernière. Êtes-vous nostalgique ?
Comment ne pas l’être ? Bernard a décidé d’arrêter l’aventure et je respecte sa décision, même si elle me rend profondément triste. Nous étions très proches de Joël Santoni. «Une famille formidable» était l’œuvre de sa vie. Poursuivre cette aventure si atypique et exceptionnelle sans lui est devenu compliqué. J’ai toujours revendiqué qu’«Une famille formidable» est un anti-produit destiné à tous les publics.
Elle a toujours tenu un rôle à part dans la fiction française. Rien n’a jamais été formaté. Nous pouvions parler de tous les sujets. Nous sommes profondément ancrés dans la société actuelle. Dès les premiers épisodes, nous avions évoqué l’homosexualité, la drogue, l’infirmité, mais aussi le cancer. Il était important que cette série soit en phase avec notre public. Elle a toujours été sincère, c’est la clé de sa longévité. Ce que l’on a fait jusqu’à présent est très beau.
Quel message souhaitez-vous faire passer à votre public ?
Rendre les clés de la maison est justement une question de respect envers notre public qui nous a fait le plus beau des cadeaux par sa fidélité. Poursuivre une aventure qui risquerait de dépérir et d’amoindrir ce que l’on a fait auparavant n’est pas la solution. Bernard et moi avons peut-être épuisé la partition. J’espère que cette série restera culte.
Quelle est votre actualité ?
Je viens de jouer dans deux téléfilms, «Mongeville» et «Cassandre». Dans la foulée, je suis partie à Cannes tourner «Just a gigolo», une comédie réalisée par Olivier Baroux avec, entre autres, Kad Merad. Par ailleurs, je publie un nouveau livre de photos au début du mois de novembre, «Les Photos d’Anny», qui revient sur ma passion pour la photographie en noir et blanc, une tradition familiale puisque mes parents étaient photographes. Enfin, je serai sur les planches du théâtre Edouard VII à Paris, à compter du 22 novembre, pour des lectures-spectacles de mon ouvrage, «Les Chats de hasard».
À lire aussi : l’interview de Bernard Le Coq
Découvrez la bande-annonce de la saison 15 :
Sa codétenue, Claudia, ne lui mène pas la vie facile. Catherine vit très mal la situation, d’autant plus que sa détention se prolonge… Tourner dans une vraie prison, à Joux-la-Ville, près d’Auxerre, et découvrir l’univers carcéral fut particulièrement intéressant. Nous devions laisser portables et effets personnels à l’entrée et nous avions des consignes strictes à respecter.
Outre la famille, Catherine peut aussi compter sur le soutien de Florence, sa nouvelle amie, incarnée par Alexandra Vandernoot…
J’avais déjà eu l’occasion de croiser Alexandra, mais nous n’avions jamais tourné ensemble jusqu’alors. C’est une femme charmante. Notre jeu a été à l’image des relations qu’entretiennent beaucoup de femmes entre elles. Lorsqu’un couple tourne en rond au bout de 40 ans de mariage, les filles aiment se retrouver plus souvent entre elles car elles se comprennent. C’est amusant.
Dans quel état d’esprit avez-vous abordé cette nouvelle saison ?
Retrouver les copains est toujours un bonheur, même si je regrette d’avoir moins de scènes avec Bernard, si ce n’est celles de conflits ! À chaque fois, l’envie d’être ensemble est intacte.
Quel plaisir de voir aussi grandir et évoluer les petits ! Les scénarios peuvent êtres profonds ou légers, nous pouvons tout jouer, tout est prétexte à réagir et à rebondir. Cette famille est un cadeau du métier.
Cette saison est aussi la dernière. Êtes-vous nostalgique ?
Comment ne pas l’être ? Bernard a décidé d’arrêter l’aventure et je respecte sa décision, même si elle me rend profondément triste. Nous étions très proches de Joël Santoni. «Une famille formidable» était l’œuvre de sa vie. Poursuivre cette aventure si atypique et exceptionnelle sans lui est devenu compliqué. J’ai toujours revendiqué qu’«Une famille formidable» est un anti-produit destiné à tous les publics.
Elle a toujours tenu un rôle à part dans la fiction française. Rien n’a jamais été formaté. Nous pouvions parler de tous les sujets. Nous sommes profondément ancrés dans la société actuelle. Dès les premiers épisodes, nous avions évoqué l’homosexualité, la drogue, l’infirmité, mais aussi le cancer. Il était important que cette série soit en phase avec notre public. Elle a toujours été sincère, c’est la clé de sa longévité. Ce que l’on a fait jusqu’à présent est très beau.
Quel message souhaitez-vous faire passer à votre public ?
Rendre les clés de la maison est justement une question de respect envers notre public qui nous a fait le plus beau des cadeaux par sa fidélité. Poursuivre une aventure qui risquerait de dépérir et d’amoindrir ce que l’on a fait auparavant n’est pas la solution. Bernard et moi avons peut-être épuisé la partition. J’espère que cette série restera culte.
Quelle est votre actualité ?
