Ce dimanche à 20h15 sur Plug RTL, les new-yorkaises, qui ont déniaisé la télé autour des années 2000, reviennent au petit écran. Enfin, presque toutes…
New York, robes étincelantes, chaussures vertigineuses et discussions coquines autour d’un Cosmopolitan, «Sex and the City» a marqué l’histoire de la télé. Née aux États-Unis en 1998, stoppée en 2004, la série n’a cessé de réapparaître. Deux films (2008, 2010) et un spin-off («Carrie», 2013) plus tard, la revoilà métamorphosée en «And Just Like That», une suite en dix épisodes à découvrir sur Plug RTL dès ce 1 er mai.
Samantha manque à l’appel
L’amitié est un élément central dans «Sex and the City». Malheureusement, elle se perd dans «And Just Like That…», marquée par l’absence de Kim Cattrall, alias Samantha Jones. Si sur le petit écran, elle et Sarah Jessica Parker (qui campe Carrie) sont comme cul et chemise, à la ville, il n’en est rien. Les actrices sont en froid depuis plusieurs années.
«Si nous sommes les meilleures amies ? Non. Nous sommes des actrices pros. Nous avons des vies séparées», expliquait Cattrall lors des premières saisons. Les termes «relation toxique» et «hypocrisie» sont lâchés en interview par les intéressées. Les sourires en public ne sont que de façade.
L’affaire Mr. Big
Les deux premiers épisodes de «And Just Like That…» à peine sortis, la série connaissait déjà un scandale. Chris Noth, 67 ans, interprète de John alias Mr. Big, était accusé d’agression sexuelle. Ce n’est pas la première fois qu’il est visé pour de tels méfaits. Les producteurs n’hésitent pas : en ces temps #Metoo, l’éviction est directe. L’épisode final subit donc quelques coupes au montage…
Une suite confirmée
Si le retour des quinquagénaires n’a pas été unanimement apprécié, les audiences ont convaincu la plateforme HBO Max de prolonger la série. «And Just Like That…» aura droit à une saison 2 (date indéterminée). Après toutes les critiques autour de l’absence de Samantha, peut-on espérer une volte-face de celle-ci ? «Je ne crois pas que je serai d’accord, car il y a trop d’histoires publiques, de sentiments qu’elle a partagés», explique Sarah Jessica Parker.
Cet article est paru dans le Télépro du 28/4/2022
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