Amir : «Dans L’Aventure Robinson, j’ai perdu tous mes repères»

Amir : «Dans L’Aventure Robinson, j’ai perdu tous mes repères»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Ce vendredi soir, TF1 diffuse le 2e numéro de «L’Aventure Robinson» avec pour naufragés : Christine Bravo et Amir.

Retour sur une expérience «authentique et enrichissante» pour le chanteur, Amir, qui s’est retrouvé bien loin de ses repères mais n’a rien perdu de sa bonne humeur…

Pourquoi avoir accepté de relever le défi de «L’aventure Robinson» ?

Au lieu de me demander «pourquoi ?», je me demande toujours «pourquoi pas ?» Vivre des expériences atypiques ou complexes donne du sens à la vie. Je me nourris énormément de ce genre d’expérience. Ma première conversation avec Alexia Laroche-Joubert m’a donné envie d’accepter avant même de connaître les détails. Je n’ai pas pu participer à la première émission mais je suis content : j’ai pu la voir et elle a conforté mon choix. Il ne restait plus qu’à trouver le temps et le bon partenaire.

Que pouvez-vous nous dire sur votre partenaire d’aventure, Christine Bravo ?

Je la connaissais peu. Je me suis renseigné sur elle, notamment à travers des extraits d’émissions. J’ai compris qu’un personnage haut en couleur comme Christine allait forcément rendre cette aventure intéressante. C’est dans cet état d’esprit que je suis venu. Profondément empathique et extrêmement gentille, Christine est quelqu’un d’authentique. Elle peut parfois sembler dure dans ses propos car elle ne cherche pas à être diplomate mais ce n’est pas par mauvaise intention. De toute façon, je ne suis pas du genre à partir au quart de tour. Mais avant de faire sa connaissance, je ne m’attendais absolument pas à ce que l’on s’entende aussi bien. Nous avons trouvé très rapidement notre place dans l’espace personnel de l’autre.

Aurélie Binoist (pour TF1)

Vous étiez-vous préparé avant de partir ?

Oui, comme dans tout ce que j’entreprends car je n’aime pas être pris au dépourvu. J’ai notamment regardé des tutoriels sur la manière de faire du feu et sur les fruits comestibles ou les animaux que l’on pourrait chasser. Je n’ai pas réussi à tout assimiler et malgré cette préparation, rien ne remplace la débrouillardise sur le terrain et les connaissances personnelles. Christine Bravo m’a autant aidé à comprendre ce que l’on pouvait manger que je l’ai épaulée dans les épreuves physiques rudes. Ses voyages lui ont apporté une connaissance des secrets de la nature, surtout dans des endroits lointains. J’avais la sensation d’avoir un guide qui me permettait de mieux comprendre mon environnement.

Elle s’amuse de vous avoir trouvé constamment «émerveillé»…

Je ne me plaignais pas de l’inconfort car ce n’est pas dans ma nature. J’ai souvent été surpris ou ému, même s’il ne s’agissait pas forcément de moments doux ou agréables. Le simple fait de survivre, de voir comment on pouvait se nourrir m’impressionnait. Et plus je m’éloignais de mes repères, plus j’avais le sentiment que mes sens s’éveillaient. Dans ces conditions, l’esprit n’est pas pollué, on a le temps de s’arrêter et de se recentrer sur les fondamentaux. Je me suis découvert une sensibilité accrue aux cadeaux de la nature, comme un lever de soleil par exemple.

Que pouvez-vous nous dire sur votre partenaire d’aventure, Christine Bravo ?

Je la connaissais peu. Je me suis renseigné sur elle, notamment à travers des extraits d’émissions. J’ai compris qu’un personnage haut en couleur comme Christine allait forcément rendre cette aventure intéressante. C’est dans cet état d’esprit que je suis venu. Profondément empathique et extrêmement gentille, Christine est quelqu’un d’authentique. Elle peut parfois sembler dure dans ses propos car elle ne cherche pas à être diplomate mais ce n’est pas par mauvaise intention. De toute façon, je ne suis pas du genre à partir au quart de tour. Mais avant de faire sa connaissance, je ne m’attendais absolument pas à ce que l’on s’entende aussi bien. Nous avons trouvé très rapidement notre place dans l’espace personnel de l’autre.