Je viens de jouer dans deux téléfilms, «Mongeville» et «Cassandre». Dans la foulée, je suis partie à Cannes tourner «Just a gigolo», une comédie réalisée par Olivier Baroux avec, entre autres, Kad Merad. Par ailleurs, je publie un nouveau livre de photos au début du mois de novembre, «Les Photos d’Anny», qui revient sur ma passion pour la photographie en noir et blanc, une tradition familiale puisque mes parents étaient photographes. Enfin, je serai sur les planches du théâtre Edouard VII à Paris, à compter du 22 novembre, pour des lectures-spectacles de mon ouvrage, «Les Chats de hasard».
À lire aussi : l’interview de Bernard Le Coq
Découvrez la bande-annonce de la saison 15 :
Elle ne veut plus retrouver le train-train quotidien et elle s’est lassée des extravagances de Jacques, de ses excès de colère et de sa folie des grandeurs… Jacques est aujourd’hui par monts et par vaux pour la promotion de son livre et elle ne veut plus être celle qui attend. Pour autant, elle ne lui en veut pas. Elle affirme même que «leur amour va évoluer, mais différemment».
Sa vie est bouleversée lorsqu’elle est arrêtée du jour au lendemain…
Catherine est effondrée ! Elle ne comprend pas ce qui lui arrive. Près de 200.000 euros ont été détournés de la Fondation Reine Grenier dont elle est la présidente honoraire et tous les soupçons se portent sur elle. Entre incompréhension et colère, Catherine doit pourtant faire face à la réalité et s’adapter à la vie carcérale. Pour une femme qui a plus que jamais envie de liberté, la situation est cocasse !
Sa codétenue, Claudia, ne lui mène pas la vie facile. Catherine vit très mal la situation, d’autant plus que sa détention se prolonge… Tourner dans une vraie prison, à Joux-la-Ville, près d’Auxerre, et découvrir l’univers carcéral fut particulièrement intéressant. Nous devions laisser portables et effets personnels à l’entrée et nous avions des consignes strictes à respecter.
Outre la famille, Catherine peut aussi compter sur le soutien de Florence, sa nouvelle amie, incarnée par Alexandra Vandernoot…
J’avais déjà eu l’occasion de croiser Alexandra, mais nous n’avions jamais tourné ensemble jusqu’alors. C’est une femme charmante. Notre jeu a été à l’image des relations qu’entretiennent beaucoup de femmes entre elles. Lorsqu’un couple tourne en rond au bout de 40 ans de mariage, les filles aiment se retrouver plus souvent entre elles car elles se comprennent. C’est amusant.
Dans quel état d’esprit avez-vous abordé cette nouvelle saison ?
Retrouver les copains est toujours un bonheur, même si je regrette d’avoir moins de scènes avec Bernard, si ce n’est celles de conflits ! À chaque fois, l’envie d’être ensemble est intacte.
Quel plaisir de voir aussi grandir et évoluer les petits ! Les scénarios peuvent êtres profonds ou légers, nous pouvons tout jouer, tout est prétexte à réagir et à rebondir. Cette famille est un cadeau du métier.
Cette saison est aussi la dernière. Êtes-vous nostalgique ?
Comment ne pas l’être ? Bernard a décidé d’arrêter l’aventure et je respecte sa décision, même si elle me rend profondément triste. Nous étions très proches de Joël Santoni. «Une famille formidable» était l’œuvre de sa vie. Poursuivre cette aventure si atypique et exceptionnelle sans lui est devenu compliqué. J’ai toujours revendiqué qu’«Une famille formidable» est un anti-produit destiné à tous les publics.
Elle a toujours tenu un rôle à part dans la fiction française. Rien n’a jamais été formaté. Nous pouvions parler de tous les sujets. Nous sommes profondément ancrés dans la société actuelle. Dès les premiers épisodes, nous avions évoqué l’homosexualité, la drogue, l’infirmité, mais aussi le cancer. Il était important que cette série soit en phase avec notre public. Elle a toujours été sincère, c’est la clé de sa longévité. Ce que l’on a fait jusqu’à présent est très beau.
Quel message souhaitez-vous faire passer à votre public ?
Rendre les clés de la maison est justement une question de respect envers notre public qui nous a fait le plus beau des cadeaux par sa fidélité. Poursuivre une aventure qui risquerait de dépérir et d’amoindrir ce que l’on a fait auparavant n’est pas la solution. Bernard et moi avons peut-être épuisé la partition. J’espère que cette série restera culte.
Quelle est votre actualité ?
Je viens de jouer dans deux téléfilms, «Mongeville» et «Cassandre». Dans la foulée, je suis partie à Cannes tourner «Just a gigolo», une comédie réalisée par Olivier Baroux avec, entre autres, Kad Merad. Par ailleurs, je publie un nouveau livre de photos au début du mois de novembre, «Les Photos d’Anny», qui revient sur ma passion pour la photographie en noir et blanc, une tradition familiale puisque mes parents étaient photographes. Enfin, je serai sur les planches du théâtre Edouard VII à Paris, à compter du 22 novembre, pour des lectures-spectacles de mon ouvrage, «Les Chats de hasard».
À lire aussi : l’interview de Bernard Le Coq
Découvrez la bande-annonce de la saison 15 :
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