Notre compatriote s’envole pour la finale du «Meilleur pâtissier» sur RTL-TVI, et on a toutes nos chances !
Cette fois, ce sera la bonne ? Pour la 3e fois, un Belge se retrouve en finale du «Meilleur pâtissier». Alexandre Formica va défendre nos couleurs face à Maud et Aya. Il a toutes les qualités pour ramener le trophée à la maison ! Attention, la finale du «Meilleur pâtissier» sera diffusée en même temps que sur M6, en France, donc ce jeudi à 21h15 sur RTL-TVI.
Êtes-vous satisfait de votre parcours ?
C’est un rêve ! Accéder à la finale pour la saison anniversaire des 10 ans du «Meilleur pâtissier», je ne m’y attendais pas.
C’était votre objectif ?
On a toujours en tête l’objectif d’aller le plus loin possible. Je voulais surtout ne pas être éliminé dans les premiers. Arriver dans le trio final, c’est super chouette.
Le plus dur est passé ?
Non.. non, il va encore y avoir des belles surprises et de beaux challenges durant la finale.
Quelle épreuve vous fait le plus peur ?
La semaine passée, à part Maud qui avait le tablier bleu, nous étions tous en danger. Là, j’ai cru que j’allais partir. Le niveau est très haut cette année. On doit se battre constamment pour garder sa place.
Et l’épreuve la plus facile ?
Je préférais les épreuves techniques de Mercotte. Franchement, je m’y sentais à l’aise. J’étais d’ailleurs souvent dans le top 3. Ça permettait de contrebalancer le défi de Cyril, et d’être plus serein pour l’épreuve créative.
Vous n’aimiez pas les épreuves créatives ?
Je n’étais pas à l’aise avec les revisites de Cyril Lignac. On doit revisiter en conservant les fondamentaux. Ce n’est pas si évident que ça. Soit on est dans le trop classique, soit on dénature complètement le dessert, et ça peut être un hors-sujet. Il faut trouver un juste milieu…
Qui vous fait le plus peur pour cette finale ?
Que ce soit Maud ou Aya, il n’y en a pas une que je crains le moins. Elles sont toutes les 2 redoutables, et elles l’ont prouvé…
Comment vivez-vous votre popularité ?
Je la vis bien… les gens sont sympas et bienveillants, ils sont vraiment là pour me soutenir. Ma vie a un peu changé mais ça n’a pas non plus bouleversé mon quotidien. Je n’ai pas encore des hordes de fans qui campent devant ma porte ! (rires).
En cas de victoire, vous allez changer de métier ?
À ce stade, je vais continuer à travailler dans mon entreprise actuelle, mais je ne m’interdis pas, si des opportunités se créent d’y répondre. Je ne suis pas fermé à une reconversion vers la pâtisserie. Mais ce n’est pas à l’ordre du jour.
Vous avez eu des contacts grâce au programme ?
Oui, pour du partenariat et des collaborations. Je vais étudier ce qu’on me propose. Ouvrir une pâtisserie, je ne pense pas, mais donner des cours ou faire du partenariat avec des enseignes, pourquoi pas.
Vous vous êtes découvert une passion ?
La passion était déjà là, mais «Le Meilleur pâtissier» a encore plus renforcé mon envie de pâtisser. Je ne veux pas que ça devienne une obligation, c’est pour ça qu’en faire mon métier ne m’intéresse pas. Quand j’ai envie de faire un gâteau, je le fais, mais je ne dois pas être obligé de pâtisser tous les jours… Ça doit rester un plaisir.
Que retenez-vous de votre parcours ?
Une magnifique aventure humaine où j’ai rencontré de belles personnes. J’ai pris un vrai plaisir à participer. C’est un chouette souvenir. Je resignerais des deux mains pour la refaire !
Vous avez commencé à pâtisser grâce à un repas de Noël. Cette année, vos créations étaient très attendues sur la table familiale…
Exactement ! J’étais de service (rires). J’ai fait 3 buches. La première à la vanille, fruits rouges et citron ; et la deuxième, au chocolat, café et praliné ; et la dernière, encore de la vanille, poire et praliné.
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