Aurélie Binoist (pour TF1)

Qu’est-ce qui vous inquiétait le plus avant de partir ?

De ne pas arriver à récolter assez d’argent pour l’association des Petits frères des pauvres. Je pensais réussir à surmonter tout le reste. En voyant Maître Gims et Kendji Girac souffrir autant sur les épreuves alors qu’ils sont plus jeunes que moi, je me suis inquiété. Et j’ai pensé que ce serait certainement encore plus difficile physiquement pour Christine Bravo.

Finalement, comment les avez-vous vécues ?

Les épreuves étaient surmontables parce que nous étions poussés par le cœur. A certains moments, j’étais très fatigué ! Mais en pensant à l’association et en regardant les boîtes, je me suis dit que je n’avais pas le droit de baisser les bras. Quelques minutes pour nous représentaient une somme considérable pour l’association. Nos encouragements respectifs avec Christine Bravo nous ont aussi beaucoup portés.

Quelle a été la plus grosse difficulté une fois sur place ?

Je n’ai pas l’habitude de faire du camping, je connais peu la nature… et je ne me suis jamais retrouvé dans des conditions pareilles ! Je suis vraiment sorti de ma zone de confort. C’était physiquement difficile de dormir dans l’obscurité totale dans la nature, livré à soi-même, avec des moustiques et une météo qui conditionnait notre sommeil. Totalement désorienté, j’ai perdu tous mes repères. En même temps, ce sont ces conditions qui ont rendu cette aventure si authentique et enrichissante. Au départ, j’avais très faim et j’étais obnubilé à l’idée de trouver de la nourriture. Au fil du temps, j’ai eu l’impression de m’adapter à tout, sauf au manque d’hygiène.

Vous étiez-vous préparé avant de partir ?

Oui, comme dans tout ce que j’entreprends car je n’aime pas être pris au dépourvu. J’ai notamment regardé des tutoriels sur la manière de faire du feu et sur les fruits comestibles ou les animaux que l’on pourrait chasser. Je n’ai pas réussi à tout assimiler et malgré cette préparation, rien ne remplace la débrouillardise sur le terrain et les connaissances personnelles. Christine Bravo m’a autant aidé à comprendre ce que l’on pouvait manger que je l’ai épaulée dans les épreuves physiques rudes. Ses voyages lui ont apporté une connaissance des secrets de la nature, surtout dans des endroits lointains. J’avais la sensation d’avoir un guide qui me permettait de mieux comprendre mon environnement.

Elle s’amuse de vous avoir trouvé constamment «émerveillé»…

Je ne me plaignais pas de l’inconfort car ce n’est pas dans ma nature. J’ai souvent été surpris ou ému, même s’il ne s’agissait pas forcément de moments doux ou agréables. Le simple fait de survivre, de voir comment on pouvait se nourrir m’impressionnait. Et plus je m’éloignais de mes repères, plus j’avais le sentiment que mes sens s’éveillaient. Dans ces conditions, l’esprit n’est pas pollué, on a le temps de s’arrêter et de se recentrer sur les fondamentaux. Je me suis découvert une sensibilité accrue aux cadeaux de la nature, comme un lever de soleil par exemple.

Que pouvez-vous nous dire sur votre partenaire d’aventure, Christine Bravo ?

Je la connaissais peu. Je me suis renseigné sur elle, notamment à travers des extraits d’émissions. J’ai compris qu’un personnage haut en couleur comme Christine allait forcément rendre cette aventure intéressante. C’est dans cet état d’esprit que je suis venu. Profondément empathique et extrêmement gentille, Christine est quelqu’un d’authentique. Elle peut parfois sembler dure dans ses propos car elle ne cherche pas à être diplomate mais ce n’est pas par mauvaise intention. De toute façon, je ne suis pas du genre à partir au quart de tour. Mais avant de faire sa connaissance, je ne m’attendais absolument pas à ce que l’on s’entende aussi bien. Nous avons trouvé très rapidement notre place dans l’espace personnel de l’autre.

Aurélie Binoist (pour TF1)

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